dimanche 18 février 2024

Lettre Ouverte à Monsieur Emmanuel Macron, Président de la République Française,

 


Seconde Lettre Ouverte à Monsieur Emmanuel Macron,

Président de la République Française,



( Lettre inachevée,

et en cours d’élaboration,

encore sur le métier).



« …Nos Pères ont tous été sous la Nuée…

Ils ont tous été baptisés en Moïse dans la

Nuée… »

Saint Paul.

Ière Epître aux Corinthiens, Chapitre 10.





«  Ne les craignez donc point ; car il n’y a rien de caché

qui ne doive être découvert,

ni de secret qui ne doive être connu.

Ce que je vous dis dans les ténèbres,

dites- le en plein jour,

et ce qui vous est dit à l’oreille,

criez-le sur les toits. »

Evangile selon Saint Matthieu,

(chapitre 10, versets 26 et 27).



«  On n’allume pas une lampe

pour la mettre sous le boisseau,

mais on la met sur le chandelier,

et elle éclaire tous ( les hommes) »,

Evangile selon Saint Matthieu,

(chapitre 5, verset 15).



« La Prière du Cœur Orthodoxe

est une baguette magique. »

Révérend Père Ambroise Fontrier,

dit Saint Ambroise de Paris.



( Agissant par la Prière),

« les Saints de Dieu

font tout ce qu’ils veulent ».

Psaume du Psalmiste

David-Roi.



«  C’est pour la Liberté que Christ nous a affranchis.

Demeurez donc fermes, et ne vous laissez à mettre à nouveau

sous le joug de la servitude. »

Saint Paul,

Epître aux Galates,

chapitre 5, verset 1).



«  La Création sera libérée de l’esclavage de la Corruption,

pour avoir part à la glorieuse Liberté des Enfants de Dieu ».

Saint Paul,

Epître

«  Le Christ n’est pas venu pour respecter toutes les religions, mais pour les inclure, se substituer à elles, et les remplacer toutes. »

Un Starets Chrétien Orthodoxe russe.



«  Il faut élever le niveau intellectuel des Chrétiens. »

Saint Ambroise de Paris.



« Dis-moi ce que tu lis, et te dirai ce que tu es ».

Proverbe français.



«  Dis-moi qui est ton Père Spirituel, et de qui tu es le Fils Spirituel, la Fille Spirituelle, et je te dirai qui tu es ».

Adage athonite.



«  Pour savoir où l’on va, il faut savoir d’où l’on vient. »

Proverbe.



«  Le passé n’éclairant plus l’avenir, l’esprit marche dans les ténèbres. »

Tocqueville

De la démocratie en Amérique.



«  Notre héritage n’est précédé d’aucun testament. »

Aphorisme de René Char.



«  Le testament, qui dit à l’héritier ce qui sera légitiment sien, assigne un passé à l’avenir. Sans testament ou, pour élucider la métaphore, sans Tradition, -…qui indique où les trésors se trouvent et quelle est leur valeur – il semble qu’aucune continuité dans le temps ne soit assignée…La perte ( du trésor de la Tradition) fut consommée par l’oubli, par un défaut de mémoire, qui atteignit les héritiers...Ainsi le trésor a été perdu… parce qu’aucun testament ne l’avait légué à l’avenir… »

Hannah Arendt.

La crise de la culture.



«  La famille de l’Evêque est le modèle des autres familles ».

Saint Paul.

Epître.



«  Nous entrons dans la barbarie. »

Michel Henry.

La barbarie.

Liminaire.



«  A la fin du monde, l’on ne pourra plus distinguer l’homme de la femme ».

Un Saint Starets Orthodoxe.



«  Nul n’a jamais pu percer le Mystère de la Vie »,

( ni nul médecin, de la Vie telle qu’elle apparaît

ni savoir comment et pourquoi il lui est donné d’apparaître,

au moment de la conception de l’enfant).

Ma grand-mère, première femme-médecin du Maroc, Simone Poulain.



«  Il n’est rien de plus beau, ni de plus précieux que la Vie »,

Presbytéra Anna.



«  Toutes les vies se valent »,

Emmanuel Macron,

Président de la République Française,



«  N’oubliez pas l’hospitalité : elle a permis à certains, sans le savoir,

de recevoir des Anges »,

Saint Paul,

Epître aux Hébreux,

(Chapitre 15, verset 3),

Définition de l’Hospitalité d’Abraham,

dite aussi « philoxénia », ce qui est dire, en grec, « accueil de l’Etranger »,

ayant au Désert, sous le chêne de Mambré, reçu les Trois Anges de la Trinité,

et pouvant s’appliquer aux S.D.F, aux Migrants, incarcérés dans des Camps,

à toutes les Personnes Déplacéees, et à tous les Infra-Humains vivant sous des tentes,

victimes des Guerres dans le monde, menées par des Tyrans,



«  Il n’est pas de pire souffrance que de perdre un enfant. »

Cité par Matthieu Ricard,

grand moine bouddhiste,

in L’abécédaire de la sagesse.



«  Vous avez du Capital ».

Le médecin de Saint Ambroise de Paris, s’adressant à moi,

à la vue de mes trois enfants survivants,

lorsqu’à la mort de mon époux et de ma fille aînée, il me vit éplorée, croyant avoir tout perdu,

et n’avoir plus rien.



«  A l’égard de la Mort, nous ne sommes pas comme ceux qui sont sans espérance. »

Saint Paul.

Epître.



« Résumez-moi d’un mot la situation et l’état des hommes de mon Royaume »,

Un Empereur Chinois à son Historien impérial,

«  Ils souffrent, Votre Altesse, ils souffrent »,

L’Historien impérial à l’Empereur de Chine.



«  Quand je souffre, je sais que je ne suis pas seul…Tout le monde souffre. Le monde entier souffre »,

cité in Matthieu Ricard,

Abécédaire de la Sagesse.



«  Or, nous savons que, jusqu’à ce jour, la Création tout entière soupire,

et souffre les douleurs de l’enfantement »,

Saint Paul,

Epître aux Romains,

(Chapitre 8, verset 22)



«  Le problème, ce n’est pas tant la souffrance,

que de savoir ce qu’on en fait. »

Cité par Matthieu Ricard,

in L’Abécédaire de la sagesse.



«  Quand les hommes aiment Dieu, Lui-même fait tout contribuer à leur bien. »

Saint Paul

Epître aux Romains (8, 28).



« La maturité, c’est apprendre à s’éloigner des gens et des situations qui menacent votre paix, votre dignité, vos valeurs morales, ou votre estime personnelle. »

Propos d’un Spirituel.



« La liberté, c’est ce que nous arrivons à faire avec ce qu’on nous a fait. »

Jean-Paul Sartre.



«  L’obstacle suscite la Résistance ».

Marc-Aurèle.

Pensées.



«  Celui qui a épousé la Résistance a découvert sa vérité. »

René Char.



«  En France, lorsque vous êtes persécuté, et que vous dites que vous êtes persécuté, l’on vous interne aux asiles, et l’on vous dit que vous faites un délire de persécution »

Un philosophe français.



«  On peut tout me faire,

sauf me prendre ma foi ».

Moi, Presbytéra Anna,

à mon entrée à l’asile, lieu de tortures étatiques.



«  Ta Foi t’a sauvé »,

Christ, au lépreux reconnaissant,

dans l’Evangile des neuf lépreux ingrats.

« Si le Christ revenait, on le persécuterait, et l’on procèderait une nouvelle fois à Sa mise à mort ».

Fédor Dostoïevski,

La Légende du Grand Inquisiteur,

in Les Frères Karamazov.



«  Si Saint Syméon le Nouveau Théologien revenait, révélant, en cette société totalement déchristianisée de la Grande Apostasie, qu’il recevait les Visitations des Saints, et qu’il voyait la Lumière Incréée, on le déporterait aux asiles, où l’on lui fabriquerait de toutes pièces un dossier de fou psychotique, en lequel serait apposée la mention : «  Délire mystique », comme fut apposé, par manière de dérision, sur la Croix du Christ, l’écriteau où figurait les mots : «  Roi de Gloire ».

Presbytéra Anna



«  Vous êtes le nouveau Port-Royal »

Pierre Magnard,

Professeur émérite de philosophie,

s’adressant à Père Patric Ranson.



«  Vous êtes une victimée du Système »

Pierre Magnard,

s’adressant à moi, Presbytéra Anna.

plus au vrai, avec mon Eglise, Stigmatisée, Discriminée, Victime de discrimination fondée sur mon appartenance à la Religion Orthodoxe non oecuméniste, telle que prêchée par l’Eglise Orthodoxe Française, et Victime de l’appareil de Répression étatique, de la machinerie de la Répression d’Etat, Répression politique et papiste, sociale, et psychiatrique,

qui discrimine, réprime, persécute, invisibilise, et veut annihiler et néantir les Minorités Religieuses en France, ce qui est dire les Religions et les Eglises qui ne s’alignent pas sur les Eglises Officielles, sur les Eglises-Vitrines des Puissants ; victime, donc, d’atteintes aux Libertés, d’atteintes à l’Etat de Droit et de violations de l’Etat de Droit, tant et aussi longtemps que les valeurs de l’Etat de droit ne sont pas respectées.



«  La différence entre un fou et moi, c’est que je ne suis pas fou. »

Salvador Dali.



«  Les Saints, ces fous admirables »,

Titre de l’ouvrage de Jacques Gauthier,

auteur également de Je donnerai de la Joie,

livre d’ entretiens avec la Bienheureuse Catholique Dina Bélanger du Canada.



«  Dans un Etat de Droit, le Président de la République est censé respecter et garantir le Droit. Il doit être le Garant du Droit. »

Un intellectuel français.

«  Vivre en France aujourd’hui, c’est vivre dans une nation où l’Histoire est en train de s’écrire. »

Gabriel Attal,

le plus jeune premier Ministre de l’Histoire.



«  Nous devons être le changement que nous voulons être dans le monde ».

Le Mahatma Gandhi.

Propos Spirituel rappelé par Matthieu Ricard

in son extraordinaire Plaidoyer pour le Bonheur.



« A la fin des Temps, tous les Croyants seront Chrétiens Orthodoxes.

Ils auront le cœur plus pur que le diamant. »

Prophétie d’un Saint Starets Chrétien Orthodoxe.





En mon Ermitage de Saint Ambroise de Paris et de Saint Jérôme d’Egine, anciennement dénommé La Bastide Bleue, à Aix-en-Provence,



le 14 janvier 2024,

Dormition de Saint Ambroise de Paris,

Anniversaire de la naissance de ma fille aînée, Photinie-la-Lumineuse, Martyre de l’Eglise Orthodoxe,

Avant-fête des soixante-dix ans de l’Appel de l’Hiver 1954 du Saint Abbé Pierre, qui suscita l’Insurrection de la bonté ( de millions de françaises et de français qui suivirent ), Appel qui commençait par ces mots : «  Mes amis, au secours ! »



De Anne Ranson-Terestchenko, née (Anne Simone Marie) Pannier,

dite Presbytéra Anna, ce qui est dire, en grec, « Femme de Prêtre »,

Fille Spirituelle chérie de Saint Ambroise de Paris,

ayant vécu quatorze ans aux pieds de Saint Ambroise de Paris, au 16 rue Collange à Levallois-Perret, Père Ambroise ayant demeuré très pauvrement au 18 rue Collange,

initiée par lui à la Vision de la Nuée Divine, suscitée par ses prières, en sa chambre qui lui tenait de cellule, au 18 rue Collange à Levallois-Perret, à la veille de son entrée à l’hôpital pour y mourir,

et qui me fit, par voie testamentaire, sa légataire universelle,

successivement Femme de Prêtre,

Veuve de Prêtre,

Femme d’Evêque,

Ex-Femme d’ex-Evêque,

née à Paris XVème dans une maternité catholique tenue par des Religieuses,

aînée d’une fratrie de cinq filles,

élève de maternelle à l’école catholique Sainte Geneviève de Paris, sise auprès de la châsse -reliquaire de Sainte Geneviève de Paris, en l’église Saint-Etienne du Mont, jouxtant le Panthéon à Paris, et tenus par des religieuses,

élève de primaire à l’école privée laïque Blaise Pascal, rue Saint-Jacques à Paris,

prix d’Excellence tous les ans de sa scolarité à l’école primaire,

première des enfants des écoles privées de Paris au certificat d’études, lors de l’examen de passage de l’école privée à l’école publique,

n’ayant pu aller passer le BEPC – Brevet des Collèges- ayant été toute une longue année couchée par la maladie, en l’occurrence une hépatite virale, pour avoir ingéré à la cantine du collège des coquillages infectés,

un an visiteuse, une fois par semaine, dans le cadre de l’aumônerie catholique du lycée de Jeunes Filles de Versailles, d’une vieille dame centenaire,

reçue à treize ans, avec dispense d’âge, au Conservatoire d’art dramatique de Versailles, y jouant les jeunes tragédiennes de Racine et Blanche de la Force dans les Dialogues des Carmélites de Bernanos, la professeure et directrice du théâtre de Versailles souhaitant alors que je devinsse actrice,

assidue aux Matinées Classiques, au théâtre Montansier, bleu et or, de Versailles, où l’on joue Molière et Racine, à petit prix pour diffuser auprès du tout-venant du grand public, et lui en offrir l’accessibilité, la grande, la haute culture, et gratuitement pour les élèves du cours d’art dramatique du Conservatoire, Molière et Racine, par quoi et par qui je commençai d’apprendre à écrire,

élève du Collège du Chesnay (78), auprès du cimetière du Chesnay, où reposent mes parents, Stéphane et Claude, mes grands-parents maternels, dits Grand-Père et Mamie, et ma tante maternelle, Geneviève, médecin pédiatre, morte prématurément,

élève du Lycée de Jeunes Filles La Bruyère à Versailles,

diplômée du baccalauréat C (scientifique), avec 17 sur 20 en dissertation française, et 16,5 en dissertation philosophique,

élève d’hypokhâgne au lycée Lakanal de Sceaux, sous l’égide du grand professeur, - un Maître -, Emile Fantou, qui m’apprit tout ce que je sais en littérature, et qui eût voulu que je fusse écrivain,

élève de khâgne au Lycée Louis-le-Grand à Paris,

élève de l’Ecole Normale Supérieure de Jeunes Filles de Sèvres à Paris, aujourd’hui mixte et Rue d’Ulm à Paris, y ayant été reçue au premier concours, au rang de douzième, et sortie cacique – première – de la promotion, de l’épreuve de dissertation philosophique, avec la note de 17 trois quarts, à l’écrit, et de 20 sur 20 à l’oral d’anglais,

atteinte à l’entrée à l’Ecole (Normale Supérieure) d’une sarcoïdose pulmonaire ( dite aussi Beni Burck Schumann, ou BBS), contractée à la suite de l’excès d’un épuisant travail en classes préparatoires de préparation au concours, mise en quarantaine quarante jours à l’hôpital de Paris, et ayant dû y subir des explorations fonctionnelles douloureuses,

Discriminée, dès mon entrée à l’Ecole ( Normale Supérieure), et depuis, pour mon appartenance à l’Eglise Orthodoxe française,

ayant à mon entrée à l’Ecole convoquée à un tribunal de professeurs, chargés de me radier de l’Ecole, puis défendue à ce Tribunal par des élèves délégués, qui m’obtinrent, outre d’être intégrée à l’Ecole, une cinquième année d’Ecole,

miraculée de cette maladie mortelle, que l’on ne savait pas guérir à l’époque, par les prières de mon Saint Père Spirituel, Saint Ambroise de Paris, par une onction d’huile qu’il me fit, en Grèce, à la veilleuse de Sainte Photinie l’Ermite,

guérison qui me fut attestée et confirmée par une Apparition, une Visitation, de Sainte Photinie l’Ermite, en la même île grecque de Kalymnos ( Dodécannèse),

les médecins, à mon retour en France, n’en croyant pas leurs yeux, cette maladie étant mortelle, de ce que l’on ne savait pas, à l’époque, la soigner,

ayant préparé à l’Ecole (Normale Supérieure) le concours de l’Ecole d’Athènes en archéologie, en section byzantin,

licenciée de Lettres Classiques ( Français, Latin, Grec),

dotée d’un Master 1 d’Iconographie Byzantine, ayant soutenu à la Faculté d’histoire de l’art de Paris, un mémoire sur l’Iconographie des fresques de l’église des Douze Apôtres à Thessalonique,

m’étant entendue dire par le professeur d’histoire de l’art byzantin, paradoxalement athée : «  Vous êtes Orthodoxe ? Ne revenez plus jamais ici ! », m’étant fait menacer de me voir refuser le mémoire, pour lequel m’avait assistée le Révérend Père Ambroise Fontrier, - Saint Ambroise de Paris -, - un Maître Iconographe, peintre d’icônes admirables -, mémoire de là sanctionné par la note la plus basse qu’il se pût et la mention Passable ; mémoire ensuite entièrement pillé par l’assistante du professeur, laquelle faisait cours à la Bibliothèque Byzantine du Collège de France,

capétienne, ce qui est dire professeure de Lettres Classiques, ( ayant obtenu le CAPES) de Lettres Classiques, et ce, bien que, paradoxalement, jamais titularisée à l’oral du Capes, ce qui ne peut s’expliquer que difficilement, ayant été admissible à l’Agrégation de Lettres Classiques, concours de beaucoup plus difficile que le Capes, et ayant, pour la préparation de cette grande leçon d’oral, en latin, sur la Chute de Rome, assaillie par les Barbares, d’Augustin d’Hippone, reçu l’aide très éclairée de Mgr Philarète, Métropolite de France, ancien élève de l’Ecole Normale Supérieure de la rue d’Ulm, agrégé de Lettres Classiques, ancien élève de la Fondation Thiers, chercheur au CNRS, égyptologue, grand érudit, grand humaniste, disposant d’une bibliothèque de milliers de volumes, digne de la Bibliothèque de Saint Photios de Constantinople, qui en recensa les ouvrages dans son ouvrage éponyme – du même nom de Bibliothèque- ; et ce, au grand dam de mes deux professeures tutrices, qui, l’esprit choqué, me défendirent en vain, mais ne purent obtenir gain de cause en ma faveur, l’Inspecteur m’ayant déclaré tout de go, cyniquement, et sans en rien s’en cacher: «  Je vous ai dans le collimateur. J’ai des ordres pour vous coller »,

admissible à l’Agrégation de Lettres Classiques,

quasi-Admissible à l’Agrégation de Philosophie,

dotée d’un Master 2 de Philosophie de l’Esthétique, ayant soutenu à la Sorbonne un Mémoire sur Schopenhauer et le bouddhisme ,

envoyée trois ans, en tant que professeur de Lettres Classiques ( Professeur de Français, Latin, Grec), dans les collèges et lycées du 9 3, département placé en zone prioritaire, réservé aux cas sociaux, - ce casse-pipe où les élèves attendaient sur les parkings les professeurs avec des chaînes, pour les tabasser, et où le gouvernement envoie scandaleusement les jeunes Normaliens auxquels l’on avait fait miroiter à l’Ecole Normale Supérieure de brillants et mirifiques postes d’Université, ou autres somptueuses carrières, qui n’étaient que mirages -,

radiée une première fois de l’Education Nationale, pour excès de congés de maternité et de congés d’allaitement, après m’être entendue dire par la proviseure stalinienne du lycée technique de La Courneuve : « Encore un enfant ! On n’est pas en Afrique ici ! »,

ancienne élève de l’école de journalisme du CELSA à Neuilly-sur-Seine,

Mère de Famille très nombreuse, grande multipare, ayant eu dix-sept grossesses, perdant mystérieusement in utero deux enfants sur trois, ayant eu neuf parités, ce qui est dire ayant mis neuf enfants au monde,

Cheffe d’entreprise familiale, une famille, et, a fortiori une famille nombreuse, voire très nombreuse, étant une véritable entreprise, Aristote, du reste, ayant établi que les fondements de l’économie s’apprenaient à la maison, au vu de la gestion d’une maison, et de son économie domestique, le terme « économie » provenant étymologiquement du mot « oikos », qui signifie, en grec, « maison »,

ma fille aînée, Photinie, étant morte, à l’âge de dix ans, lors d’un pèlerinage en Grèce, dans le terrible accident de voiture qui coûta également la vie à mon premier époux, Père Patric Ranson, et à son ami, futur moine et ayant fait le vœu de revêtir l’Habit Angélique, Michel Aubry, sous-directeur de la Hambrose Bank à Londres, et neveu de Martine Aubry, ancienne ministre du Travail,

passée dix fois au bloc opératoire pour fausses couches tardives, au cinquième mois le plus souvent, ne pouvant s’expliquer, au dire des médecins obstétriciens, que par un état d’épuisement général, de là qu’il me fallait avoir trois grossesses, suivies de morts mystérieuses de mes enfants in-utero, avant de pouvoir espérer garder un seul enfant vivant, travail d’une longue patience vingt longues années durant où je désirais enfanter, par amour, et passion , jusqu’à l’extrême, des enfants, dont j’eusse aimé avoir au moins douze,

deux autres de mes enfants, Marie, et Aliocha, étant mort-nés,

victime de la mort in utero, au huitième mois de grossesse, de mon enfant prénommée Marie, du fait d’un acte médical dangerosissime de ponction au cordon, suivie d’hémorragie mortelle, lors d’un examen médical à l’hôpital, préjudice mortel de pathologie induite par la médecine moderne, pour lequel je n’ai reçu nulle réparation, ni aucune prestation compensatoire,

quarante ans femme au foyer, le plus beau métier du monde, qu’il faut aider les femmes à exercer, pour y élever sept enfants, dont six seulement sont à ce jour restés vivants,

un an agent immobilier dans diverses agences immobilières d’Aix-en-Provence, dont l’agence Century 21, travail que je quittai pour ne pas vendre mon âme au Diable et pour ne pas perdre mon âme,

contrainte de repasser une seconde fois, à plus de quarante ans, le Capes de Lettres Classiques, lorsqu’après la naissance de mon neuvième enfant je voulus reprendre l’enseignement, en tant que Professeur de Lettres Classiques, et que le ministère de l’Education Nationale, rue de Châteaudun, déclara tous mes diplômes mystérieusement perdus et disparus,

un an, de nouveau, professeur certifiée de Lettres Classiques, au collège Saint-Eutrope, chemin de Saint-Donat, à Aix-en-Provence,

radiée une seconde fois de l’Education Nationale, de nouveau déclarée « inapte à l’enseignement », puis « folle psychotique », prétendument atteinte et accusée de « délire mystique » et de « délire de persécution », après constitution d’un dossier psychiatrique entièrement mensonger, forgé de toutes pièces d’expertises psychiatriques mensongères,

tous mes écrits taxés par les psychiatres aliénistes asilaires d’Etat de « diarrhée verbale », pour dissuader quiconque de les lire, certains de mes écrits d’écrivaine engagée étant jugés « politiquement incorrects »,

jetée, déportée, et internée aux asiles de France trois fois quarante jours, par voie et mesure de H.O. ( Hospitalisation d’Office) par le préfet du département des Bouches-du-Rhône, H.O. maquillée en H.D.T. ( Hospitalisation à la Demande d’un Tiers), sous le gouvernement autoritaire, autoritariste, et semi- dictatorial de Nicolas Sarkozy, qui transforma la démocratie française en démocrature, et déportée une première fois, en l’occurrence, à l’asile psychiatrique d’Aix-en-Provence, - où sont parvenues les méthodes tortionnaires du Goulag et de la Chine,

torturée et défigurée aux asiles par les instruments de torture qui y sont usités, tels les camisoles chimiques, les neuroleptiques, qui entravent la marche, causent la défiguration, et la cellule d’isolement, où je fus jetée cinq jours à l’isolement, des chercheurs américains ayant établi qu’au cinquième jour le prévenu torturé en cette manière est gravement menacé de perdre la raison,

libérée de l’asile psychiatrique d’Aix-en-Provence grâce aux pétitions que ma fille Irène Ranson-Terestchenko fit circuler dans Paris, signées notamment par de nombreuses personnalités, dont mes professeurs de faculté de la Sorbonne, qui me connaissaient bien, et savaient ma valeur intellectuelle, et autres brillants professeurs d’université, de cette même Sorbonne,

réinternée une quatrième fois trois jours, pour avoir osé porter plainte pour internement abusif, sans même avoir pu sortir du commissariat, de là directement jetée dans le panier à salades, et conduite à l’asile psychiatrique de Coulommiers ( dans le département du 77), du fait que je résidais alors dans une chaumière au village de Pont-aux-Dames, berceau des impressionnistes,

relâchée après trois jours de ce quatrième internement, le psychiatre asilaire africain du service ayant établi par une contre-expertise psychiatrique que j’étais parfaitement saine d’esprit et en pleine possession de mes moyens intellectuels,

cette contre-expertise ayant, par après, été reconfirmée par une seconde contre-expertise psychiatrique, établie par un grand professeur de médecine psychiatrique de l’hôpital de Port-Royal à Paris,

victime de séquelles neurologiques graves, de mouvements anormaux, de tics nerveux de la bouche, et autres troubles neurologiques, dont un ralentissement psycho-moteur, consécutif à l’administration forcée en asile, par voie d’injections létales, de neuroleptiques, lesquelles injections forcées de neuroleptiques m’ont également rendue

victime de défiguration du visage, en l’occurrence d’une distonie faciale, se marquant par une distorsion de la bouche, entraînant également des troubles d’élocution et des difficultés à parler, et se marquant aussi par un vilain et disgracieux enfoncement du menton sous la mâchoire, et par un enfoncement de la joue, défiguration et préjudices physiques graves, pour lequel je n’ai reçu nulle compensation, ni prestation compensatoire aucune,

défiguration représentant une ascèse difficile à vivre, surtout pour une femme éprise d’esthétique, et malgré tout dommage, ma cousine m’ayant dit que j’étais, étant jeune, « la plus belle femme qu’(elle avait) jamais vue »,

un an professeur en classes préparatoires au concours des orthophonistes, à Aix-en-Provence, puis à Marseille,

admissible au concours d’infirmière,

trois ans professeur particulier à domicile ayant dispensé des cours de français et d’anglais, dans le cadre d’agences surexploitant leurs professeurs, et ne les payant que vingt euros l’heure, sans comptabiliser les déplacements, ni le prix de l’essence, dans les embouteillages, aux heures de pointe,

Femme de Lettres, d’entre les gens de Lettres de la République des Lettres,

Ecrivaine Engagée, auteure de diverses Lettres ouvertes à plusieurs autorités et décideurs de l’Etat, dont le Président de la République,

Poétesse, auteure de l’Epopée Religieuse, aux milliers de vers en alexandrins, intitulée Ballade des Ames, Poème le plus long de l’histoire de la Littérature mondiale, au langage codé et crypté, - dont je demande aux bonnes âmes qui me succéderont après ma mort, si Dieu ne me prête point une assez longue vie pour pouvoir suffire seule à cette tâche, et qui voudront bien s’atteler à ce long ouvrage, de la décrypter, et de la réécrire selon l’orthographe usuelle du français -, publiée, pour son premier tome - L’Enfer -, à compte d’auteure aux Editions de la Société des Ecrivains, entièrement pilonnée, et dont le second et le troisième tableau, le Purgatoire et le Paradis, n’ont jamais été publiés sur papier libre, mais l’entièreté de Ballade des Ames ayant, de facto, – par le fait, - été publiée sur mon très long site Internet Orthodoxia-Solidarnous, à ce jour entièrement effacé, pour raison de persécution étatique, - cette œuvre mienne, majeure et capitale, le plus long poème en alexandrins de toute l’histoire de la Littérature française et mondiale, et dont l’avenir dira s’il est aussi le plus beau, un universitaire, fondateur d’une Revue de Littérature m’ayant dit qu’il n’avait « jamais rien lu de plus beau », cette oeuvre ayant été entièrement invisibilisée et passée sous silence par une loi de l’omerta de l’Etat et des médias, pratiquant la Désinformation systémique, quand bien même l’œuvre de ce Poème, eût dû me donner de me voir décerner les titres de Poétesse nationale, de Monument national, - Exegi monumentum, - « J’ai érigé un monument » - écrit le poète latin Horace en conclusion de son troisième (IIIème) livre des Odes -, de légende de la Poésie, de figure iconique de la nation, d’égérie de la France, d’exception culturelle française, et de Grande Femme,

auteure, dès là, du très long Site Internet Orthodoxia-Solidarnous, où fut publié ce Poème, entièrement effacé, comme l’on efface ses traces sur la neige, du fait de la Censure et de la Persécution étatique qui règne en France à l’encontre des écrivains engagés, et des poètes engagés, dits « non politiquement corrects » , et des femmes qui gênent les hommes, notamment les Puissants et les hommes politiques,

blogueuse, auteure du Blog de Presbytéra Anna,

copiste, sur ce même Blog de Presbytéra Anna, des textes fondamentaux de l’Orthodoxie, à cette fin d’en constituer une Bibliothèque Orthodoxe Universelle,

auteure de l’Instagram Icônes_Saints_Orthodoxes,

auteure de l’Instagram personnel Anne Terestchenko,

auteure de L’Oiseau de Guelvéri ( Vie et Propos Spirituels de Saint Jérôme d’Egine), paru aux Editions de l’Age d’Homme, dans la collection La Lumière du Thabor,

Hagiographe, ce qui est dire Auteure de Vies de Saints, et Traductrice hagiographique, du grec moderne et de l’anglais, des Vies des Saints Orthodoxes,

et en particulier de la Vie de Saint Théophile-le-Fol-en-Christ de la Lavra des Grottes de Kiev, paru aux Editions de l’Age d’Homme dans la collection La Lumière du Thabor,

contributrice à la Revue de la Lumière du Thabor, fondée par mon époux feu Père Patric Ranson,

contributrice au Dossier H Augustin ( d’Hippone), paru aux Editions de l’Age d’Homme,

Epistolière, ayant écrit diverse Lettres aux autorités politiques françaises, qui jusqu’à maintenant n’en avaient tenu aucun compte, en sorte qu’elles n’avaient jamais été suivies d’effets,

Femme d’Eglise, le Christ ayant une très haute idée de la Femme, la Mère de Dieu étant dite « Première après la Trinité », les Apôtres, après la Crucifixion ayant été lâches, et s’étant enfermés aux verrous dans la Chambre Haute, cependant que les Femmes Myrrhophores coururent dès l’aube au tombeau, et que Marie-Madeleine, grande pécheresse, et plus grande encore par la Pénitence, par quoi elle fut sanctifiée, et pour ce qu’elle avait beaucoup aimé, fut la première d’entre tous à voir le Christ Ressuscité, qu’elle prit pour le jardinier,

Résistante de l’Eglise Orthodoxe Française aux Eglises-officielles et aux Eglises-vitrines des Puissants, tant l’Eglise Catholique, que l’Eglise Orthodoxe russe de Moscou, et que les Eglises Orthodoxes oecuménistes, inféodées au Pape et infiltrées par le Papisme, notre devise étant celle des Moines persécutés du Monastère athonite d’Esphigménou : «  L’Orthodoxie ou la Mort », et notre Eglise Orthodoxe Française étant occultée et invisibilisée, victime d’occultation et d’invisibilisation, donc, de par lesdites Eglise, et par l’Etat,

Pionnière de l’Eglise, de ce qu’étant première Femme d’Evêque, depuis la décision tardive et fautive prise par l’Eglise de mettre fin à cette Tradition du mariage des Prêtres et des Evêques dans l’Eglise, ce qui est dire depuis l’abolition du mariage des Evêques, et ayant œuvré à renouer avec cette longue Tradition sacrée, failliblement rompue et interrompue, la Vraie Tradition de l’Eglise, les Evêques de l’Eglise Chrétienne Orthodoxe, dite l’Eglise Primitive, ayant été mariés, et pères selon la chair de Saints Evêques, comme je l’ai rappelé et exposé dans ma Vie de Saint Ambroise de Paris, dit Papouli, sur mon Blog Internet, dit Blog de Presbytéra Anna, ma conduite comportementale et mes convictions empiriques en ce faire m’ayant été dictée par l’expérience de ma vie,

Féministe Orthodoxe Engagée en Christ, militant et luttant contre l’avortement criminel, pour la fin des discriminations fondées sur la Religion, et en particulier fondées sur l’appartenance à l’Eglise Orthodoxe Française, pour le mariage des Prêtres et des Evêques dans l’Eglise, et pour aider à l’œuvre de la prédication apostolique missionnaire, telle que l’entend l’Eglise Orthodoxe Française, non oecuméniste et non papiste, voulant faire bouger les lignes psychiques et conceptuelles et briser les schèmes mentaux psycho-rigides du Clergé de l’Eglise, et de la Papauté, le plus souvent encore par trop matchiste, méprisant les Femmes, et ne libérant pas la Parole de la Femme, au mieux n’en tenant aucun compte, ce qui est dire n’en tirant pas les conséquences qui rendraient cette Parole efficiente et performative, mais Censurant, bâillonnant, opprimant et réprimant cette Parole, en la réduisant au Silence, et voulant surtout ignorer la Tradition véridique de l’Eglise originelle dite Eglise primitive, Tradition instituée par cette Eglise, un Evêque ayant beaucoup à apprendre de sa Parèdre – la Parèdre étant dans la tradition bouddhiste la compagne, portée sur son même char, siégeant aux côtés d’un dieu bouddhique, et un Prêtre ayant également beaucoup à apprendre de sa Presbytéra, un Saint laïc de Cappadoce ayant également dit : «  Après Dieu et la Toute-Sainte, ma Presbytéra est le soleil de ma vie »,

Influençeuse Orthodoxe, militant, entre autres causes, pour la réinstauration du mariage des Prêtres et des Evêques, conformément à la Tradition dès longtemps et dès toujours établie dans l’Eglise primitive.

à ce titre, Réformatrice d’Eglise, ayant repensé les normes du mariage des Prêtres et des Evêques, demandant aux Eglises d’Orient et d’Occident le retour à la Tradition de l’Eglise Primitive, c’est-à-dire l’Eglise Une et Orthodoxe, ayant institué la seule et véritable Tradition de l’Eglise, telle que l’ont constituée et établie les Apôtres du Christ, et qui prônait le mariage des Prêtres et des Evêques,

à ce même titre, véritable Exception religieuse française,

titulaire d’une pension de retraite, misérable et digne des Misérables de Victor Hugo, de 330 euros par mois,

victime de la destruction par l’Etat d’un tiers de ma maison, démolition qui ne s’imposait nullement, du fait que cette maison est sans voisinage et sans vis-à-vis aucun, sise en pleine nature,

condamnée par l’Etat à verser trente mille (30 000) euros, du fait que, ne pouvant me résoudre à cette démolition, j’avais tardé à démolir l’œuvre de dix longues années de travail, réalisée par mon fils Séraphim et moi, de décoration intérieure, cette maison ayant été conçue comme une œuvre d’art, et étant vouée, par un vœu que je fis, à devenir un saint Monastère Orthodoxe, ce dont les autorités, averties par mes Lettres, ne tinrent rigoureusement aucun compte,

de la sorte ruinée par l’Etat français, et contrainte de mettre ma maison en vente, cette maison qui est le prix du sang de mon époux Père Patric et de ma fille Photinie,

mise, jetée, emprisonnée et incarcérée en garde-à-vue, par la police, à Aix-en-Provence,

fichée voleuse pour avoir été volée de mes biens d’Eglise, à moi légués par voie testamentaire par Saint Ambroise de Paris, ainsi que je m’en suis expliquée dans ma Lettre Ouverte à l’Evêque Marc de Neamts, de l’Eglise Orthodoxe Roumaine oecuméniste,

sommée à ce titre et m’étant vu intimer l’ordre par la police de quitter le département des Bouches-du-Rhône, au motif que j’y étais « fichée et connue comme le loup blanc »,

convoquée au Tribunal d’Aix en Provence, pour y être menacée de me voir retirer mes enfants, pour ce que je m’étais adressée à des assistantes sociales, du fait que je ne pouvais payer ma note d’électricité ,

y ayant été jugée « inapte à être mère »,

et, de ce fait, astreinte et soumise par ledit Tribunal à une mesure d’assistance éducative de surveillance à la maison, par des assistantes sociales, de mes actes comportementaux à l’égard de mes enfants, ayant outreplus également été déclarée « inapte à élever mes enfants »,

chineuse invétérée et ravie à Emmaüs, et supporter- souteneuse, par ses achats compulsifs de trouvailles à 1 euro, de ce même Emmaüs, qui fait servir ses recettes à l’aide aux plus démunis,

admiratrice de la Grâce divine qui règne dans ladite Communauté des Compagnons chiffonniers d’Emmaüs à Cabriès, près de Marseille,

deux ans, trois fois par semaine, Bénévole de Mère Térésa de Calcutta, au 60 rue de la Folie-Méricourt à Oberkampf, Paris, au Couvent de ses Sœurs Missionnaires de la Charité, pour nourrir et servir à table les SDF et les Migrants d’entre les plus pauvres des pauvres, et y apporter de lourdes poussettes de marché d’invendus – pains, sandwichs, et viennoiseries - de la boulangerie de mon père,

un an visiteuse, une fois par semaine, en sa très lointaine banlieue d’une très vieille dame Orthodoxe de plus de quatre-vingt-dix ans, laquelle fut, quatorze ans durant, secrétaire de l’Abbé Pierre, pour lui porter ses courses en lourde poussette de marché, de par les volées d’escaliers, sans escalators, du RER et du train métropolitain, et surtout pour meubler et égayer sa solitude infecte, et lui faire don d’une présence,

pèlerine aux Lieux Saints foulés par le Christ en la Terre Sainte de Palestine,

des îles grecques et de toute la Grèce entière,

des églises Orthodoxes de Bulgarie, partie seule, à vingt ans, derrière le rideau de fer,

des Monastères immensément peuplés de jeunes moines et moniales de Moldavie et de Roumanie,

de la foule des Saints conservés intacts, du fait de leur insigne Sainteté, dans leurs cercueils de verre, revêtus de tous leurs ornements monastiques et sacerdotaux, en les Catacombes de la Grande Lavra des Grottes de Kiev en Ukraine,

aux Lieux Saints et aux Monastères crypto-Chrétiens de l’Eglise des Catacombes de la Sainte Russie,

au tombeau de Saint Sophrony, fils spirituel de Saint Silouane de l’Athos, en le Monastère mixte Saint Jean Baptiste de Maldon en Angleterre (Essex),

au Monastère Orthodoxe de la Transfiguration de Boston, (Massachussetts), aux Etats-Unis d’Amérique,

aux paroisses Orthodoxes anglophones du Canada,

aux Catacombes des Saints Martyrs de Rome, où l’excès de la Grâce Divine émanée et irradiée de ces mêmes Saints Martyrs me fit pleurer enfant,

à l’amphithéâtre des Saints Martyrs de Lyon, dont Sainte Blandine de Lyon, et Saint Pothin, Evêque de Lyon, qui abreuvèrent, fécondèrent, et sanctifièrent de leur sang la terre de Gaule Chrétienne Orthodoxe,

et jusque dans les Indes lointaines, pour y rejoindre ma fille Pauline, et pour y vénérer le tombeau de Sainte Mère Térésa de Calcutta,

mes ancêtres étant originaires de Flandre, de la Creuse, et de Montpellier,

mes ancêtres paternels étant boulangers, - ainsi que l’indique étymologiquement le nom de Pannier, dérivé du mot pain, et maçons, pauvres hères venus en sabots, depuis leur Creuse natale, et leur Auvergne profonde, jusqu’en la capitale, où, de par la force de leur labeur et de leur travail, leur ténacité et leur volonté, ils érigèrent trois immeubles dans Paris,

de là que l’un d’eux, Frédéric Sauton, ayant gravi les degrés de l’échelle sociale, et devenu grand bourgeois, fut adjoint au Maire de Paris, ce dont il lui fut, de par gratitude et reconnaissance de la nation, attribué une rue dans Paris, en face de Notre-Dame,

l’un de mes aïeux ayant été polytechnicien, fierté de la famille, ainsi que l’attestait son monumental portrait en pied trônant dans le salon de mon arrière grand-mère paternelle à Versailles,

l’un de mes beaux-frères et de mes neveux étant également polytechniciens,

un autre de mes beaux-frères étant ingénieur aéronautique,

mes oncles et tantes ayant été champions du Maroc d’équitation, et de saut en hauteur à cheval, médecin-radiologue, médecin généraliste, médecin pédiatre, et chirurgien opérant à cœur ouvert,

mes neveux étant médecins, pharmaciens, ancienne élève d’HEC, et, comme je l’ai déjà dit, polytechnicien,

mon grand-père paternel, Yves Pannier, originaire des Flandres, ayant été colonel des armées, et sur le point de devenir général, si des circonstances extérieures ne l’en eussent empêché,

ma grand-mère paternelle, Christiane, fille unique, ayant reçu de ses parents la fortune immobilière de leurs trois immeubles dans Paris, étant grande bourgeoise, extrêmement fortunée, et gestionnaire de ses immeubles,

mon arrière-grand père paternel étant le docteur Jean Poulain, un des plus anciens médecins du Maroc, installé à Meknès, grand mérite national, philanthrope, donateur et bienfaiteur du Maroc, lequel, reconnaissant, lui a érigé une statue à Meknès, ainsi, qu’à l’angle de l’avenue de la République et du boulevard de Paris, une fontaine, avec une plaque en marbre gravée ; car il a fait construire, en la ville ancienne de Meknès, un dispensaire polyclinique, face au jardin d’El Haboul, qui a pris son nom ; bienfaiteur du Maroc, il mourut très prématurément du typhus en soignant ses malades lors d’ une épidémie, laissant sa jeune femme Georgette veuve, et ses deux jeunes enfants Jean et Georges, orphelins ;

mon grand-père Georges Poulain, orphelin, contrôleur de la SNCF la nuit, pour pouvoir aider sa mère sans ressources, et financer ses études de médecine, menées le jour, à la faculté de médecine de Montpellier ; devenu l’un des premiers chirurgiens du Maroc, soignant gratuitement les pauvres en sa clinique chirurgicale, sise rue de Saône à Rabat, au Maroc ; y ayant fait construire diverses belles et somptueuses villas, dont l’ambassade du Portugal et l’ambassade du Japon ; toutes villas, ainsi que la sienne, sise au Souissi, où il était cavalier, œuvrant au dressage de ses cheveux achetés aux écuries du roi, dans la campagne de Rabat, ses enfants étant champions du Maroc de concours hippiques, toutes villas confisquées par le roi, lors de l’attentat de Skrirat ;

ma grand-mère maternelle, dite Mamie, Simone Benoît, épouse Poulain, orpheline de père et de mère, pupille de la nation, étant parvenue, grâce à son intelligence, à sa détermination, à sa volonté, à sa persévérance, à sa martyrique patience, et à sa force d’âme, à faire ses études à la faculté de médecine de Montpellier, et à devenir l’une des premières femmes médecins de son époque, première femme médecin du Maroc, médecin-anesthésiste à Rabat, à la clinique chirurgicale de mon grand-père, qu’elle assistait dans ses opérations, patiente tricoteuse d’art et de génie, nous ayant habillées, mes sœurs et moi, depuis la layette de notre naissance jusqu’aux robes de nos dix ans,

mon père étant Stéphane Pannier, amputé d’une jambe, médecin, professeur agrégé de rééducation fonctionnelle à l’hôpital de Garches, bienfaiteur des paralysés de France, - ces paralysés dont Saint Jérôme d’Egine dit d’eux, et de ceux qui les auront assistés en cette vie, que les anges les porteront dans le Ciel -, ayant obtenu de la ministre de la Santé la rampe coulissante permettant l’accès aux autobus et aux trains pour les paralysés tétraplégiques en fauteuil roulant, héritier de l’immeuble parisien, dans le Marais, à Paris, des boutiques, dont un restaurant, et de la boulangerie de sa mère, et ayant, un an durant, juste avant sa mort, pour le salut de son âme, offert un an de loyer d’un appartement de quatre pièces à une jeune femme migrante roumaine de notre Eglise, mère de quatre enfants et enceinte du cinquième, laquelle avait fait la longue route périlleuse depuis la Roumanie à pied et à la nage,

ma mère étant Claude Pannier, médecin physiologiste, et titulaire d’un master 1 de philosophie en épistémologie,

mon premier beau-père étant Roger Ranson, diplomate,

ma première belle-mère étant Solange Auzias de Turenne, par son père, hollandaise, et par sa mère, enfant de la balle, secrétaire et attachée de presse du peintre Georges Matthieu, commissaire d’exposition au Grand Palais, ayant reçu de peintres de renom nombre de leurs toiles, telles des Georges Matthieu, des Botéro, etc…

mon premier époux étant Père Patric Ranson, né Frédéric Ranson, fils naturel du brillant philosophe hermétique, et professeur de philosophie à la Sorbonne, Pierre Boutang, très médiatisé, celui-ci étant lui-même fils de cordonnier ;

Père Patric étant également demi-frère de Pierre- André Boutang, fondateur d’Arte, cette belle chaîne culturelle de télévision qui élève le niveau intellectuel des Français, mort noyé en mer,

mon époux Père Patric, élevé par son beau-père Roger Ranson, n’ayant connu l’existence de son père biologique, Pierre Boutang, qu’à l’âge de seize ans, de la bouche de l’un de ses demi-frères, et de ce moment devenu, sur les traces de son père, grand lecteur infatigable, lisant jour et nuit, et même en marchant, toute la littérature, toute la philosophie, et toute l’histoire, élève d’hypokhâgne au lycée La Bruyère de Versailles, et au lycée Lakanal de Sceaux, élève de khâgne au lycée Louis-le-Grand à Paris, agrégé de philosophie au premier concours, professeur de philosophie, grand érudit, chercheur au CNRS, en tant que dix-septiémiste, et grand controversiste, son professeur de philosophie de la Sorbonne, Pierre Magnard, ayant écrit en une lettre que « Patric (était) le plus grand esprit de sa génération », Prêtre orthodoxe, brillant théologien, savant, inspiré, et infatigable prédicateur apostolique de l’Orthodoxie Française, grand Missionnaire, Martyr de l’Orthodoxie,

les ancêtres de mon second mari, Michel Terestchenko, étant issus de l’illustre famille ukrainienne des Terestchenko, en Ukraine, qui fut anoblie par le Tsar, y possédait d’immenses terres, des palais, des hôtels particuliers, des centaines de toiles de maîtres, dont un Rembrandt, et un Vélasquez, et des milliers d’icônes anciennes, d’entre les plus précieuses du monde, actuellement renfermées au musée Terestchenko-Hanienko, sis rue Terestchenko à Kiev, toute la fabuleuse fortune des Terestchenko ayant été confisquée lors de la révolution russe ;

l’arrière-arrière grand-père de mon second époux Michel Terestchenko étant Saint Nicolas (Terestchenko) de Kiev, endormi dans le Seigneur en 1903, aux prières d’intercession puissantes auprès de Dieu, grand mérite national, philanthrope, donateur et bienfaiteur de l’Ukraine, dont la devise, figurant sur son blason armorié était : «  Tout pour le peuple », qui donna quatre-vingt pour cents de son immense fortune au peuple ukrainien, construisant hôpitaux, dispensaires, hospices, écoles, etc…, et dont le corps fut tout récemment, et miraculeusement, retrouvé intact sous une dalle de l’église de Gloukov, berceau de sa famille en Ukraine, cette incorruption de son corps intact attestant de sa grande et insigne sainteté ;

le grand- père de mon second époux étant Michel Terestchenko, polyglotte parlant couramment sept langues, qui fut ministre des Affaires Etrangères au gouvernement provisoire Kérenski, emprisonné dans la forteresse Sainte Pierre et Saint Paul, condamné à mort, puis libéré par Lénine, réfugié, avec pour toute fortune une icône et un stylo en poche, marié en premières noces à une Norvégienne, et vivant en Angleterre, où, grand financier de génie, il reconstitua une relative fortune, et refusa d’être décoré par la reine d’Angleterre pour hauts faits de résistance, ayant eu une vaste maison à Monaco, ayant possédé le plus grand yacht du monde, le Hollandia, et enterré dans le caveau familial, devant la mer, à Monaco ;

mon second beau-père étant Ivan Terestchenko, traducteur de l’anglais,

ma seconde belle-mère étant Nadine Terestchenko, Cassia dans le baptême Orthodoxe, fille de grand industriel et grand patron d’industries chimiques, et dont la mère avait en premières noces épousé l’éditeur Plon, à ce double titre très fortunée, puis entièrement ruinée, ancienne directrice de mode chez Dior à Londres, pastelliste, aquarelliste, mariée en premières noces à Gwenaël Bolloré, oncle de Vincent Bolloré, capitaine d’industrie,

la sœur de ma seconde belle-mère, Cassia, étant feue Colette Duhamel-Gallimard, ayant en premières noces épousé Jacques Duhamel, ministre de la culture, - qui fût devenu président de la République, s’il n’eût été emporté prématurément, foudroyé par une sclérose en plaques -, Colette ayant épousé en secondes noces l’éditeur Claude Gallimard,

mon beau-frère étant Ivan Terestchenko, pastelliste, aquarelliste, photographe d’art pour Vogue et pour Maisons du Monde, ayant de ce fait photographié les intérieurs des maisons d’Yves Saint Laurent, et de l’aventurière exploratrice Bouddhiste Alexandra David-Néel, morte à cent un ans, peintre sur faïence, sculpteur, auquel je dois de m’avoir appris à faire ce Blog, dit Blog de Presbytéra Anna,

mon second époux étant et ayant été Michel Terestchenko, né à Londres, meilleur ami de mon premier mari Patric Ranson, et sorti premier à l’écrit au concours de l’agrégation de philosophie, et second à l’oral, élève à l’institut d’études politiques (Sciences Po. Paris), professeur agrégé de philosophie, maître de conférences à l’Université de Reims, jamais titularisé ni passé professeur de l’Université, en raison des cabales suscitées contre lui, discriminé pour ses appartenances religieuses connues, détestées, et persécutées au sein de l’Université, vacataire à l’institut d’Etudes politiques d’Aix en Provence, en religion, Evêque de l’Eglise Orthodoxe Française, sous le nom de Mgr Photios, Evêque de Lyon, adepte de la méditation matinale, l’hiver même, pieds-nus dehors, auteur d’essais philosophiques et littéraires, entre lesquels Un si fragile vernis d’humanité fut un succès de librairie, caracolant en tête des meilleures ventes en librairie, et meilleure vente au Camp des Milles – Camp de déportation et d’extermination de la Solution Finale de la Question Juive lors de l’Holocauste - à Aix-en-Provence, - la Shoah ayant fait six millions de morts- , Mgr Photios, donc, Evêque de l’Eglise Orthodoxe Française, sous le nom de Mgr Photios Evêque de Lyon, ayant résigné sa charge et ses fonctions épiscopales pour m’épouser, - afin de me sauver du suicide, et de la dépression sévère chronique, dont je suis résiliente, à la mort de mon premier époux Père Patric et de ma fille Photinie, et pour nous sortir de la rue, mes trois enfants survivants et moi, étant à l’époque une mère sans situation sociale, l’Etat français m’ayant injustement radiée une première fois de l’Education Nationale, - Mgr Photios, que, nulle haute autorité ecclésiale dans le monde de la Chrétienté Orthodoxe n’ayant osé déposer de sa haute position ecclésiale et de ses fonctions épiscopales, demeurant à ce titre Evêque, jusqu’au jour de sa mort, et destiné et voué à mourir Evêque, et à être enterré en Evêque,

mes enfants étant,

Photinie (Claire Vassilia) (Ranson), morte à l’âge de dix ans, en classe de quatrième, durant un pèlerinage en Grèce, dotée d’un extrême esprit de sérieux, et d’un sens inné des responsabilités, à l’image de son père extrêmement brillante intellectuellement, ayant été reconnue enfant surdouée par des tests de mesure du quotient intellectuel, ayant trois ans d’avance en classe, ayant fait ses études primaires à Bois-Colombes (92) dans un établissement sous contrat, l’école publique française ne reconnaissant pas le droit à sauter des classes aux enfants surdoués, puis élève au lycée Pasteur de Neuilly sur Seine, dont le proviseur disait qu’elle était « la mascotte de son lycée », où elle faisait, en quatrième, quatre langues, ajoutant au latin et au grec l’étude de l’anglais et du russe ; ensevelie et enterrée au cimetière de Levallois-Perret (92), avec son papa Père Patric (Ranson), en la tombe miraculeuse de son grand-père d’adoption Saint Ambroise de Paris ( le Révérend Père Ambroise de Paris),

Irène (Théodora Agnie) (Ranson-Terestchenko), sœur inséparable de Photinie, artiste, danseuse, actrice de théâtre et de cinéma, aventurière, sachant l’anglais et le russe, partie à dix-sept vivre un an à Kiev, en Ukraine, pour y faire ses classes de piano, ayant voyagé en Grèce, Mongolie, au Mexique, en Mongolie, où elle dormit sous la yourte, Intermittente du Spectacle, ayant joué tant les jeunes premières que les soubrettes de Molière aux Matinées Classiques où l’on joue Molière, au théâtre du Marais à Paris, musicienne, professeure de piano, doctorante en philosophie, spécialiste de phénoménologie, l’une des premières femmes phénoménologues en France, dispensant des cours de philosophie aux étudiants, conférencière à l’Université de Sophia-Antipolis à Nice, en présence d’éminents professeurs du Collège de France, ayant vingt ans vécu au R.S.A., le classicisme, la grande culture, la haute culture, les arts, la musique et le théâtre étant sinistrés en France, et ce même théâtre, dont le théâtre classique, qui se meurt en France, dans la majeure partie des cas, n’étant pas subventionné par l’Etat, de là que les acteurs du théâtre classique ne gagnent que vingt misérables euros par représentation théâtrale, ladite représentation fût-elle des plus talentueuses, des plus brillantes et des plus physiquement éprouvantes ; la somme totale de ses divers « travails » ajoutés ne lui permettant de nourrir ses enfants que d’invendus dits « Too good to go » à Trois, quatre ou cinq euros, et de ne les vêtir qu’en magasin de troc, nulle artiste non subventionnée ne pouvant vivre de son Art en France,

mon premier gendre étant Jonathan-Théophile, musicien, improvisateur, ancien chef de fanfare aux armées, professeur de saxophone au Conservatoire de Marseille,

leurs enfants étant

Anoushka, enfant surdouée, grande intellectuelle, et grande pianiste dès son plus jeune âge, déjà pianiste de concert, ayant l’oreille absolue, et désirant devenir compositrice, élève en classe à horaires aménagés de musique au lycée Thiers de Marseille, circassienne (élève de classe de cirque) à ses heures,

et Abel, élève de maternelle, très prometteur, mélomane, et déjà acémète,

mes autres enfants étant donc :

Séraphim (Ambroise Maxime) (Ranson-Terestchenko), artiste, aventurier, successivement pizzaïolo- livreur de pizzas à scooter, étudiant de dessin à la faculté d’Aix-en-Provence, étudiant en philosophie de l’esthétique à Paris-Sorbonne, ayant vingt ans vécu au R.S.A., l’art étant sinistré et les artistes, quasiment non rémunérés en France, ne pouvant vivre de leur art, de là contraints de facto -par le fait - de vivre une vie de poètes maudits, photographe aux armées et ailleurs, ancien élève de l’école d’arts graphiques Penninghen de Paris, graphiste, Intermittent du Spectacle, sculpteur, exposant, auteur de happenings, co-fondateur et créateur du mouvement artistique None Futball Club, dont diverses œuvres d’art, et autres sculptures et happenings, ont été exposées dans des musées, ainsi qu’au Palais de Tokyo à Paris, mouvement artistique salué dans la presse, notamment allemande, comme émané des jeunes artistes contemporains les plus prometteurs de Paris, motard, miraculé après être passé sous les roues d’un camion, lequel est auteur d’un délit de fuite, ayant survécu à plusieurs très lourdes opérations chirurgicales de plus de dix heures chacune, auxquelles les médecins et les chirurgiens pensaient qu’il ne pourrait pas survivre, ayant souffert un mois en service hospitalier de réanimation les souffrances de la croix, apnéiste, ce qui est dire plongeur en apnée, adepte de la méditation et des techniques psychiques enseignant la maîtrise de son esprit et de soi, exerçant le travail alimentaire de chef-machiniste au Festival d’Aix en Provence, au Palais de Tokyo à Paris, au Théâtre des Amandiers à Nanterre, etc…, nul artiste non subventionné en France ne pouvant vivres de son Art, marin au long cours, ayant voyagé au Mexique, au Pérou, en Guyane, piloté son voilier jusqu’à Madère, où la Providence lui donna à voir, fait très rare sous ces latitudes, une baleine et son baleineau, et ailleurs, sachant l’anglais et le grec moderne,

Marie (Ranson), enfant morte-née, ensevelie au cimetière de Levallois-Perret,

Vassilissa (Vassilia, Pauline) Ranson-Terestchenko, harpiste, danseuse, aventurière, sachant l’anglais et bilingue en espagnol, ayant voyagé en Grèce, dans l’île de Djerba, au large de la Tunisie, ayant vécu un an au Mexique, où elle fit la connaissance de Gabriel Garcia-Marquez, prix Nobel de Littérature, qui l’ invita chez lui, successivement vendeuse de foulards indiens à Paris, élève de l’école de photographie de Levallois-Perret, photographe, étudiante en lettres modernes, en anthropologie, en linguistique, à l’école d’acupuncture d’Aix-en-Provence, acupunctrice, thérapeute de médecine chinoise en cabinet à Paris, botaniste, diplômée d’une licence spécialisée en librairie, ayant dix ans vécu au R.S.A., les étudiants en France étant trop pauvres pour pouvoir subvenir à leurs besoins, et se nourrir à leur faim dans les conditions actuelles, surtout dans les grandes villes et dans la capitale, de si grande cherté de la vie, libraire à la prestigieuse librairie Gallimard de Paris,

Pauline ( Alexandra, Photinie) Terestchenko, artiste, aventurière, successivement enfant précoce ayant marché et descendu les escaliers à neuf mois, adepte à quatorze ans du scooter, élève au lycée Cézanne d’Aix-en-Provence, bar-woman à Aix-en-Provence, pastelliste, aquarelliste, élève d’hypokhâgne et de khâgne au lycée Thiers de Marseille, admissible à l’Ecole Normale Supérieure, élève de l’ESCP ( Ecole Supérieure de Commerce de Paris), sachant le grec ancien, l’anglais et le russe, ayant voyagé en Grèce, au Mexique, puis sur les traces de ses ancêtres, à Kiev en Ukraine en février, en pleine tempête de neige, ayant vécu un an en Afrique, en Côte d’Ivoire, ayant fait un stage de six mois à Berlin en Allemagne, et un stage de six mois en Inde, à Calcutta, dans une école de commerce indienne, ces six mêmes mois, Bénévole de Mère Térésa de Calcutta à Calcutta, à la maison-mère de laquelle elle se rendait en tchouk-tchouk dès cinq heures du matin, pour assister les enfants handicapés de Mère Térésa, ayant fait son mémoire sur la gestion économique de l’œuvre de Sainte Mère Térésa de Calcutta, - laquelle gestion est bien plutôt, selon que me l’a montré empiriquement de deux ans de Bénévolat chez la Sainte Mère Térésa de Calcutta à Paris, celle d’une entreprise qui ne fonctionne, et ne peut fonctionner qu’à la Providence, et selon les lois et les voies miraculeuses de la Providence, - adepte de la méditation, telle qu’elle lui fut enseignée en Inde par un grand méditant Indien, ermite dans la forêt, et qui lui dit qu’elle avait « en elle le feu d’un lion », - colocataire à l’association Caracol, - qui réquisitionne des logements vides pour y loger des Migrants et des étudiants sans ressources à très bas prix, en vue aussi d’exercer l’accueil et l’hospitalité des Migrants, d’assurer aux Migrants un logement social, et de développer la mixité sociale -, colocataire, donc, à Caracol du jeune Mortaza Behboudi, Migrant venu d’Afghanistan en canot pneumatique par la Méditerranée, ayant connu les camps de Migrants de Lesbos en Grèce, réchappé du camp grâce à son talent de réalisateur de vidéos sur son téléphone, de là devenu talentueux reporter et documentariste d’Arte, fait prisonnier des Talibans pour être retourné en Afghanistan filmer la condition des femmes réprimées et oppressées d’Afghanistan, miraculeusement libéré après six longs mois de son emprisonnement par les Talibans, contre toute attente, par les Prières puissantes des Pères de mon Eglise Orthodoxe française, qui prient également, dans la Divine Liturgie, pour la libération des prisonniers, Pauline étant ensuite devenue co-directrice de l’association Caracol, business-woman, cheffe d’entreprise, créatrice et directrice de SWAG ( lequel sigle est l’acronyme de Share What Art Gives, qui signifie en anglais Partagez Ce que l’Art Donne), entreprise artistique de danse africaine de rue, fondée dans un but artistique et à visée d’entreprenariat social, afin de procurer un travail à des danseurs africains migrants talentueux, entreprise méritante, dont elle a dévoilé le projet lors d’une conférence à l’Institut du Monde Arabe, en présence d’hommes politiques d’importance, tels Benoît Hamon, ancien candidat à la présidence de la République, et Jack Lang, ancien ministre de la culture, Pauline ayant été également remarquée et soutenue par d’autres personnalités politiques allant de députés divers jusqu’à François Hollande, ancien Président de la République Française, et ayant été récemment victime d’un acte de cyber-criminalité, par quoi lui ont été escroqués douze mille (12 000) euros sur le compte de son studio de danse, et sur ses économies destinées à rembourser ses dettes, acte criminel dont elle n’a pu recevoir nulles réparations ni dédommagement aucun de la banque, végétarienne,

Angéline ( Blanche Colombe) Terestchenko, artiste, aventurière, successivement, de par son âme sensible, amoureuse des animaux, dont les chats et les chiens, cavalière titulaire du galop 7 professionnel d’équitation, étudiante à la faculté d’économie d’Aix-en-Provence, élève d’une école de communication à Paris, bilingue en anglais, ayant effectué un stage de six mois à New York, et un stage de six mois à Shangaï, en écoles de communication, yoggin, business-woman, photographe de mode, directrice artistique, demeurant à Lisbonne au Portugal, ayant voyagé en Grèce, au Portugal, en Espagne, en Suisse, aux Etats-Unis d’Amérique, en Chine, aux îles Maldives, au désert de Gobi, où elle fut photographiée en la posture acrobatique d’un yoggin, et ailleurs, végétarienne,

Aliocha (Terestchenko), enfant mort-né,

Théophane ( Silouane, Ambroise)Terestechenko, né en état de mort apparente, miraculé, aventurier, successivement étudiant à la faculté d’économie d’Aix-en-Provence, guitariste, motard, vendeur-livreur pour un magasin de sushis, ayant un an entier donné des cours de français à un jeune Migrant Soudanais, dans le cadre de l’alphabétisation des Migrants à Aix-en-Provence, bilingue en anglais, élève de l’EM (Ecole de Management) de Lyon, végétarien, ayant voyagé en Grèce, à Prague, en Pologne, au camp de concentration d’Auschwitz en Pologne, en Angleterre, en Ecosse, aux îles Canaries, aventurier, parti seul, à vingt ans, à l’autre bout du monde, dans l’îlot de Guili, face à Bali, en Indonésie, pour y effectuer un stage dans une association de défense de l’environnement, ayant fait remporter à son association, par les prières des Pères de l’Eglise Orthodoxe Française, qui prient pour cette cause, un grand prix pour la protection du récif coralien, plongeur sous-marin en compagnie des requins, engagé pour la sauvegarde des requins, dont la survie est nécessaire à l’équilibre des fonds marins, documentariste, monteur-vidéo de films pour des reporters de guerre filmant notamment la guerre perpétrée par Israël à Gaza en Palestine, laquelle est plus au vrai un génocide de plus sur la terre, ayant fait à ce jour 250 000 morts, génocide outre lequel s’ajoute la famine des populations palestiniennes et arabes, la famine utilisée comme arme de guerre étant un crime de guerre, contraire au Respect des Droits de l’Homme, famine organisée conjointement par Israël  et par les Etats-Unis d’Amérique, tous Etas génocideurs, et aux présidents génocideurs, quand bien même et lors même qu’il faut que la communauté internationale œuvre et parvienne à empêcher tout acte de génocide ;

tels étant mes enfants, dont l’on me dit souvent qu’ils sont des beautés rares, des beautés ravissantes, ou plus beaux que des modèles, et dont Monseigneur Philarète, Métropolite de France, a dit qu’ils avaient pris toute la quintessence de la beauté du monde ; ces enfants qui sont surtout gentils et intelligents, sur le berceau desquels ne se sont pas tant penchées les fées, que, par les prières de mon Père Saint, Saint Ambroise de Paris, les effets merveilleux de la Providence, qui les dota de mille dons et charismes, et sur qui sont les prières des Pères de mon Eglise Orthodoxe Française,





A Monsieur Emmanuel Macron,

Président de la République Française.



Monsieur le Président,



Permettez-moi, en cette seconde lettre ouverte à vous adressée, de revenir ici vous soumettre avec déférence quelques nouvelles requêtes, doléances, et propos spirituels, mais, auparavant, de vous remercier aussi humblement, vivement, et chaleureusement qu’il se puisse, pour avoir pris la peine de faire répondre à ma première lettre du mois de novembre par votre cabinet et bureau dédié, et, plus encore et surtout, pour les nouvelles mesures que vous venez de prendre à cet égard, bien qu’il serait démesurément orgueilleux, présomptueux, et outrecuidant de croire que ma lettre précédemment adressée à vous puisse être pour grand-chose dans ces nouvelles mesures de votre ligne politique prises en faveur des S.D.F. et des Migrants torturés par le froid, et en mourant, et qu’il faille plus plausiblement imputer ce miracle inouï de votre subit accès de grande générosité magnanime envers ces mêmes S.D.F. et ces mêmes Migrants au travail incessant et acharné des diverses Associations de Bienfaisance et Humanitaires, - au premier rang desquelles il faut citer celle des Sauveteurs en Mer Méditerranée, ainsi qu’en a été d’avis et selon que vous l’a exprimé le Pape lors de son allocution au stade-vélodrome de Marseille, lesquelles toutes Associations oeuvrent sacrificiellement, et avec le plus grand désintérêt, à la survie, au mieux-être et au bien des plus pauvres des pauvres, nécessiteux, indigents, miséreux, vagabonds, quart-mondistes, Sans-Abris, S.D.F. (Sans Domicile Fixe), P.A.R. (Personnes A la Rue), et Migrants, tous Grands-Souffrants, - et des plus démunis -, votre générosité nouvelle donc, qui vient tout récemment de retirer de la rue les enfants Sans-Abri, vivant à la rue, et dormant dans la rue, par des froids torturants et mortels de moins 10 degrés Celsius, avec leurs familles, pour les mettre à dormir, au chaud, dans les écoles ; votre générosité, infléchissant nouvellement votre ligne de conduite et de politique, qui vient également de débloquer des fonds importants, et la somme conséquente de 120 Millions d’euros pour les S.D.F. et les Migrants, dormant à la rue, sous la tente, ou même, pour les plus pauvres d’entre eux, sans tente aucune, jusqu’à ce que mort s’ensuive. Cependant, l’on attendrait encore une enveloppe historique de fonds beaucoup plus conséquents, qui constituerait un apax, - un fait unique- jamais vu dans l’Histoire de France.

Que les Migrants sont de Grands-Souffrants, la littérature qui leur est consacrée le montre assez, ainsi que le dépeint, à ne prendre que ce seul exemple, l’auteur Laurent Godé dans son livre Eldorado. De même que le grand et beau film : « Moi, Capitaine ». Ces Migrants ont fui les bombes des guerres, la sécheresse, la famine, ou le changement climatique, rendant leur terre, leur pays ou leur contrée inhabitable. Ils ont eu à affronter, est-il retracé dans ce film, en un longue périple interminable pour venir à pied et en pirogue d’Afrique jusqu’en Europe, les mille dangers d’une route périlleuse jusqu’à la torture et à la mort. Pour ne trouver, au terme de cette terrible et redoutable équipée, que le non-accueil, la misère, ou l’internement en camps de rétention concentrationnaires d’une riche Europe, égoïste, froide, individualiste, indifférente, abandonnienne, non serviable, non solidaire, raciste, et athée, qui refuse de les assister et de les secourir, alors que vieillissante, et sans plus d’enfants, elle a encore besoin de leur main d’œuvre précieuse……………………………………………………….

La loi sur l’immigration, loi de la honte……………………………………………………………………………….

A l’heure de la dénatalité française, qualifiée par les sociologues spécialistes de la famille d’ « hiver démographique », et du sinistre vieillissement d’une population européenne, où l’on n’a plus dans la rue la joie de croiser ni de voir femmes enceintes, bébés, ni enfants, mais juste de jeunes punks « paumés », des adultes, et des seniors vieillissants, lesquels cachent et dissimulent aux EPHAD – maisons de retraite - une foule de vieillards dont ils ont honte, en lieu et place de les garder à domicile, de les respecter et de les vénérer – car les jeunes n’ont plus aucun respect pour les Anciens, contrairement à l’enseignement des Pères, dont Saint Benoît, qui rappelle en sa Règle : «  Il faut vénérer les vieillards » ; ces Anciens qui sont seuls en mesure de transmettre à leurs petits-enfants la Tradition et les valeurs morales, sans lesquelles une société se barbarise et se meurt ; ces grands-parents dont l’Abbé Pierre, en son livre, J’aurais voulu être marin, missionnaire ou brigand, écrit que si leurs petits-enfants sont coupés d’eux, ces enfants sont comme des arbres sans racines et ne peuvent grandir ni croître harmonieusement - ; à cette heure triste jusqu’au sinistre donc, seuls les immigrés et les migrants ont une natalité dynamique, au plus grand mépris de leur misère, ce en quoi ils ont raison, se confiant à la Providence, allégoriquement représentée dans nos campagnes par la cigogne, apportant en son bec au nouveau-né le baluchon de tout ce dont il aura besoin dans sa vie pour subsister sans manquer de rien. Car le Christ dit : «  Je vous ai envoyés… Et vous n’avez manqué de rien. » Dans les Indes lointaines, les pauvres disent qu’il leur faut avoir huit enfants au moins, pour qu’ils aident plus tard matériellement leurs parents, par leurs dons d’argent, chaque enfant donnant un peu, pour que les parents aient, à la fin, un revenu substantiel, et en sorte qu’il y ait l’un de leurs enfants au moins pour s’occuper d’eux dans leur vieillesse. Ils savent aussi que les enfants sont toute la joie, et la richesse, du pauvre et du prolétaire, prolétaire venant étymologiquement du mot latin « proles », qui signifie prolifique en enfants.

En cette heure donc de la dénatalité européenne et française et de ce que les sociologues de la famille dénomment « l’hiver de la natalité française », il convient de redorer l’image et le blason des Mères et de la maternité………………………………………………

Concernant cette dénatalité inquiétante en France, qui fait craindre aux sociologues de la famille le remplacement de la population, vous avez, Monsieur le Président, fait l’annonce de la mise en place d’un congé paternité. Là où on attendait des mesures phares, ce n’était pas là, loin s’en faut, une annonce fracassante. Ce n’était même guère qu’un emplâtre sur une jambe de bois. En quoi un allongement du congé paternité du père redonnerait-elle aux jeunes femmes l’envie d’être mères ? Pour parler plus que familièrement, cela n’avait rien à voir avec la choucroute. Une jeune femme, voyant qu’une mère ne reçoit nul salaire pour son travail à la maison, de beaucoup plus lourd, plus exténuant, et comprenant bien plus d’heures travaillées et non rémunérées qu’un travail au dehors, voyant qu’une mère, ne pouvant dès lors joindre les deux bouts, est tout d’abord contrainte d’aller travailler en sus à l’extérieur, de là recevant double charge de travail, puis, constatant bien vite qu’un travail à l’extérieur ne peut rapidement plus se mener de front avec un travail encore plus lourd à la maison, est, pour finir, contrainte d’abandonner son travail au dehors, pour ne plus rester qu’au foyer, n’y recevant dès lors nulle, ni aucune, reconnaissance sociale de son travail, tant est forte la pression sociale qui impose à la société entière le mépris des mères - c’est ainsi, pour prendre mon exemple, et pour ce que je le connais bien, d’expérience, qu’une fausse amie, venue me rendre visite à la maison, où j’étais, par le fait, et de par l’ampleur de ma tâche domestique, contrainte de rester pour y élever sept enfants, m’avait dit : «  Tu ne travailles pas, parce que tu n’en es pas capable. Tu n’es qu’une fatma », - cette mère ne disposant plus dès lors, sur son compte en banque, à supposer même qu’un tel compte bancaire existe, qu’un revenu minimal, dont il est tôt fait de constater qu’il se situe très en deçà du seuil de pauvreté, voyant , pour comble d’injustice que cette même mère, à l’heure sonnant de la retraite, ne dispose d’aucun droit, et se voit, plus au vrai, spoliée de tout droit à la retraite, comment une telle jeune femme aurait-elle encore envie d’être mère ? Que le père fasse sa part de travail ou non à la maison, cela ne change rien à l’affaire. Du reste, le fait que la mère ne dispose d’aucun salaire, en propre, l’inféode naturellement à la mentalité patriarcale d’un mari et d’un père, seul à disposer d’un salaire, et donc seul à tenir les cordons de la bourse, ce qui conduit ladite femme et ladite mère à vivre sur ce mode même patriarcal et matchique d’un mari seul habilité à faire les courses, et maintenant sa femme enfermée à la maison, « pour qu’elle dépense moins », ainsi que me le contait un mari arabe, rencontré, lorsque j’étais jeune mère, sur le marché de Levallois-Perret.

Il faut donc pensionner les Mères.

A quoi s’ajoute le fait que les jeunes filles sont devenues éco-anxieuses, au vu de la crise économique, de la crise climatique, et de la crise apocalyptique qui s’annonce.

Qu’il convient de recevoir et d’accueillir les Migrants, cela est encore stipulé dans l’Evangile, comme le rappelle Saint Benoît en sa Règle : «  Tous les hôtes qui arrivent seront reçus comme le Christ, car Il (le Christ) dira un jour (au Jour du Jugement Dernier, à son Divin Tribunal : « J’ai été votre hôte, et vous m’avez reçu . » Ou bien : « Allez-vous en, je ne vous connais pas…Car j’ai été étranger, et vous ne m’avez pas reçu. » Et : «  Le Christ ne fait plus acception de personne.. Il n’y a plus en Christ esclave ni maître, Juif ni Grec… ». A quoi Saint Benoît ajoute en sa Règle – Cf Règle de Saint Benoît, Editions Desclée de Brouwer, citée supra-, au chapitre 53 Des hôtes à recevoir :

1 Tous les hôtes qui arrivent seront reçus comme le Christ. Car Il dira un jour ( - au Jour redoutable du Jugement, à Son Divin Tribunal du Jugement Dernier - ) :

« J’ai été votre hôte, et vous ne m’avez pas reçu. »

2 A tous on rendra les égards qui leur reviennent, surtout aux frères dans la Foi et aux pèlerins.

3 Dès qu’un hôte sera annoncé, le supérieur ou des frères iront à sa rencontre, avec l’empressement requis par la charité.

4 Avant tout, ils prieront ensemble, puis se donneront le baiser de paix. »

Au nom du Christ, il faut, du reste, supprimer la loi sur les signes injurieusement et aberramment dits signes « ostentatoires » de religion, interdisant diaboliquement d’arborer publiquement sa croix. Car les Chrétiens ne sauraient jamais se départir de leur Croix, signe de la Victoire du Christ sur la Mort ; Croix qui éloigne aussi les Puissances adverses et les en protège de leurs méfaits, de leurs machinations perverses, et de leurs attaques maléfiques, pour ce que le Diable et ses légions de démons redoutent la puissance de la Croix.

Il faut, donc, dans le Christ, et pour le Christ, - et j’aimerais vous inciter à le faire, s’il était en mon pouvoir de vous y inciter, - il faut continuer l’œuvre immense, et le combat spirituel, de Sainte Térésa de Calcutta, et du Saint Abbé Pierre, personnalité préférée des Français, dont le film : « L’Abbé Pierre, une vie de combats », grand film, jouxtant l’admirable, et confinant au sublime, retrace si fidèlement et si magnifiquement la vie, telle qu’il la décrit en son livre admirable : J’aurais voulu être marin, missionnaire ou brigand.

Car, récemment encore, selon une directrice de la Croix-Rouge, sainte laïque de mes amies, les subsides, subventions et crédits accordés à l’Aide Alimentaire n’ont cessé de diminuer, et les rayonnages des Epiceries Solidaires sont vides, ou quasi. Les Restaurants du Cœur, devant faire face à un afflux considérable de demandes en constante augmentation, du fait de la Nouvelle Pauvreté qui règne actuellement en France, sont contraints, scandaleusement, de refuser de nourrir des milliers de bouches affamées.

Et où est la soupe populaire d’antan et de jadis ? - Seule et unique source de vitamines et seul plat chaud des pauvres ?

Mais, dans le même temps, donner, dans le meilleur des cas, une soupe chaude et une chocolatine rassie, d’entre les invendus d’une boulangerie, en quoi, et de quoi cela servirait-il aux indigents, aux nécessiteux, aux S.D.F. et aux Migrants à la rue, pour leur éviter et les empêcher de mourir de froid ?

C’est donc insuffisant. Ce qu’il faut aux plus pauvres des pauvres, ce n’est pas la rue ; ce sont des abris.

Non seulement il faut les laisser dormir au chaud dans le métro, - où il faut remettre tous les bancs, sadiquement et perversement enlevés pour les empêcher d’y dormir -, les laisser dormir au chaud, donc, dans les écoles, les collèges, les lycées, et les gymnases, mais, à l’imitation des pays nordiques dont les gouvernements leur font construire des chalets pour les protéger du froid, il faut leur bâtir des abris, des refuges, des centres d’hébergement, tant d’urgence que pérennes, et des logements sociaux.

Car il faut également cesser, comme étant la seule solution trouvée par le gouvernement, solution qui s’apparente plutôt à une solution finale et létale, qui cause la mort des internés, il faut cesser d’interner les pauvres en asile psychiatrique, et de psychiatriser la pauvreté, qui n’est en rien une maladie psychiatrique, si l’on agit assez tôt pour sortir les pauvres de la rue, et lorsqu’ils sont encore en début de rue. Car, à trop tarder, il devient trop tard, car, de fait la dureté insoutenable de la rue est le prélude d’une descente aux Enfers dont l’horreur rend fou.

Mais aux asiles, les internés sont privés de leur bien le plus précieux, la liberté, et ils sont torturés chimiquement, par des camisoles de force chimiques, ou autres procédés de torture, les asiles en France étant des lieux de torture et de non-droit, comme le stipulent clairement, crânement, cyniquement, et sans honte les affiches du règlement intérieur qui y sont placardés sur les murs.

Touchant aux asiles, il faut supprimer en France l’internement abusif. Car contrairement à ce qui se passe en Angleterre, où la loi de l’Habeas corpus, - qui signifie, en latin, « Sois maître de ton corps », lequel s’interprète comme l’énoncé d’un droit fondamental à disposer de son corps, et désigne le principe général de la liberté individuelle en régime démocratique, c’est-à-dire la libre disposition par l’individu – le citoyen – de sa personne et de ses biens, loi et droit de l’Habeas corpus promulgué en 1679, y empêche depuis des siècles – le dix-septième siècle en l’occurrence – de jeter n’importe qui aux prisons et aux asiles, ce qui est dire d’emprisonner et d’interner selon les règles du pur arbitraire, règne la détention arbitraire en France, où il est permis d’interner à loisir, et pour le dire vulgairement, d’interner à gogo, selon que cela vous chante, qui bon vous semble. Comme ce fut mon cas, moi qui fus trois fois quarante jours, dont cinq jours à l’isolement, en cellule d’isolement, et une cinquième fois trois jours. L’Abbé Pierre, qui gênait les hommes politiques, qu’il arrangeait de le faire passer pour fou, fut lui-même longuement interné, aux jours, dit-il, qui furent les pires de sa vie.

Il faut supprimer aux asiles psychiatriques la cellule d’isolement, chambre de torture, hautement traumatisante, et cauchemardesque, dont les chercheurs américains ont démontré qu’au-delà de cinq jours l’interné court grand risque d’ y devenir fou - Cette suppression de la barbare cellule d’isolement, inadmissible et impensable en démocratie, que nul, ni nulle association n’a jamais pu obtenir au Tribunal International de la Cour Internationale de Justice de La Haye.

Il faut interdire absolument l’usage délétère, défigurant et létal des neuroleptiques, prétendument médicaments, mais plus au vrai poisons mortels usités dans les asiles de France,

Or, n’oublions pas que dans un Etat de Droit, le gouvernement doit respecter le Droit et être le Garant du Respect du Droit.

Ce même Abbé Pierre, soit dit en passant, qui après avoir, au péril de sa vie, longuement, et à maintes reprises, sous la neige, par des cols de montagnes, en altitude impraticable, fait passer des Juifs en Suisse, pour leur sauver la vie, et ayant, comme par don de prophétie, semblé voir à l’avance ce qu’il en serait des Juifs à l’heure où se déroule, sous tant de yeux indifférents, appuyé par les Etats-Unis d’Amérique, du fait de gouvernants devenus criminels de guerre, l’atroce génocide Palestinien qu’ils accomplissent criminellement, ce même Abbé Pierre, donc, en écrivait ibidem – au même livre cité supra – J’aurais voulu devenir marin, missionnaire ou brigand - : « Après avoir risqué nos vies pour sauver des Juifs durant la guerre, après avoir eu tant de sympathie pour Israël, je constate qu’après la constitution de leur Etat, les Juifs, de victimes (de la Shoah) sont devenus bourreaux. »

La guerre menée par Israël en Palestine est plus au vrai un génocide. A ce jour les Israéliens ont fait 25 500 morts Palestiniens. Vingt-cinq mille cinq cents morts. Peut-on se rendre compte de ce qu’ un tel chiffre, aussi exorbitant, peut recouvrir de deuils, malheurs, de souffrances, d’horreur humaines ?

Un bombardé disait : «  Ils parlent de Justice, de Droits Fondamentaux, et de Droits de l’Homme, mais où sont les Droits des Peuples Opprimés et Bombardés ? »

Quant à la guerre que mène la Russie contre l’Ukraine, elle est non moins atroce, qui tue tous les jeunes gens de l’Ukraine, ne laissant plus, sur son sol dévasté, que des mères éplorées et dépressives à vie, des veuves folles de douleur, couchées une vie durant par le désespoir, et des orphelins privés de toute protection et détruits à vie. Guerre d’autant plus atroce qu’il s’agit d’une fratricide guerre civile, entre frères dans le Christ de même religion Orthodoxe, de même ethnie et de même race.

Que tout soit fait pour qu’elle cesse au plus vite, et que l’Ukraine entre, par après, dans l’Union Européenne.

Prions pour le monde.

Touchant la fabuleuse fortune de la famille Terestchenko, lorsque cette guerre atroce d’invasion de la Russie contre l’Ukraine sera enfin, et au plus vite, terminée, je vous demande, Monsieur le Président, d’intercéder auprès du Président de l’Ukraine, afin qu’il votât des lois de restitution, en sorte de rendre à ses héritiers la fabuleuse fortune de leurs aïeux, par manière que ladite fortune pût servir à couvrir de gloire et d’honneur l’Eglise Orthodoxe Française et, en particulier à lui donner en France un Monastère mixte de Moines et de Moniales.

Le président russe Vladimir Poutine a beau se faire photographier, par ses sbires, embrassant l’icône de la Très Sainte Mère de Dieu de Kazan, il a beau confesser ses crimes à son métropolite démoniaque, lequel est un ancien tortionnaire du KGB, s’en faire absoudre d’avoir tué des Millions d’âmes innocentes de Martyrs, pour retourner aussitôt en tuer des Millions d’autres, comme un chien retourne à son vomi, selon le dire des Saints Pères de l’Eglise, cela n’ôte rien au fait qu’il est un monstre sanguinaire, un monstrueux criminel de guerre, un possédé du Diable, qui a une légion de démons. Quant à son métropolite KGB, faux-prêtre prétendument Orthodoxe, instrument et simple rouage de sa machine à propagande, c’est un repoussoir de l’Orthodoxie, qui donne une image déplorable, horrible, atroce, odieuse, insoutenable, et repoussante de l’Orthodoxie.

Tous les gouvernants, quels qu’ils soient, qui entrent en guerre, font la guerre, et bombardent des populations civiles entières, quelles qu’elles soient, et pour quelque motif que ce soit, sont de grands criminels de guerre, qui doivent répondre de leurs actes tortionnaires, et être jugés par un Tribunal International, auquel l’on donne les moyens d’être punitivement efficace, ce dont l’on devrait avoir l’ambition, et, par après, avoir les moyens de son ambition, en sorte que ledit Tribunal devrait être efficient en matière de jugement des Crimes contre l’Humanité, et prendre des mesures punitives exemplaires, comme de les interner aux asiles psychiatriques.

Car la quasi-totalité du monde est gouvernée par des tyrans, qui bombardent la planète, rendant bientôt la quasi-entièreté de la terre inhabitable, tuant, par millions d’êtres humains, les populations civiles, générant et fabriquant, par millions, réfugiés et personnes déplacées, condamnés à vivre leur vie entière sous des tentes, nouveaux sans-abris, que le sociologue Zygmunt Bauman dénomme dans ses livres les « infra-humains ».

De ces infra-humains font aussi partie les migrants enfermés à vie dans des camps de rétention, qui sont plus au vrai des camps de la honte, où ils mènent une vie horrible et indigne, et où ils sont privés du bien le plus précieux et du droit le plus fondamental de l’homme, c’est à savoir leur liberté.

Tous ces tyrans qui oppriment et tuent les peuples reçoivent, d’ores et déjà, et recevront, ultérieurement, de Dieu Sa double Justice : justice immanente, dès ici-bas sur terre, et Justice Divine, Là-Haut, dans les Cieux, et Eternelle.

C’est ainsi que le Président de la République Française, Jacques Chirac, qui bombarda le Kossovo, saint berceau de la Serbie et de l’Orthodoxie serbe, fut peu après les avoir bombardés, atteint de la maladie d’Elzheimer, qui le conduisit à la démence.

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Autre crime contre l’humanité est l’avortement, selon que l’enseignent l’Eglise et les Pères de l’Eglise, selon que l’ont redit le Pape, et Sainte Mère Térésa, dans ses divers ouvrages, dont son maître livre intitulé Là où est l’Amour, là est Dieu ( in Le Livre de Poche), et selon qu’une moniale Orthodoxe sur son lit de mort me fit promettre de l’écrire. A ce titre, il ne faut pas inscrire dans la Constitution le droit à l’avortement. Mais développer en cours au lycée l’éducation sexuelle, et aider les très jeunes filles et les jeunes filles, pour qu’elles ne soient pas surprises et prises au dépourvu par une grossesse non désirée.

S’agissant des HLBT (- homosexuels, lesbiennes, bisexuels, transsexuels ou transgenres) - , l’Eglise et les mêmes Pères de l’Eglise enseignent que leur état de vie, et leur union sont contre nature. Les enfants qu’ils adoptent peuvent éprouver et souffrir par la suite de graves séquelles et souffrances psychiques, du fait d’avoir été privés de leur parent de l’autre sexe. Ce pourquoi il ne convient pas que l’Eglise leur accorde le mariage ni le droit d’adopter des enfants, et qu’il ne convient pas non plus d’inscrire leurs prétendus droits dans la constitution ni d’adopter la constitutionnalisation de ces mêmes droits. Assurément, il faut se réjouir qu’ait cessé la persécution si longtemps menée à leur encontre………….

Être homosexuel n’est ni une forme de folie, ni une maladie psychiatrique….

Et il convient, bien évidemment, de reconnaître à chacun la libre disposition de l’usage de son corps…………..

Mais il sied de prier en Eglise pour que ces homosexuels retrouvent une sexualité conforme à la nature. Et c’est pourquoi l’Eglise prie pour eux, et afin qu’ils soient délivrés de leurs souffrances.



Touchant la triste condition faite en France à l’intelligentsia, aux intellectuels, aux érudits, aux chercheurs, aux écrivains, et aux poètes, à leur paupérisation et à leur prolétarisation, au mieux, quand ils ne sont pas emprisonnés ou internés aux asiles pour leurs écrits jugés « non politiquement corrects », toutes gens de grande et de haute culture, qui sont les Lumières d’un peuple et d’une nation, et les phares d’une grande civilisation, faute desquels l’on sombre dans la Barbarie, telle qu’ a pu l’analyser le philosophe Michel Henry, dans son livre éponyme La Barbarie, le même Abbé Pierre, dans son même livre cité supra, J’aurais voulu être marin, missionnaire ou brigand, en écrit : «  Il n’est pas normal de sous-estimer la valeur des enseignants. Comment ne pas voir à l’évidence que c’est non seulement une injustice qui, à la longue, ne peut que paralyser gravement tout l’enseignement, de laisser tant de maîtres dans une condition si inférieure à celle que, à titre égal, l’on obtient dans les autres carrières. Jouer sans mesure sur les réserves de dévouement lorsqu’il s’agit d’une fonction, aussi essentielle que celle-là pour l’épanouissement de la nation, n’est-ce pas folie ? »

De fait, à mérite égal, un polytechnicien, d’entrée de jeu, se voit décerner un salaire cinq fois supérieur à celui d’un Normalien entrant dans la carrière du cursus honorum de l’Ecole ( Normale Supérieure). Un élève, issu d’une Grande Ecole de Commerce se voit rétribuer dans sa profession exponentiellement fois plus que ce même Normalien.

M. Gabriel Attal, le plus jeune premier ministre de l’Histoire de France, a déclaré qu’il « emmène avec lui l’école ». Il eût dû dire qu’il emmenait avec lui tout l’enseignement français, et toute l’Education Nationale, depuis l’école jusqu’au-delà de l’Université.

Mais de quelle école s’agit-il ?................................

Sans qu’il soit besoin de comparer la triste et misérable condition des professeurs et des Gens de Lettres en France à celle qu’ils peuvent connaître en Allemagne, en Suisse, dans les pays Nordiques, ou aux Etats-Unis, où ils ont un salaire n fois supérieur, et même de magnifiques logements et villas de fonction, les professeurs de France, dont le mérite intellectuel n’est jamais reconnu, sont totalement déclassés, prolétarisés, doivent assurer des conférences gratuites, ou totalement sous-payées, payer leurs transports, fût-ce à l’autre bout de la France, étant devenus de turbo-profs, se cassant le dos dans les trains, sans dédommagement ni réparation aucune, nommés au plus loin de leur famille, sans possibilité de rapprochement familial, et ne pouvant même plus rien enseigner, ni du tout faire cours, aucun enseignement ne pouvant plus passer la rampe ni atteindre les élèves, la démagogie ambiante régnant, et l’administration des écoles, des collèges et des lycées ayant une peur bleue des parents d’élèves, et, de là, donnant toujours tort aux professeurs et leur interdisant de punir. Or, faute de discipline, ainsi que j’ai pu le constater expérimentalement, durant mes trois courtes années d’enseignement en collèges et en lycée en banlieue parisienne, et lors de ma quatrième année d’enseignement, vingt ans après, à Aix-en-Provence, il est impossible d’enseigner, et de transmettre un savoir, a fortiori un savoir de qualité, éminent, et de haute volée intellectuelle…………………..

Les IPR : « Nous ne cherchons pas des gens qui savent, mais des animateurs, et des éducateurs, qui savent tenir leurs classes ». Lesdites classes étant, par le fait, impossibles à tenir en l’absence de toute sanction et de tout droit de punir, et hors de toute marge laissée aux directeurs d’établissements et aux professeurs de pouvoir sanctionner.

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De là qu’il devient de plus en plus difficile de recruter de professeurs, et surtout de bons professeurs, qui se reconvertissent ailleurs, et que les professeurs restants ont, pour la moitié d’entre eux, peur de leurs élèves, dont le comportement en classe est indescriptible et inqualifiable, qui attendent les professeurs sur les parkings avec des chaînes pour les tabasser, sortent leurs couteaux dans les couloirs pour menacer et terroriser les élèves, sur lesquels ils exercent leur harcèlement moral, violent les filles dans les toilettes, viennent armés en cours, et finissent par tuer leurs professeurs.

Oui, lorsque la violence, une violence sans frein ni mesure, l’hyper-violence, et lorsque l’impossibilité d’enseigner, que l’impossibilité de la transmission d’un savoir, et a fortiori, d’un savoir éclairé, envahissent l’école, règnent à l’école, et gangrènent l’école, de quel enseignement français peut-on encore parler ?

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A cette question de l’hyper- violence à l’école, ce gouvernement policier, répressif, et procédurier veut répondre par des mesures de justice. L’on nous parle d’en déférer à la justice, de tribunaux pour enfants, de juges d’enfants, de mesures éducatives, de travaux d’intérêt public, de service civique, d’internats. Quoiqu’il soit une excellente idée d’employer les délinquants, dans le cadre d’un service civique de réparation et d’amendement de leurs actes de délinquance, dont ils n’ont pas pris la mesure, à l’accomplissement d’actes de solidarité altruiste, et à les faire travailler à la Croix-Rouge ou aux Restaurants du Cœur, il ne s’agit pas non plus d’en revenir à une justice punitive et tortionnaire, à l’encontre d’ adolescents misérables, en mal d’amour, et sadiquement réprimés, à la manière des pauvres orphelins pitoyables de Charles Dickens, au XIXème siècle, qui font pleurer et saigner le cœur des mères. Avant d’en venir à une justice violemment et cruellement répressive, ce qu’il faut obtenir, c’est la réinstauration à l’école du Droit de punir et de sanctionner, de reprendre et de corriger.

La Bienheureuse Dina Bélanger, Religieuse du Canada, endormie dans le Seigneur en 1929, dans son livre « Je donnerai de la Joie, écrit : «  L’amour réel suppose la correction ». Il est impérieux de faire cesser à l’école le règne de la démagogie ambiante, émanée de la peur bleue des parents d’élèves, peur qui dicte la conduite des chefs d’établissements, lesquels, dès là, interdisent aux professeurs de punir leurs élèves. Il faut obtenir que les parents d’élèves, et que les élèves, cessent de dicter leurs lois, et de faire la loi, leur loi, aux professeurs.

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Cette démagogie à l’école, gangrenant toute la machine éducative, prolifère, telle une hydre tentaculaire, jusqu’à gagner et atteindre les plus hautes sphères de l’Université. C’est ainsi que le philosophe Michel Henry, dans son livre La barbarie, consacre un chapitre, éponyme, à la Destruction de l’Université. L’on en arrive à un nivellement par le bas généralisé. Par voie de consécution, l’on aboutit, et il en résulte une sorte de Révolution Culturelle française, à la chinoise, ce qui est dire que, faute de Savoir, s’est instauré le règne de la nullité intellectuelle et de l’incompétence. C’est ainsi, pour n’en prendre qu’un seul exemple, que les professeurs d’Université eux-mêmes, sont tenus et sommés de s’ « adapter » à leurs élèves, et de s’aligner sur la nullité intellectuelle de ces derniers, arrivés jusqu’en sixième dans un état d’ignorance effrayant, à un stade d’analphabétisation extrême, c’est-à-dire ne sachant pas lire. Parvenus jusqu’à l’Université, ces étudiants ne lisent toujours pas, et ne lisent pour ainsi dire rien. Mais, les professeurs d’Université, en lieu et place de leur donner chaque jour de longues listes mentionnant une multitude de livres à lire, se voient intimer l’ordre de ne rien leur donner à lire. C’est ainsi que l’Education Nationale tue l’instruction, et enseigne l’ignorance, jusqu’à l’analphabétisme.

Les continuelles réformes ministérielles de l’enseignement, depuis plus d’un demi-siècle, tuent l’enseignement et fabriquent, elles aussi, cette même ignorance……………………………………………..

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Monsieur le Président, vous avez dit qu’il faut rétablir le mérite, et donc en revenir à la méritocratie. L’on nous parle également d’exception culturelle française. Mais où est la méritocratie ? Où se situe celle-ci ? Et où est l’exception culturelle française ? Où se situe celle-là ? Pour ne prendre qu’un seul exemple, c’est à savoir le mien, puisque je le connais bien, d’ expérience. Si une femme, qui s’est épuisée toute sa scolarité durant, à parcourir un parcours d’excellence, qui s’est épuisée, après deux ans de Classes Préparatoires, à intégrer l’ENS ( Ecole Normale Supérieure), fleuron des Grandes Ecoles Françaises, et berceau de l’intelligentsia française, au point d’en contracter une maladie pulmonaire mortelle, miraculeusement guérie par un Saint, qui s’est épuisée dans ses études pour, comme l’on dit familièrement, « avoir bac plus treize » ( baccalauréat plus treize ans d’études supplémentaires », une femme, qui est aussi une poétesse, qui eût due être promue poétesse nationale, au vu de son oeuvre, - œuvre magistrale -, unique dans l’histoire de la littérature et de la poésie mondiale, auteure d’une épopée religieuse de milliers de vers en alexandrins, œuvre pour laquelle non seulement elle n’a reçu aucune reconnaissance étatique, - cette œuvre ayant été sciemment occultée, et passée sous silence général, par une sorte de loi de l’omerta politicienne et de désinformation généralisée des médias, œuvre qu’il ne lui a été donné de publier qu’à compte d’auteur, pour qu’elle soit par après entièrement pilonnée, - mais qu’elle a dû même effacer, comme on efface ses traces dans la neige, pour cause de répression et de persécution étatique, en ayant été déportée aux asiles et jetée, enfermée, dans le grand renfermement, en cellule d’isolement, cette femme, en pleine possession de toutes ses facultés et de tous ses moyens intellectuels, parfaitement saine d’esprit, et en pleine santé mentale, nonobstant décrétée par les psychiatres internistes et aliénistes d’Etat, lui ayant forgé de toutes pièces un dossier psychiatrique entièrement, et de part en part mensonger, et tous ses écrits taxés par ces mêmes psychiatres d’Etat de « diarrhée verbale », pour dissuader quiconque de les lire, si cette femme, cette écrivaine engagée, cette poétesse, doublée d’une mère, qui s’est épuisée à attendre dix-sept enfants pour réussir à mettre au monde neuf enfants, qui s’est épuisée à en élever sept, ses journées de travail interminables s’achevant souvent fort avant dans la nuit, cette femme s’écroulant endormie, à trois heures du matin, sur ses piles de linge non encore abattues, faute d’aide à domicile et de moyens pour financer gardes d’enfants, crèche, ni garderie, si cette femme, si cette mère donc, s’entend dire au jour venu de sa retraite : «  Vous n’avez pas travaillé. Vous ne pouvez prétendre qu’à une pension de retraite de 330 euros par moi », - ses cinq années d’Ecole (Normale Supérieure) n’ayant pas même été comptabilisées dans le calcul de cette retraite tellement indécente, si indigne, si misérable, et digne des « Misérables de Victor Hugo », retraite de la honte, ne lui permettant aucunement de vivre, non plus que de se nourrir correctement, ni, a fortiori, d’acheter les livres dont elle a besoin pour travailler à ses œuvres, et pour œuvrer à son art, où est, dites-moi, la reconnaissance due au mérite ? Où est la méritocratie française ? Et où est donc l’exception culturelle française ? Parole de femme….

Il faut mettre fin à l’esclavagisme des Mères, conformément à la définition du travail de l’esclave que donne Aristote, ce qui est dire au travail exténuant des Mères, non rémunéré, et non rémunérateur…………..

L’on critique souvent la méritocratie. Sous couleur qu’elle nuirait à l’égalité des chances. Or, c’est là une idée totalement et de part en part erronée. Le mérite est une carrière ouverte à tout le monde. Qu’est-ce qu’un méritant ? C’est celui qui fait des efforts. Le philosophe Maine de Biran a théorisé la notion, le concept d’effort. Le philosophe Heni Bergson a eu quelques prémonitions sur ce que pouvait être un Saint, qu’il expose dans son ouvrage Les deux sources de la morale et de la religion. Pas à pas, petit à petit, effort après effort, il élève son niveau intellectuel, ou son niveau social, ou, s’agisssant d’un Saint, son niveau spirituel. Or, il est donné à tout le monde de pouvoir s’élever. L’élévation n’est, au départ, qu’une question de volonté. L’athlète, dans le stade, ou dans l’arène, qui aura fait le plus d’efforts, remportera la palme de la victoire, et la couronne du mérite. Un Saint pouvant, de la sorte, se tresser et mériter la couronne de la patience. Car les plus grands méritants sont les Saints, et le modèle du mérite est bien celui des Saints de Dieu. Un enfant à l’église, puis un autre, disaient à Père Ambroise (Fontrier) : «  Je fais des efforts ». Saint Ambroise de Paris reprit leurs dires enfantins dans son homélie : «  Être Orthodoxe, dit-il alors, c’est faire des efforts en Christ. » De fait, les Saints, par leurs efforts toujours continués, ceux de leur sainte ascèse, - laquelle ascèse est constituée par le jeûne, la veille, et la prière incessante, la Prière du Cœur, qui consiste à répéter sans cesse et continûment: « Seigneur Jésus-Christ, aie pitié de moi », ou bien, s’adressant à la Mère de Dieu : « Très Sainte Mère, sauve-moi »,  - ces Saints, donc, gravissent, marche après marche, les degrés de l’Echelle Sainte des Vertus, ascension spirituelle décrite, degré par degré par Saint Jean Climaque, - dont le nom en grec signifie l’échelle- en son livre éponyme L’Echelle Sainte, jusqu’à son faîte suprême, lequel sommet est l’obtention et l’atteinte de l’Amour, du Discernement spirituel, et de l’Union à Dieu. Par laquelle Union divine le Saint atteint à la mesure du Christ. Cette montée de l’Echelle est si rude, si âpre, si difficultueuse, qu’en sa seconde partie, comme il se voit sur les fresques murales des Monastères du Mon Athos, l’Echelle, comme se brisant en deux, devient tout soudain verticale, son ascension tenant lors de l’exploit. Le Saint, dès lors, n’est plus dans l’effort. Il est dans le « sureffort », tel que le définit Matthieu Ricard en son Abécédaire de la Sagesse. Mais cependant que le moine bouddhiste nie qu’il faille se tenir dans ce « sureffort », rappelant que l’athlète ne doit pas forcer excessivement, au milieu du stade, dans sa course à la victoire, que l’artiste se doit de cesser pour un temps d’œuvrer à son art, comme un écrivain à son œuvre, ne pouvant outrepasser un certain degré de fatigue, de peur de nuire à la beauté de cet art, et jugeant, comme les Anciens de l’Antiquité, qui avaient, au fronton du temple de Delphes, comme l’on écrit sur le marbre, tracé dans la pierre l’adage «  Médèn Agan » -Rien de trop, en grec – que la modération, et la voie du milieu, est la vertu suprême, le Saint, lui, est dans ce constant « sureffort ». Le Saint est hors-frontières. Jeûnant à ne manger, veillant à ne dormir que ce qu’il doit concéder à la nature pour demeurer en vie, il est, bien plutôt dans la survie, en retour de ce « sureffort » recevant la Grâce Divine, qui lui donne la force de s’élever surnaturellement jusqu’à la surnature. «  O Dieu », chante-t-on à l’église, dans l’Office Orthodoxe, « donne-moi une Force égale à mon Désir. » Ainsi de ce Saint qui dormait sur un banc si étroit qu’il était contraint, une à deux heures plus tard, d’en tomber à bas, en sorte de se réveiller de son sommeil ; ainsi de ces Pères du Désert qui charriaient, de nuit, de lourds sacs de sable, pour s’empêcher de dormir ; ainsi de ces grands moines de l’Athos, qui se suspendaient à des chaînes fixées au plafond de leurs cellules, pour se tenir éveillés ; ainsi de tous ces moines acémètes – dont le mot, en grec, signifie « sans sommeil », « qui ne dorment pas » ; ainsi de Saint Ambroise de Paris, qui descendait chez moi au matin, me disant : «  Anna mou, » « – Mon Anne », en grec, « je n’ai dormi qu’une heure cette nuit ». Car alors, le Saint entre dans une autre dimension. Il entre dans la Surnature. Il entre dans la Dimension Surnaturelle de la Sainteté. Lors, parvenu à ce terme, c’est le Saint Esprit, seul, qui le guide, dans la Vie Spirituelle.

Parvenus à ce stade de la plus haute perfection spirituelle, les Saints restent-ils, demeurent-ils les narcissiques, voire les grands narcissiques, en proie à la vaine gloire et à la vanité, qu’ils pouvaient être au départ de leur course spirituelle, avant d’entrer dans l’arène du Combat Spirituel ? Au plus loin et aux antipodes de la sainte humilité qui fait les Saints ? S’attribuent-ils à eux-mêmes tout le mérite de cette Perfection ultime qu’ils ont atteinte ?

Cf. La Bienheureuse Dina Bélanger, en son livre : Je donnerai de la Joie :…………………………Ce n’est pas moi qui fais cela, je ne fais rien, je ne suis que l’ instrument de Dieu. Je n’ai aucun mérite. Je ne m’attribue aucun mérite à moi-même.

Ce serait de leur part se méprendre. Comment s’attribuer à soi-même le mérite de ce qui est donné par Grâce ? Car, dit Saint Paul, «  Qu’as-tu que tu n’aies reçu ? ». C’est Dieu qui donne au Saint la Grâce de progresser. Que s’exclame l’Office Vespéral des Vêpres, chanté à l’Eglise Orthodoxe ?  : «  Que Dieu souffle sur quelqu’un, et Il l’élève mystérieusement et suréminemment. » Mais si le Saint ne fait rien par lui-même, il ne progressera pas spirituellement. « Aide-toi, dit le vieil adage, le Ciel t’aidera ». C’est là qu’intervient ce que les Pères de l’Eglise dénomment la théorie de la Synergie, « syn » signifiant en grec « ensemble ». Dieu et l’homme agissent ensemble, de concert. Plus l’homme s’efforce, et plus Dieu lui dispense Sa Grâce divine. «  Donne ton sang, disent les Pères (de l’Eglise), et tu recevras la Grâce ». De là que les Saints ont reçu la Grâce. Les Saints ont reçu l’Esprit. L’Esprit Saint. L’Esprit de Sainteté. L’Esprit qui sanctifie (toujours davantage). Le Paraclet. L’Esprit Consolateur. L’Esprit de consolation, qui console infiniment de tout. L’Esprit de Joie, qui emplit de Joie ineffable, pareille à celle que laissent les Saints après leur Apparition, à l’issue de leur Visitation.

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Monsieur le Président, vous avez dit : « Nous sommes la France », et vous avez parlé de « nos fiertés ». Mais où sont nos fiertés ? Et de quelle France s’agit-il ? Où est la grandeur de la France ? Et qu’est-ce qui fait la grandeur d’une nation si ce n’est ses Lumières ? Louis XIV, le Roi-Soleil, avait dès longtemps compris et saisi ce qui faisait la grandeur de la France, et ce qui fait la grandeur d’une nation, au premier chef les Arts et les Lettres. Aussi s’institua-t-il et s’érigea-t-il en Protecteur des Arts et des Lettres, et pensionnait-il les Artistes et les Poètes, au premier rang desquels Molière et Racine. S’il faut œuvrer à la réinstauration de la grandeur de la France, il convient et il est impérieux, en lieu et place de les persécuter, de les embastiller, et de les déporter aux asiles, de pensionner les poètes, surtout ceux qui ont une œuvre, et une œuvre magistrale, qui eût dû faire d’eux des figures iconiques de la nation, et qui eût dû faire d’eux des monuments nationaux, cette œuvre fût-elle inachevée, si même elle n’est pas publiée, ou n’a pu être publiée de facto – par le fait- que sur Internet, du fait de l’absence d’aide de l’Etat à la publication de ladite œuvre magistrale, et du fait de la persécution et de la Censure étatique, quand même cette Censure officieuse ne dit pas son nom, Censure s’assortissant d’une loi de l’omerta et d’un silence médiatique total des médias qui pratiquent la désinformation coutumière, et quand bien même ces poètes fussent-ils jargonnesquement et ubuesquement taxés de « non politiquement corrects », ou de « politiquement incorrects ».

Quant à cette notion de «  non politiquement correct », il est nécessaire à la réinstauration de la liberté, de la liberté d’expression, de la liberté d’écrire, et du droit d’écrire, fondement de la démocratie, il est donc nécessaire de procéder à sa suppression, à sa destruction, et à sa néantisation totales.

Car la Censure étatique, si même elle ne dit pas son nom, empêche que sur une nation se réfractent ses Lumières.

Or qu’est-ce qu’une nation sans ses Lumières ?

Et qu’est-ce que les Lumières ?

L’on se souvient du pamphlet de l’Abbé (Emmanuel Sieyès) : Qu’est-ce que les Lumières ? », qui signa et sonna le signal de l’entrée dans la révolution française. Mais ce que nous entendons par Lumières ne sont pas les Lumières de Sieyès……………………………

Le ci-devant Abbé Sieyès, par ses écrits,… initia les massacres affreux et atroces de la Tuerie de la Terreur de 1793……………..

Les Révolutionnaires de la Révolution française, en profanant et en voulant évacuer et abolir tout le Sacré, en guillotinant tout le clergé, tous les Evêques, tous les Prêtres, toutes les Religieuses, en profanant les Saintes Reliques des Saints, en dérobant et en dispersant à la Seine les Saintes Reliques de Sainte Geneviève, dont quelques pieuses mains parvinrent à grand-peine à conserver une infime partie, en s’acharnant à vouloir tuer la Religion, ces révolutionnaires Athées et diaboliquement enragés de leur haine farouche, viscérale et démoniaque envers et contre le Sacré, ont inauguré l’entrée de la France entière dans la barbarie, où ils commencèrent de la faire sombrer - Cet Athéisme profanateur et néantisseur de la Religion, cette perpétuelle Profanation du Sacré ayant été toujours continuée par leurs successeurs, depuis les lois contre l’enseignement privé, en passant par la loi Combes, - le petit Père Combes totalement Athée-, et persécuteur des Chrétiens, jusqu’aux bouffe-curés, ceux qui bouffaient et bouffent du curé, les blasphémateurs en tous genres, qu’ils fussent réalisateurs, au cinéma, à la télévision, auteurs de littérature de quai de gare, médias, journalistes de la presse, qui pratique la désinformation généralisée, tous ceux-ci n’ouvrant la bouche, s’agissant de parler de Religion, que pour la blasphémer, outrager les Religieuses, les appelant « les bonnes sœurs », ne les mettant en scène que dans des films blasphématoires, ou ne montrant de l’Eglise que les scandales et les désordres sexuels des prêtres, désordres qui n’existeraient pas si le pape autorisait le mariage des prêtres, tel qu’il est dès longtemps autorisé par l’Eglise Orthodoxe.……………

Les Lumières selon Sieyès. La déesse Raison. Le rationalisme des Lumières du XVIIIème siècle. L’athéisme de Voltaire, mort dans des souffrances atroces…………..

Que sont donc les Lumières ? Plus au vrai, les Lumières sont tout d’abord, et en tout premier lieu, originellement et à l’Origine, du Ciel et de la Terre, les Lumières sont le Père, le Fils et l’Esprit, le Saint Esprit, l’Esprit de Sainteté. Le Dieu de Lumière, le Fils de Lumière, et l’Esprit de Lumière, qui tous trois se tiennent ensemble, indivisiblement et suressentiellement dans la Lumière Incréée, dans la Lumière Divine. Cette Lumière se réfracte par après sur les Anges, lesquels la réfractent sur l’Homme Saint, parvenu à la Perfection Spirituelle, à la Perfection Christique. La Lumière des Saints, ensuite, se réfracte à son tour sur les Lumières d’une nation, qui sont les Intellectuels, Artistes, les Hommes de Culture, et les Gens de Religion. Sans ces Hommes, il n’est plus de Lumières dans une nation.

Qu’est-ce que la Barbarie ? Le philosophe Michel Henry, en son livre éponyme La Barbarie, la définit, en langage quelque peu hermétique, abstrus, et abscons, loin du clair langage de Descartes en son Traité des Passions de l’âme, ou des « anneaux du beau style et du vernis des Maîtres » chers à Marcel Proust, Michel Henry, donc, définit la Barbarie comme l’écroulement, par pans entiers, des trois domaines qui font une Civilisation, et qui font les Grandes Civilisations, c’est à savoir l’Art, la Culture, et la Religion. Tous trois domaines remplacés uniment, et unilatéralement, par la Science, dont le corollaire est la Technique, Science Abstraite, Positiviste, Athée, et sise hors des prises du sensible, de la sensibilité et de la vie. L’on parle de l’âme sensible d’un Artiste ; l’on pourrait parler de l’âme sensible d’un Homme ou d’une Femme de Lettres ; et l’on pourrait évoquer l’Ame sensible, mais divinisée, d’un Saint.

Pour échapper, et réchapper à cette nouvelle Barbarie, qui a commencé, dès longtemps déjà, de nous menacer, de nous assaillir et de nous envahir, il convient de remettre la Science à sa place véritable de servante de l’Art, de la Culture et de la Religion, dont le corollaire est, sur un plan inférieur, l’Ethique ou la Morale……….

Il faut remettre de l’Art dans la République. La nouvelle ministre de la culture veut aller porter l’art dans les banlieues. Mais quel art ? Par-delà l’art contemporain, il faut privilégier le grand Art des Classiques.

Il faut remettre de la Culture dans la République. Mais quelle culture ? Lorsqu’une ministre de l’Education Nationale, d’origine arabe, et, visiblement et manifestement, soit totalement illettrée, soit ne connaissant rien aux Humanités Classiques, c’est à savoir la connaissance des grands textes fondateurs des Hommes Illustres de Rome et de la Grèce, ces Humanités Classiques qui ont fait la gloire et l’honneur de la France, lorsqu’une telle ministre, d’une simple chiquenaude, et d’une seule passe à la trappe et envoie aux oubliettes de l’Enseignement et de l’Histoire tout l’enseignement humaniste et classique de la langue latine et de la grecque, du latin et du grec donc, une telle ministre fait, d’un coup et d’un seul, entrer et sombrer tout l’Enseignement et toute la Culture dans leur néantisation, la néantisation de l’Humanisme, qui connut son apogée à la Renaissance, et plonge tout à coup ce même enseignement et cette même culture dans la Barbarie.

Il faut tout au contraire qu’il y ait une véritable Exception Culturelle française.

…….CF Hannah Arendt in La crise de la culture………………………………..

Parmi ceux qui figurent comme pouvant prétendre au titre de participants à l’Exception Culturelle française, ou même constituant à soi seul ladite Exception Culturelle française figure le Poète. Outre le Poète national, ou les Poètes nationaux, il faut rappeler le Poète que Platon a chassé de la cité de sa République..

L’on se souvient de l’apologue des trois lits, tel que Platon le développe dans son livre de la République. Selon cet apologue, ………….

La critique platonicienne de l’Art, relayée par la critique pascalienne de l’Art, est partiale, injuste, et infondée.

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Cf Proust et sa théorie de la transsubstantiation. L’Artiste, par son Art, transsubstantie le réel. L’Art est une transsubstantiation du réel. Il le donne à voir, mais dans une beauté nouvelle, conférant à ce réel une beauté qu’il n’avait pas, pour ce qu’il ne l’avait plus. Renouant avec cette beauté, il œuvre à faire retrouver au réel sa beauté première, laquelle est, plus au fait, la Beauté de l’Origine, la Beauté d’avant la Chute, cette Beauté Originelle que possédait l’Homme avant qu’il ne la perdît en sombrant dans la Chute, qui le livra aux puissances ténébreuses du Mal.

……………..Cf Jean-Jacques Rousseau : L’allégorie de la statue de Glaucus. Issue de Platon, RépubliqueX.……………

Cf. Proust : L’Artiste bâtit son œuvre comme une cathédrale……………..

Contre les iconoclastes, les iconodoules ont recouru à l’Art pour instruire, éduquer, et édifier le peuple illettré. L’enseignement de l’Orthodoxie par l’Icône.

…………………Byzance et l’Art Byzantin. Cf Michel Henry, in La Barbarie, la description iconographique du Monastère de Daphni, en Grèce.

L’Esprit Saint, l’Esprit de Sainteté comme l’Artiste Suprême.

L’Art Spirituel est l’Art des arts.

A défaut du Poète- Saint, il faut donc inviter dans la cité de la République le Poète Religieux, le Poète Spirituel, et, avec lui, tous les Artistes Religieux, tous les Artistes Spirituels.

……………………………………..Le Poète Inspiré. Non par sa Muse, ni par son Egérie, mais par l’Inspiration Divine…

Pourquoi le Poète d’aujourd’hui en est-il réduit à s’encenser, à s’auto-glorifier, à s’auto-proclamer Poète ? Est-ce parce qu’il aime à se jeter des fleurs, qu’il aurait une vanité d’auteur, qu’il est imbu de lui-même et de sa personne, qu’il serait auto-centré, et ego-centré, qu’il aurait un ego démesuré, qu’il serait épris de gloriole et de vaine gloire, fol obsédé du paraître, qu’il serait un fat, une baudruche plus aisée à crever qu’une pécore grenouille de fable ? C’est plus vraisemblablement parce qu’en l’invisibilisant par la Censure, une Censure qui ne dit pas son nom, on lui dénie son statut de Poète, et, par là, son existence même de Poète. Car la République néantit la Poésie. L’on décrète arbitrairement qu’il faut Censurer le Poète, et dans ce dessein, l’Invisibliser, puisqu’il gêne et constitue un gêneur du Politique ; et l’on s’en justifie en proclamant qu’il n’est plus nul ni personne dans la République pour s’intéresser à la Poésie et pour pouvoir encore en lire, ce qui dispense d’imprimer le Poète, de l’éditer, et de faire la lumière, tant sur ses dires inspirés, que sur lui, en tant que personne poétique et lieu de l’origine poétique. Or tout grand artiste sait ce qu’il est, et il a conscience de l’être. Victor Hugo se disait et disait le Poète Voyant, et Prophète. Nous disons, quant à nous, après Baudelaire, le Poète Lumière. Nous disons le Poète Phare de la nation……………………

Il faut sortir du Silence le Poète inspiré.

Il faut rappeler tous ceux que l’Etat, malgré leur génie, ou à cause, justement, de leur génie, a persécutés, traînés au Tribunal, censurés, interdits de publier, chassés de la cité, et exilés de la République, pour ce qu’ils gênaient le gouvernement et ses hommes politiques, et étaient considérés comme des gêneurs potentiellement dangereux, voire fort dangereux pour le pouvoir des Puissants. Car persécutés, traînés au Tribunal, censurés, interdits de publier, chassés et exilés de la République, tous les Grands Hommes du Panthéon de la Littérature française l’ont été. A commencer par Villon, le Poète de l’extraordinaire Ballade des Pendus, et qui fut, de ce seul fait, pendu par le roi. L’on se souvient de la Cabale des Dévots déchaînée contre Molière, de la Querelle du Cid de Corneille, de la Cabale des Bourbons contre la Phèdre de Racine, des persécutions menées à l’encontre de Jean-Jacques Rousseau et de sa fuite en Suisse, y ayant eu pour lui nécessité de fuir et de se cacher pour échapper aux autorités politiques et à la police française, de la fuite et de l’exil de Voltaire en Angleterre pour les mêmes raisons susdites, de la Bataille d’Hernani et de l’exil forcé de Victor Hugo dans l’île de Guernesey, du Procès de Baudelaire, censuré à l’issue du procès, à lui intenté, et dont il ressortit très meurtri, cependant que Victor Hugo lui écrivit, par manière de Consolation : « Je vous serre la main, Poète », du Procès de Madame Bovary de Flaubert, de l’internement de Nerval, dont il ressortit si désespéré qu’il s’en pendit à un réverbère allumé, de nuit, dans Paris, et d’autres encore, d’entre les artistes, au nombre desquels Camille Claudel, à l’instigation de Rodin, soutenu par le pouvoir, pour l’enfermer du Grand Renfermement, à vie.

Il faut rappeler les Religieux que le gouvernement des Puissants a persécutés, chassés, et néantis. L’on se souvient, pour n’en prendre qu’un seul exemple, de l’Abbaye de Port-Royal ( des Champs), victime de l’ Absolutisme Royal, dont le roi Louis XIV chassa et dispersa les Religieuses, pour ce qu’il ne pouvait les réduire à son obéissance, et de ce qu’elles gênaient son absolutisme royal, de là qu’il rasa jusqu’en ses fondements ladite Abbaye……………………………

Il faut donc opérer en France une Renaissance des Arts, des Lettres et de la Religion. Renaissance qui ne pourra passer en tout premier lieu que par la restauration des Lettres Classiques, c’est à savoir du grec et du latin, et des Humanités tout entières.

Il faut que s’inaugure une nouvelle Renaissance, une seconde Renaissance, mais Spirituelle et Religieuse, celle-ci, contrairement à la première, celle qui s’opéra au XVI ème siècle, qui, sous couleur d’honorer tant le Sacré que le Profane, ainsi que le montre le célèbre tableau de la Renaissance : Le Profane et le Sacré, fit bien plutôt du Sacré un servant du Profane, et, ce faisant, abolit en quelque sorte le Sacré, pour ne plus valoriser que le Profane. Les Grands Docteurs de l’Eglise, les Grands Cappadociens, les trois Hiérarques, ne poussaient leurs études profanes que jusqu’au point où elles leur devenaient inutiles pour servir à honorer la gloire du Sacré…. Les Trois Hiérarques et Sainte Macrine…. Selon le dessin d’une caricature qui circule parmi les Moines Orthodoxes de l’Athos, un moine contemple un amoncellement de crânes, sous lequel figure la légende : « La connaissance inutile ». Renouer avec l’Humanisme, certes, nécessaire à éclairer les esprits de la nation, et, partant, à éclairer la nation tout entière, mais redonner sa juste place au Profane, en ordonnant le Profane au Sacré, en l’inféodant au Sacré, en en faisant le servant du Sacré. Il faut créer un nouvel Humanisme, mais un Humanisme Religieux. C’est à ce titre qu’il y aura une Exception Religieuse française. Car ce n’est pas l’Humanisme qui nous sauvera. Seul le Sacré nous sauvera de la Barbarie et de l’Apocalypse.

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Au fondement du Sacré sont les Valeurs d’une nation.

Un ministre disait hier qu’il faut remettre des valeurs dans la république. Mais ces valeurs laïques et républicaines, qui sont plus au vrai des valeurs athées, sont très appauvries, pauvres, limitées, inférieures aux valeurs de la Morale, telles qu’on les enseignait à l’école, et même à l’école laïque, chaque jour, dans mon enfance, au cours de morale, avant de commencer le restant des autres cours. Et ces valeurs de la Morale sont elles-mêmes très appauvries, pauvres, limitées et très inférieures aux valeurs de la Religion. Certes, la Morale est un garde-fou contre toutes les dérives psychiques et contre toutes les folies de la raison et de l’esprit humains. Les gens n’ont plus de morale. Ils n’ont plus même de morale élémentaire. De là que les chiffres de la délinquance, des crimes et des délits ( c’est à savoir les homicides, les féminicides, les viols, les agressions, les vols, les cambriolages, etc…) sont en continuelle augmentation, et que ces chiffres explosent. De là que tout le monde vole, viole, agresse et tue son voisin, et son prochain. « L’homme est » redevenu « un loup pour l’homme », selon que le décrivait Hobbes, le philosophe anglais. Le citoyen de la République est devenu un loup pour son concitoyen.

Mais où sont les valeurs de la République, lorsque l’Etat lui-même ne respecte plus et ne garantit pas les valeurs du Droit ? Au fondement des valeurs de la République doit se situer le respect du Droit et la garantie des valeurs du Droit, dont le Président de la République est le garant. Il convient dès lors en premier lieu d’abolir la Censure, officielle, ou officieuse, et l’invisibilisation, dont sont victimes les intellectuels, les artistes, et les religieux dits « non politiquement corrects » de la nation.

Doit ensuite être établie, avec bien des siècles de retard sur l’Angleterre, une nouvelle loi de l’Habeas Corpus, qui interdirait de déporter et de torturer ceux-ci aux asiles. En ces asiles, zones et lieux de non-droit, doit être rétabli le Droit. Doivent dès lors y être abolies les cellules d’isolement, les camisoles chimiques, les neuroleptiques, et tous autres moyens de Torture, qui y sévissent et qui y règnent…………………..

Il faut, disions-nous, remettre de la Morale dans la République. Non pas cette « moraline », dont se gaussait Nietzsche, qui n’entendait rien à la morale ni à la religion, Marx, quant à lui, clamant que «  la religion est l’opium du peuple », mais la grande morale des Stoïciens et des Hommes Illustres de l’Antiquité. Et il faut, pour commencer, dispenser des cours de Morale à l’école. Avant cela même, il faut réapprendre aux enfants ce que l’on appelait « les mots magiques », lesquels sont : «  Bonjour, au revoir, comment vas-tu, comment va ta vie, merci, s’il te plaît », etc… Puis, de là, il faut réapprendre les petites, et par après encore, les grandes vertus que le philosophe André Comte-Sponville veut remettre au goût du jour, et telles qu’il les décrit en son Petit Traité des Grandes Vertus……………………..

Plus haut que cette Morale, il faut remettre de l’Ethique dans la République.

Mais de quelle Ethique s’agit-il ?

L’Ethique désastreuse et psycho-rigide de Kant. Kant et le mensonge………….

Il faut privilégier l’Ethique du Don et l’Ethique du Care………….

………………..Cf Matthieu Ricard et l’éthique des philosophes, versus l’éthique des spirituels, en particulier du bouddhisme in son magnifique et magistral ouvrage, Plaidoyer pour le bonheur, que j’ai relu cinq fois, jour et nuit, qui est l’un de mes livres de chevet, et où l’on apprend à ne plus être jamais dépressif.

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Cependant, plus haut que l’Ethique des philosophes, il faut remettre de la Religion dans la République. Loin d’une laïcité intolérante, laquelle est plus au vrai un Athéisme déguisé, qui ne dit pas son nom.

Mais quelle Religion ? Et de quelle Religion s’agit-il ?

En lieu et place d’une République laïque, qui plus au fait est une République Athée, il faut inventer une République Religieuse et Chrétienne.

Bien qu’au dire d’un Saint Starets Orthodoxe Russe, le Christ ne soit pas venu pour respecter toutes les religions, mais pour se substituer à elles toutes, les incluant et les remplaçant toutes, parce que les dépassant toutes, en étant l’Origine et la Fin, il convient néanmoins de promulguer et d’édicter la Liberté de Religion, laissant, comme aux Etats-Unis d’Amérique, chacun libre de choisir sa religion, et de pratiquer comme il l’entend la religion de son choix.

Car il est des Saints dans toutes les Religions. Je crois, en tant qu’Orthodoxe, nous croyons en tant qu’Orthodoxes, à la Communion des Saints. Qu’est-ce que la Communion des Saints ? Sainte Elisabeth de la Trinité, Religieuse catholique, en donne une définition approchante, quoiqu’erronée. La Communion des Saints est ce fait que les Saints de toutes les Religions sont unis dans la Prière.

Il y a même des miracles dans toutes les Religions. Car Dieu agit, thaumaturgiquement, et fait des miracles, dans toute les Religions, par les prières de ses Saints.

Je crois même, nous croyons, en tant qu’Orthodoxes, à l’existence des Saints laïcs.

Ces Saints laïcs étaient, ou sont, agnostiques, ou Croyants, Chrétiens, ou fidèles de diverses autres Religions, mais n’appartenaient, n’appartiennent pas au Clergé, n’étant ni Prêtres, ni Moines, ni Moniales.

……………….Cf. Hiéromoine Euthyme, Ascètes au milieu du monde (Editions des Syrtes, Collection Grands Spirituels Orthodoxes du XXème siècle).

C’étaient, ce sont des hommes vertueux, souvent plus sanctifiés et plus Saints que le Clergé.

Sous la Turcocratie, la Tradition Orthodoxe s’étant perdue, après cinq-cents ans d’oppression Ottomane, c’étaient bien souvent les simples laïcs Orthodoxes qui reprenaient le Clergé, et disaient aux Prêtres ce qu’ils devaient faire, ne serait-ce que s’agissant de reconstituer l’ordo – l’ordonnancement – fort complexe des Offices Liturgiques.

Certains des laïcs non-Chrétiens, même, donnèrent de Grands Hommes, tel Gandhi, qui, seul tout d’abord, puis suivi d’une foule de peuple, libéra l’Inde de l’oppression et de l’envahisseur britannique, par la seule force d’âme et par la puissance spirituelle que lui conféraient ses jeûnes outranciers, jeûnes dont il disait avoir appris la Tradition dans l’enseignement des Chrétiens. De là, ces Grands Hommes devinrent des Saints, et même des Martyrs, qui sont les plus Grands d’entre les Saints. Ainsi Gandhi, toujours, qui mourut en Martyr, assassiné.

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Pourquoi les Saints laïcs non-Orthodoxes ne sont-ils cependant pas devenus Chrétiens Orthodoxes ? C’est qu’ils ne savaient pas. « Nous sommes à une époque », écrit Oscar Wilde, où les meilleurs ne savent pas. » Si Simone Weil, Juive et Sainte laïque, avait su, elle serait devenue Chrétienne Orthodoxe. Ces Saints ne savaient pas, ils ne savent pas, ils ne connaissent pas la Théologie et la Dogmatique Orthodoxes.

Cette phrase d’Oscar Wilde ne vaut pas, ne s’applique cependant pas, ni ne peut s’appliquer, aux Saints Orthodoxes. Car les Saints Orthodoxes eux, savent. Car ils ont reçu le Saint Esprit, et ont été illuminés par Lui. «  Seuls les Saints peuvent théologiser, seuls les Saints sont les Vrais Théologues », me disait une Sainte Moniale grecque, Gérondissa Eupraxia, fille spirituelle de Saint Jérôme d’Egine.

Quelles Religions nous suggère, nous propose le grand supermarché actuel des Religions ?

A prendre la Religion Juive, et selon que le rapporte le réalisateur Juif Claude Lanzman dans son film intitulé Shoah, que criaient les Juifs déportés dans les camions à gaz, pour y subir, avant d’atteindre à la forêt, l’extermination de masse, mourant de soif, et de faim, gelés, et déjà demi-morts ? Ils criaient, et leurs cris se faisaient de plus en plus faibles, jusque leur mort fût accomplie, ils criaient, comme tout soudain convertis au Christianisme : «  Jésus, Marie, mon Dieu, my God… ». Un Rabbin Juif contemporain de ces faits en donna à ses fidèles de la synagogue cette explication : «  Lorsque les Juifs eurent crucifié le Christ, et que le Christ sur la Croix eut crié : «  J’ai soif », lorsque la terre trembla, que les rochers se fendirent, et que la lune et le soleil se voilèrent la face, les Juifs tout contrits et prenant soudain la mesure de leur crime commis contre l’Humanité, s’écrièrent : «  Que le sang de ce Juste retombe sur nos têtes et sur la tête de nos enfants. » Et le rabbin Juif de conclure : «  Par l’horreur de l’extermination de masse de la Shoah, les Juifs ont expié leur crime contre le Christ, le crime de la mise à mort du Christ, Fils de Dieu le Père. » Est-ce à dire qu’il faut en revenir aux horreurs indicibles des exactions horribles et à la persécution séculaire des Juifs menée à leur encontre par l’obscurantiste et sadique Tribunal de l’Inquisition de l’église catholique, dès avant le Moyen-Age, et que le réalisateur Claude Lanzman du même film : « Shoah », résume en ces trois termes : «  Conversion ( forcée au catholicisme), ghettoïsation ( obligation de rester résider enfermé au ghetto), extermination ( interdiction de vivre, et mise à mort), loin s’en faut. Que les Juifs continuent, s’ils le veulent, librement, de demeurer dans ce que les Pères de l’Eglise dénomment « la ténèbre de l’ignorance », que leurs intellectuels continuent d’outrager les Chrétiens, dont ils ne comprennent, n’entendent rien à leur Sainte Ascèse sanctifiante, que leurs Rabbins continuent de porter sous leurs semelles la Croix du Christ, afin de pouvoir, dans leur haine du Sauveur, le piétiner à chaque pas ; qu’ils continuent de demeurer dans ce que les Saints Pères de l’Eglise Orthodoxe dénomment « l’ombre de la Loi », cette Loi vétéro-testamentaire de l’Ancien Testament, cette Loi du Talion, qui rend œil pour œil et dent pour dent, cette Loi de la Vendetta, de la Vengeance sans fin, qui ne s’arrête jamais, du cycle indéfini de la Vengeance, cette Loi qui Tue, et qui Assassine. Car ils sont libres, de la liberté originelle que Dieu a donnée à l’homme.

C’est à cette ombre de la Loi, abolie par la Lumière du Christ, que la philosophe mystique Simone Weil, auteure du magnifique traité : « La pesanteur et la Grâce », voulut échapper. Cependant l’église Catholique n’ayant pu lui fournir la plénitude de la Grâce qu’elle cherchait, cette plénitude de la Grâce que seule l’Eglise Orthodoxe possède, Simone Weil, malgré son attirance pour le Catholicisme, médiatisé par l’entremise de prêtre Catholique qui lui servait de Père spirituel, Simone Weil, insatisfaite de cette religion catholique, ne se convertit pas, ni jamais au Christianisme. Ce qui ne l’empêcha pas de mourir en Sainte laïque, étant morte de faim pour avoir, jusqu’au don total de soi et jusqu’au sacrifice ultime qui fait les saints, pour avoir donné à autrui ses tickets de rationnement alimentaire. « ll n’est pas de plus grand amour, dit le Christ, que de donner sa vie » pour l’autre. Car l’altruisme absolu est la Sainteté.

Le Catholicisme est invalidé en son fondement par une théologie erronée, schismatique et hérétique, laquelle théologie s’avère au plus haut point désespérante. Dès Augustin d’Hippone, qui, ainsi que le montre Père Patric Ranson dans le Dossier H Augustin qu’il dirigea, aux Editions de l’Age d’Homme, infléchit la Théologie des Pères de l’Eglise Orthodoxe d’une manière qui plongea tout l’Occident dans la ténèbre, le pessimisme, et le désespoir, le dogme catholique n’est qu’une longue suite d’hérésies toujours nouvellement ajoutées les unes aux autres, en passant par le Concile de Trente, puis aux rajouts incessants des dogmes suivants, ce dont les catholiques les plus avertis, un Fénelon par exemple, en sombrèrent dans le désespoir, ainsi que le montre Michel Terestchenko dans son livre Amour et Désespoir. Cette Religion cherche outreplus à inféoder tous ses fidèles et toutes les autres Religions au pape, lequel n’est pas infaillible, contrairement au dogme proclamé de l’infaillibilité papale, ce que montre aussi la Vie des papes, laquelle est loin d’être toujours édifiante, et telle que je l’ai publiée sur mon Blog, dit Blog de Presbytéra Anna, écrite par un Anonyme, tant il est dangereux d’écrire contre la puissante papauté. L’œcuménisme, ce qui est dire l’union de toutes les Religions, étant pour finir destinée à les ramener toutes uniment sous l’autorité toute-puissante, unioniste, et césaro-papiste du pape, ainsi que le montrent les œuvres de Père Patric Ranson et de Michel Terestchenko, tant dans la Revue internationale de Théologie de La Lumière du Thabor, fondée par Père Patric Ranson, et publiée aux éditions de l’Age d’Homme, que dans le Catéchisme – Contra Catechismum – ( ce qui est dire Contre le Catéchisme Catholique)-, publié aux Editions de l’Age d’Homme, écrit par Mgr Philarète, Métropolite de France, et par Mgr Photios, Evêque de Lyon.

Le Catholicisme est également invalidé par une conception Totalisante, Totalitaire et Totalitariste de la Religion, la Papauté, en la personne du Pape, ayant voulu, par le passé, contraindre à l’inclusion, et à la conversion forcée les autres Religions, comme ce fut les cas pour les Juifs, au cours de l’Histoire passée, et comme celacontinue d’être le cas aujourd’hui pour la Religion Orthodoxe des Orthodoxes non- oecuménistes, et non papistes.

Pour le Protestantisme, fondé à l’instigation des deux Réformateurs Luther et Calvin, il est à déplorer que ces deux hommes d’Eglise aient été des hommes faillibles, au cœur non purifié, et des êtres non sanctifiés. Il n’est que de se souvenir que Calvin faisait brûler vif en place publique qui bon lui semblait et pouvait bien le gêner. L’on ne saurait pourtant nier que bien des Protestants ait pu atteindre à de hautes vertus, entre lesquels un altruisme sacrificiel. L’on peut citer le cas du Pasteur Trocmé, qui, assisté de tous les Protestants de son village de Chambon-sur-Lignon, ainsi que le décrit plus au long Michel Terestchenko en son essai philosophique Un si fragile vernis d’humanité, toute une grande chaîne de solidarité chrétienne, par quoi ils sauvèrent de la Mort certaine des milliers de Juifs. L’on ne saurait dénier non plus aux Protestants d’avoir, les premiers, libéré la Femme dans l’Eglise. C’est ainsi que l’on compte chez eux nombre de Femmes Universitaires, de Femmes Théologiennes, et même de Femmes-Pasteures. Mais le Protestantisme s’est divisé en une multitude de sectes, où s’observent souvent des dérives sectaires, les Charismatiques, pour n’en prendre qu’un exemple, étant souvent illuminés- dans le mauvais sens, péjoratif, du terme – et ignorants de la Théologie et du Dogme des Pères de l’Eglise. D’autres sectes protestantes sont animées par des gourous totalement égarés spirituellement, ainsi, tout récemment encore, au Kenya, où le gourou d’une secte protestante, ayant fait jeûner plus qu’outrancièrement, et jeûner à mort même, organisa et causa le suicide collectif de plus de cinq cents bonne âmes africaines. Mais le point le plus grave, où pèche surtout leur théologie, c’est qu’ils se sont, d’une chiquenaude, et d’une seule, livrés à la suppression de la vénération de la Vierge et Mère de Dieu, et de tous les Saints, qui sont les Illuminateurs, les Modèles, et l’Exemple des hommes, en matière de Sanctification et d’Ascension Spirituelle jusque devers l’obtention du Salut de l’âme, selon l’adage Orthodoxe qui dit : «  L’ange est le modèle du Saint (Moine), et le Saint ( Moine) est le modèle de l’Homme ».

L’Islam, - qui séduit tant de Français en quête et en mal de Religion, à laquelle, faute, par ignorance, d’en connaître aucune autre, ils se convertissent naïvement, l’Islam, donc, - religion iconoclaste – de ce qu’elle n’admet aucune représentation du Divin, ayant la haine des Icônes Orthodoxes -, intolérante – un Musulman refusant mordicus de mettre les pieds et d’entrer dans une église Chrétienne, contraignant la Femme à porter le voile, quand même bien des femmes ne voudraient pas le porter, - ce voile qui ne devrait être porté que librement, et de par une libre volonté et sur une libre décision de la femme- , et voulant convertir de force sa femme française à l’Islam, et lui faire aussitôt porter le voile -, rétrograde, médiévale et moyennageuse – pratiquant encore jusqu’à nos jours les règles archaïques, sadiques, et sanguinaires de la Charriah, lapideuse de femmes et tueuse d’hommes -, - « Partout où passe l’Islam, revient le Moyen-Age », entendis-je dire un jour -et assassine – les Haschischins qu’évoque Arthur Rimbaud se voyant prescrire, par la sourate du Coran, dite sourate du fer, comme un devoir, de tuer les Chrétiens -, l’Islam donc, qui a si vite fait de s’infléchir et de dégénérer en Islam radical, a eu le grand tort, pour n’en prendre qu’un exemple, sous la Turcocratie ottomane, qui sévit cinq cents ans en Grèce, jusqu’à ce que la France philhellène procédât à la libération de cette Grèce amie, comme l’ont immortalisée les peintres français, dont Delacroix peignant Les Massacres de Chio, l’Islam, donc, a eu le grand tort de faire des millions de morts Chrétiens Orthodoxes, Martyrs de cette même Turcocratie. Jusqu’ au Grand Massacre d’Asie Mineure, auquel réchappa Saint Ambroise de Paris, perpétré par les sbires de Mustafa Kémal AtaTurc, qui, s’ajoutant au génocide Arménien, fut un génocide des Chrétiens Orthodoxes, tous génocides et actes de génocides que dément, avec la plus grande mauvaise foi qu’il se peut, et avec un manque total d’honnêteté intellectuelle, quand toutes les archives, toutes les preuves historiques et historiennes sont bel et bien là, que dément donc la Turquie négationniste.

Quant aux Bouddhistes, s’ils ont et possèdent des techniques admirables de maîtrise psychique de soi, de développement mental et d’acquisition des vertus, au sommet desquels la compassion altruiste, toutes techniques mentales qu’ils disent susceptibles et capables de les mener à l’Eveil de Bouddha, s’ils ont eu l’immense mérite de copier et de rapporter en Occident les extraordinaires traités de spiritualité bouddhiste qu’ils purent faire réchapper à la folie meurtrière et destructrice de leurs envahisseurs chinois au Tibet, qui les génocidèrent, traités spirituels dont ils ont inondé l’Occident, volant ainsi à l’église catholique des milliers de fidèles qui se convertirent au bouddhisme, – un pèlerinage dans l’Himalaya ou même une courte visite dans la cour d’un monastère du Tibet ou du Népal, emplie de ces statuettes, de ces figurines, et de ces épouvantails de carton, de papiers, et de rubans colorés, représentant les effigies de leurs dieux animaux, suffisant pour s’en faire une idée et pour s’en rendre compte -, les bouddhistes n’ en sont pas moins polythéistes, adorant de faux dieux, à l’instar des Grecs Anciens dont les Saints Pères de l’Eglise brisèrent les idoles, et ils font l’impasse sur le Christ, Fils de Dieu le Père, et seconde Personne de la Trinité.

La nouvelle hérésie de l’Oecuménisme, unionniste, qui voudrait l’union et la fusion de toutes ces Religions, sous la houlette, l’égide, la férule, et, bien plutôt, la botte du pape, se doublant outreplus d’une nouvelle hérésie, laquelle hérésie prétend pouvoir, dans la nouvelle Religion prétendument universelle – Religion qui est plutôt, et qui ressemble à un marché commun des religions, ou, redisons-le, à un supermarché des religions -, laquelle hérésie donc, prétend pouvoir se passer du Christ, et évacuer le Christ de la Trinité Sainte.

Une Religion est-elle encore bien nécessaire à une nation ?

Les plus grands dictateurs eux-mêmes, après avoir persécuté, déporté, comme Staline au Goulag, torturé et tué des millions de Chrétiens, Staline ayant fait soixante Millions de morts dans la Sainte Russie Orthodoxe, par là faisant autant de millions de Martyrs Chrétiens Orthodoxes, Massacres affreux et atroces, dont témoigne, jusqu’à l’insoutenable, un Varlam Chalamov dans ses Récits de la Kolyma, ces plus grands dictateurs du monde, donc, devant l’écroulement de toute la Morale d’un peuple entier, ont fini par comprendre la nécessité de réinstaurer la Religion, celle-ci comme devant assurer un garde-fou moral, et rendre de la morale à tout un peuple privé de tout repère, et de tous ces repères élémentaires, nécessaires au bien-vivre ensemble en société. Après soixante-dix ans de déchristianisation violente, et hyper-violente jusqu’au diabolisme, et lors même que les fidèles de l’Eglise, privés de tout catéchisme élémentaire et de tout enseignement religieux Orthodoxe durant ces mêmes soixante-dix années, n’ayant plus d’églises, n’ayant plus vu une icône, et ne sachant plus même faire un signe de croix, après soixante-dix ans de persécution religieuse totale, l’Homo Sovieticus, l’homme soviétique, est redevenu un Chrétien Orthodoxe, un Homo Christianus Orthodoxus ;

Mais là encore, de quelle Orthodoxie s’agit-il ? D’une Orthodoxie affidée et totalement inféodée au pouvoir, d’une Eglise-vitrine, chapeautée par un métropolite issu des tortionnaires du KGB, et ne servant qu’à instrumentaliser la machine à propagande du régime.

L’on trouve encore, dans ce catalogue, l’Eglise Orthodoxe des faux-frères oecuménistes, inféodés au pape et au papisme……………………………………………………………………………………………………………

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Loin des Religions officielles étatiques, fuyant toute dictature, et toute machine à propagande, demeure néanmoins, seule, à l’écart, sauvegardant la Vraie Foi, la Religion Chrétienne Orthodoxe de l’Orthodoxie des Catacombes, dont est l’Eglise Orthodoxe Française, Eglise des Catacombes. L’Eglise Orthodoxe Française, en toute Liberté, la Liberté des Enfants de Dieu chère à Saint Paul, possède toute la Grâce, l’entièreté et la Plénitude de la Grâce.

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Mais qu’advient-il, faute de Religion ?

Privés de tout enseignement religieux le plus élémentaire, du fait de la laïcité républicaine, ou plus au vrai de l’Athéisme laïc, ayant en haine farouche, viscérale, et diabolique, Dieu et le Christ, les jeunes sont parmi les plus à plaindre de cette société de la Grande Apostasie, dont parle Saint Paul. Saint Jérôme d’Egine, en Grèce, endormi dans le Seigneur en 1959, voyant prophétiquement à l’avance, de par son don de prophétie, dit en grec don de « proorasis », s’écrie dans ses Propos Spirituels, que j’ai rapporté dans le livre L’oiseau de Guelvéri, - Vie et Propos Spirituels de Saint Jérôme d’Egine-, paru aux Editions de l’Age d’Homme, et également publié sur Internet, en mon Blog dit Blog de Presbytéra Anna, Saint Jérôme d’Egine, donc, s’écrie prophétiquement : «  Comme je plains toute cette marée à venir de jeunes, désemparés, désorientés, perdus, n’ayant plus pour se diriger, sur le mer démontée de l’existence, la boussole du Christ, et la guidance d’un Père spirituel ! »

Les jeunes, en effet, sont maintenant devenus un problème, et une question de société. L’on peut parler du « problème des jeunes. » Les jeunes, oui.

Mais quels jeunes fabrique-t-on ?

Ces jeunes qui ne savent plus lire une cathédrale, qui n’ont jamais ouvert la Bible, ni l’Evangile, qui n’ont même jamais entendu parler du Christ, ni de Mère Térésa de Calcutta, ni même de Dieu le Père… Tombés dans l’anti-art, privés de toute grande et haute culture véritable, ils ont tôt fait, lors, de s’abêtir tout le jour sur des écrans, jusqu’à l’addiction la plus totale, qui les transforme en jouets et en victimes de leur addiction, de ne plus rien connaître du langage, n’ouvrant pas un livre et ne lisant rien, absolument, de ne plus rien connaître que des mots orduriers, par lesquels ils se répandent en propos mêmement orduriers, Saint Paul ayant nonobstant, en son Epître, proscrit les propos orduriers de la bouche des Chrétiens, et les Pères spirituels Orthodoxes de la Grèce et de l’Asie Mineure donnant en confession à leurs enfants spirituels des canons de pénitence à accomplir pour faire pénitence d’avoir tenu de tels propos orduriers, et ces jeunes d’aujourd’hui ont tôt fait de tomber et de sombrer dans la contre-culture punk, laquelle est diabolique et satanique, de ressembler, défigurés par leurs tatouages, dont ils se couvrent tout le corps, et même tout le visage entier, et par leurs piercings et autres anneaux, qu’ils se passent dans la bouche et dans le nez, ils ont tôt fait de ressembler à des Maoris primitifs des îles océaniques, ou, pis, à des vaches dans un pré. Car, d’hommes, ils se sont eux-mêmes transformés en bêtes et en animaux. Ces jeunes deviennent alors des proies faciles pour le Diable et ses suppôts de Satan. Ils sombrent dans l’addiction aux narcotiques, à la drogue, et dans l’alcool, et ce que l’Abbé Pierre, en son même livre cité supra, J’aurais voulu être marin, missionnaire, ou brigand, dénonce comme étant « le fléau de l’alcoolisme », toutes substances qu’ils détestent, et de l’addiction desquelles ils voudraient se délivrer, mais dont ils ne peuvent se délivrer seuls, l’alcoolique ne détestant rien tant que sa bouteille, qui le tue, toutes substances qui leur détruisent le cerveau et les mènent à la folie, ou pis, pour ce qu’ayant dévalé, entourbilloné, la spirale infernale de la perdition, à la déchéance totale, qui leur fait perdre jusqu’à toute apparence de l’humain et de l’humanité de l’homme.

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D’où vient, à l’origine, et en son fondement, ce dit problème des jeunes ? Les jeunes sont des déracinés. Ils n’ont plus l’enracinement dont bénéficiaient leurs prédécesseurs des générations passées. Comme le dit Mère Térésa de Calcutta dans son si beau maître-livre – Quand l’amour est là, Dieu est là -, le problème des jeunes commence à la maison. Ainsi que le note justement, et avec le plus grand bon sens, le Pape François dans son livre La joie de l’amour, un enfant a besoin de sa mère. Il évoque la féminisation de la société, par quoi les femmes ne sont plus suffisamment à la maison pour s’occuper de leurs enfants. L’on pourrait même dire alors, selon moi, que cette féminisation de la société s’accompagne d’une dématernisation de la société. Or, et il faut reconnaître à Freud ce mérite de l’avoir dit le premier, tout se joue, chez l’enfant, dans ses deux premières années de vie. Contrairement à l’enfant Africain, continuellement porté dans les bras de sa mère, et choyé par elle, - coutume qui s’observait également chez les jeunes mères Grecques Orthodoxes, auxquelles il advenait que leur Père Spirituel vînt redire le vieux dicton grec : «  Pose-le un peu, pour que son postérieur s’aplatisse » -, contrairement aux mères de l’Inde, qui savaient, depuis des millénaires, le secret de massages ancestraux pour câliner et détendre psychiquement leurs bébés, toutes coutumes qui donnaient et donnent à leurs enfants une très grande confiance en soi, et désinhibent leurs peurs jusque dans l’avenir, leur permettant de toujours garder le sourire jusque dans les plus dures épreuves de la vie, confiants aussi dans la vie, et heureux de vivre, et de se lancer sans crainte, en aventuriers, dans le grand voyage périlleux et parsemé d’embûches et de tortures de la Migration, et plus généralement, dans la grande aventure, parsemée de dangers, de la vie, les enfants occidentaux, jetés dès après sa naissance à la crèche le jour, puis encore à la garderie le soir, ne retrouvant que fort tard leur mère, rentrée du travail uniquement pour les coucher, - au point que l’on peut voir ces enfants se coucher le matin devant la porte, pleurant, criant et hurlant : «  Je veux voir Maman », ou demeurer éveillés la plus grande partie de la nuit, en sorte de pouvoir apercevoir et voir leur mère, ou, en quelque sorte de se venger d’elle, - les enfants d’Occident, donc, continûment et cruellement privés de leurs mères abandonniennes perpétuellement absentes, n’ont aucune confiance en eux, rasent les murs, de ce fait ratent leur vie sociale, développent des névroses, des psychoses, un mal-être existentiel fondamental et récurrent, qui conduit leurs parents à les mettre hebdomadairement chez des psychiatres qui ne peuvent plus rien pour eux, que les bourrer de psychotropes dangerosissimes, et qui les mène surtout, quant à eux à toutes les dérives que nous observons aujourd’hui dans la jeunesse, violence, hyper-violence, chute dans la contre-culture punk, barbarie, conduites addictives, addiction à l’alcool, à la drogue, addiction aux écrans, lesquelles provoquent l’analphabétisme, l’illettrisme, un âge moyen estimé par les experts à un âge mental de douze ans, une immaturité foncière, si bien que , parvenus à l’âge adulte, ils sont incapables de se marier, ce qui mène à la crise du mariage actuelle, qu’ils sont incapables de fonder une famille, d’élever des enfants, n’étant pas élevés eux-mêmes, etc…

Cette crise du mariage se traduit par le vagabondage sexuel des jeunes………..Le Diable les a jetés dans la chair……………..

Une jeune fille, qui ne peut donner que ce qu’elle a, atrop tôt fait de donner tout ce qu’elle a……….Au terme de cette errance, à quarante ans peut-être, et souvent, aucun homme ne voulant plus se marier, elle, n’ayant donc jamais pu se marier, se retrouve seule, lésée, abusée sexuellement, désabusée, désillusionnée, salie, inépousée, vieille fille, sans mari aucun, sans enfant aucun, en grande souffrance, et grande souffrante.

A quoi s’ajoute la pilule, qui se retourne contre les femmes………Qu’une jeune femme veuille un enfant, et son compagnon, son mari, l’oblige, la contraint, la force à prendre la pilule.…………….

Si d’aventure, par après, certains, d’entre les rares, se marient, les gendres traitent leur belle-mère, qu’ils appellent leur belledoche, avec le plus grand irrespect, ignorant tout de la politesse la plus élémentaire, n’ayant jamais lu, a fortiori, le moindre manuel de politesse, avec tout son arsenal de règles subtiles, de là inversant les rôles, se prenant pour des autorités supérieures à leurs Anciens, dont ils ne respectent pas même la différence d’âge avec eux………

Mais qu’est-ce que le mariage ? Qu’est-ce que l’institution du mariage, du moins selon les Religieux et les diverses confessions religieuses ?

…………. Le mariage selon les Rabbins Juifs : la Fidélité coûte que coûte…………….Faute de Père Spirituel Confesseur, dont l’une des tâches spirituelles et ecclésiales est, dans et par la Confession, de recoller les morceaux d’un jeune couple qui se brise, et veut se séparer à la première crise……., le nombre de divorces explose, étant en constante augmentation. L’on nous parle de société discontinue, de par le travail, toujours de plus en plus précaire et temporaire, et de par les séparations de conjoints, toujours plus exponentiellement nombreuses. Deux couples sur trois divorcent. Et l’on voudrait nous faire accroire qu’une société discontinue doit devenir la norme, et que ladite norme est irréversible, et définit une société moderne…………………

La fidélité.. …La vertu de fidélité…. La fidélité martyrique………… La couronne du Martyre… Le Couronnement du Mariage Orthodoxe et la Danse des Martyrs de l’Office Orthodoxe……….

Un Ancien à son Moine : «  Tu verras les Fruits de la Patience »…………….

Versus la luxure, la chasteté dans le mariage…...Les prières de l’Office du mariage orthodoxe….Que Dieu garde pure et chaste la couche nuptiale des jeunes mariés………………

Le modèle de la famille se meurt. Les familles monoparentales…………. Les célibataires chinoises et chinois……..

Le pire de tout cela étant, in fine, pour finir, et à la fin des fins, que les jeunes succombent au désespoir, puis au suicide.

Ces jeunes étant sans le « Dieu d’espérance », dont nous parle Saint Paul en son Epître, et donc sans espérance, se retrouvent bientôt dans la désespérance totale, pour avoir été les proies de l’angoisse, de la cybercriminalité, du cyberharcèlement, du harcèlement moral, et de là, se voient acculés au suicide.

Pour sauver les jeunes du suicide, il faut leur redonner l’Espérance en Dieu. Et, pour ce faire, réintroduire en classe, et non point seulement dans les classes préparatoires aux Grandes Ecoles, l’étude de la Bible et de l’Evangile, au titre que ces œuvres majeures, capitales, et fondamentales, font partie de la culture générale la plus élémentaire, et qu’il convient de le donner à lire et à connaître dès les plus petites classes de l’école.

Car il faut élever le niveau intellectuel des Français, ce niveau intellectuel étant exceptionnellement bas, confinant à l’analphabétisme, et à l’illettrisme, les chercheurs ayant estimé que l’âge mental des Français étant un âge mental d’environ douze ans.

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Il faut donc leur donner l’accessibilité à la Culture, et aux Arts, dont la musique Classique, le théâtre Classique, et la littérature des Grands Classiques, et la donner mêmement au tout-venant du grand public……………

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Et, pour commencer, il faut expurger cette culture ce qui mène toute une société au suicide collectif. Il faut se débarrasser de, et jeter aux oubliettes l’Existentialisme de Sartre, les philosophies du Soupçon, les philosophes du Soupçon étant les trois auteurs Athées que sont Marx, Nietzsche, et Freud, ainsi que l’absurde philosophie de l’Absurde d’Albert Camus, toutes philosophies Athées, malfaisantes et désespérantes, qui ont fait tant de mal à la société française, et partout ailleurs dans le monde, et qui ont poussé tant et tant d’individus au suicide…………………………………….

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Plus généralement, une solution au problème des jeunes serait d’aider les mères à pouvoir rester à la maison, en………… salariant, en pensionnant ces mères, et en valorisant lesdits salaires, inexistants à ce jour, et en valorisant également leurs retraites, non moins inexistantes également à ce jour.

Une autre conséquence de ce comportement pitoyable des jeunes, déracinés et en proie à l’errance psychique, est leur ingratitude foncière, qui provoque ce que le Pape, en son même livre cité supra, la « crise du nid vide. »

Qu’est-ce que l’ingratitude ?.............

Cf Le mendiant acharis, en grec…………………..

Cf L’Evangile des neuf lépreux………………….

Ces jeunes sont donc ingrats…L’ingratitude des jeunes envers leurs parents….

N’ayant jamais appris à l’école, où ne s’enseigne plus aucune morale, le respect des parents, au plus loin des civilisations anciennes où l’on apprenait même le respect, la vénération et le culte des aïeux et des ancêtres, ainsi en Afrique Noire ou dans les pays asiatiques de la Chine et du Japon, ces adolescents, donc, partis prendre la rue à douze ans, pour s’y laisser entraîner à la délinquance, ou bien quittant le foyer maternel, et, ou paternel, de beaucoup trop tôt, avant que leur éducation ne fût achevée, ou bien, dans le meilleur des cas, grâce aux progrès et aux avancées de la technologie moderne, se lançant à l’autre bout du monde, à l’aide de leur seul portable, ils oublient leurs parents et ne reviennent plus les voir. Toute leur enfance abandonnés par des mères abandonniennes, ils deviennent à leur tour abandonniens, et abandonnent leurs mères, qui récoltent au centuple ce qu’elles ont semé, c’est-à-savoir l’abandon. Plus tard, reproduisant les schèmes familiaux subis dès l’enfance, ces jeunes gens, devenus des maris abandonniens, des pères abandonniens, abandonneront leurs femmes et leurs enfants. Ils appellent leurs parents « Mes vieux », les traitent avec le plus grand mépris, ne prennent plus la peine de leur téléphoner, et moins encore d’aller les voir. Déjà, lorsqu’ils étaient encore à la maison, l’on voyait nombre de jeunes mères s’étonner de l’irrespect de leurs enfants, lesquels, inversant les rôles, veulent y faire la loi à leurs parents. A quoi l’on entendait ces mères, dépassées, répondre : «  Je ne suis pas ta copine. Je suis ta mère. » Ces enfants, qui se croyaient à la maison les copains de leurs parents, une fois partis du nid familial, n’ont plus l’ombre d’une amitié pour leurs parents. De fait, cette société, - le Diable bien plutôt- nous vole nos enfants. La pression sociale et sociétale est si forte, qui fait auprès des enfants du bourrage de crâne, leur inculquant que la tâche des parents s’arrête à dix-huit ans au mieux, au jour de leur majorité, et que, de ce jour, si ce n’est bien avant, ils n’ont plus besoin de leurs parents, qu’ils le croient. On leur dit qu’ils font leur vie, qu’ils sont indépendants, que leur mère, qui veut encore les voir, et s’occuper quelque peu d’eux, d’une manière ou d’une autre, est une mère Juive, ou une mère intrusive.

Or l’on n’a qu’une mère en cette vie. C’est au jour de sa Mort, seulement, qu’ils comprendront qu’ils avaient une mère, et tout ce que cette mère a fait pour eux. Mais il sera trop tard…

Au plus loin de ce modèle de la famille éclatée se situe l’image-modèle de la Sainte-Famille, où l’on voit la Vierge et Mère de Dieu si proche de son Fils, et le Christ son Fils, si proche de sa Mère. Sa Mère accompagne son Fils dans ses déplacements et ses périples, jusqu’au dernier jour, où, tandis qu’elle se tient au pied de la Croix, Piéta éplorée, l’épée des sept douleurs lui transperçant le cœur, son Fils, demi-mort, et entré en agonie déjà, se soucie encore d’elle, et n’a de cesse qu’il ne la confie à Jean, son disciple, pour que ce dernier veille désormais sur elle, et fasse auprès d’elle office d’un nouveau fils.

Sociétalement, cette attitude comportementale des jeunes se traduit par la crise du nid vide, par le désarroi des parents, confrontés à l’ingratitude généralisée de leurs enfants, et par l’ennui des Seniors.

Les Seniors s’ennuient. Ils sont dans un ennui profond. Ils s’ennuient à mourir. Il conviendrait, soit de les laisser continuer à travailler s’ils le désirent encore, cependant que cette société, qui met vingt ou trente ans à former un travailleur, le jette comme impropre ou trop vieux à quarante ans, soit de mettre en place, partout sur le territoire des Universités du troisième âge, gratuites, lesquelles dispenseraient un savoir universitaire de qualité, voire de haute volée. Cependant qu’exclus de tous les cours, les Seniors sont cantonnés par l’Etat à des tâches et à des activités basses, triviales, ou stupides, de nulle valeur intellectuelle, cantonnés dans des clubs du troisième âge, ne leur y étant proposées que des activités de jeux de cartes ou des parties de boules.

Autre corollaire du comportement irrespectueux et ingrat des jeunes, l’abandon des vieillards. Les Anciens sont cachés, exclus de la société, jetés aux EPHAD. Là même, ils ne reçoivent nulle visite de leurs enfants. Un documentaire montrait, en Chine, des vieillards passant tout le jour les yeux rivés sur la porte de leur chambre, attendant désespérant une visite de leurs enfants. Mais ces enfants ne viennent pas, ou jamais. A tel point que l’Etat chinois est maintenant obligé de payer leurs enfants pour qu’ils viennent visiter leurs parents en maison de retraite……

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Pour en revenir aux Migrants, une réserve s’impose à leur sujet : les migrants de première génération, qui ont été accueillis par une nouvelle nation d’adoption, et qui y ont réussi et prospéré économiquement et financièrement, oublient qu’ils ont été eux-mêmes Migrants, et se prennent paradoxalement de haine contre les Migrants de la deuxième génération, à l’égard desquels, en place de les secourir, et de déployer envers eux des actes de solidarité charitables, ils deviennent impitoyables et d’une dureté de cœur indicible, votant contre eux pour des partis d’extrême droite autoritaires, autoritaristes, fascisants, et fascistes, lesquels sont xénophobes et persécutent les Migrants. C’est ainsi qu’il n’est que de penser à l’actuelle candidate à la présidence des Etats-Unis d’Amérique, déclarant cyniquement et sadiquement : « Voilà ce que nous allons faire aux Migrants… », oubliant qu’elle est elle-même fille de Migrants Indiens. Où donc est la gratitude de tels Migrants envers leur pays d’accueil, qui les a si généreusement accueillis et sortis de la rue et de la misère ? Et où est leur esprit de solidarité envers leurs congénères de race et de patrie d’origine ?

S’agissant toujours des Migrants, une critique que leur adresse les gens d’extrême-droite, votant pour des partis autoritaires, autoritaristes, semi-dictatoriaux, fascisants, et même fascistes, est qu’ils sont, en leur grande majorité, Musulmans, et que, partant, se déverse avec eux, sur la France une invasion Musulmane. La solution n’est dès lors pas, comme ces fascisants le voudraient, de persécuter, d’expulser et de reconduire brutalement, violemment, et sadiquement, à la frontière, manu militari, ces migrants, mais de rechristianiser la France, totalement déchristianisée, et dont la prétendue laïcité n’est en fait qu’un Athéisme généralisé déguisé.

De fait, à la Fin des Temps, au Temps de la Grande Apostasie, dont parle Saint Paul en son Epître, l’Athéisme sera sur toute la terre, et nul ni personne ne supportera ni ne souffrira plus d’entendre prononcer le nom du Christ.

Lorsque le Christ aura été prêché sur toute la terre, en tous ses confins, et jusqu’en ses extrémités, et que, nonobstant, il n’y aura plus de Chrétiens, quasi, sur la terre, ont prophétisé les Saints Pères de l’Eglise, lors sonnera l’heure de l’Antéchrist, et viendra la Fin du Monde.

Dans cette attente redoutable, et dans cet entre-temps, il conviendrait nonobstant, en lieu et place d’une laïcité Athée à la française, persécutrice des religions, que pût s’obtenir et que fût instaurée la Liberté de Religion, à l’instar et à l’imitation des Etats-Unis d’Amérique, où chaque citoyen est entièrement et totalement libre d’exercer sa religion.

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Plus particulièrement, en lieu et place de persécuter la Religion, et de déverser sur elle, de façon sacrilège et blasphématoire, une indicible haine, il conviendrait d’aider le Christianisme des Origines à refleurir dans les Gaules. Il faut recréer un modèle de Religion à la Française, un modèle d’Eglise à la Française. Et que le gouvernement en fasse une priorité. En proclamant des mesures fracassantes, qui soient des mesures-Phare, à cette fin de promouvoir cette Eglise. Pour ce, il faut faire revivre l’Eglise Chrétienne Orthodoxe primitive universelle, celle du Christ, de la Tradition des Apôtres, de Sainte Blandine, de Saint Pothin de Lyon, Martyrs, de Sainte Geneviève de Paris et de Sainte Clotilde, reine de France, qui oeuvrèrent au baptême de Clovis, roi des Francs, cette Eglise des Gaules qui nourrit de sa lymphe, et abreuva de son sang, la religion Barbare des Francs, dans les veines des successeurs desquels, qui sont les Français, elle coule encore.

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Que j’ai été persécutée par le gouvernement français depuis mon entrée à l’Ecole Normale Supérieure, mon parcours de vie, tel que brièvement exposé à l’en-tête de cette Lettre, et qui fut, toute modestie mise à part, un parcours d’Excellence, suffit à le montrer.

J’en demande réparation et prestations compensatoires. Je demande ma réhabilitation. Et ce, sans avoir à repasser devant des commissions de prétendus experts psychiatriques d’Etat, passage hautement traumatisant, se soldant immanquablement, chaque fois, par des déclarations totalement mensongères de ces psychiatres à la solde de l’Etat, et par des réinternements abusifs. N’étant, ni n’ayant jamais été folle, ni atteinte de troubles mentaux, ou de prétendus troubles psychiatriques, je demande à être innocentée de ces accusations criminellement mensongères et de ces accusations à charge, qui m’ont valu la torture, l’angoisse, consécutive aux lavages de cerveau subis à l’asile, de me demander si je n’étais pas réellement folle, ma déchéance et mon exclusion sociale, la privation de mes droits civiques.… Je demande que mon honneur soit lavé, que mon honneur soit réparé. Je demande à être blanchie. Je demande la destruction et la radiation complète de mon dossier psychiatrique, forgé de toutes pièces, et de pièces mensongères, qui a mensongèrement fait de moi une « folle psychotique ». Et qui décrète tous mes écrits « Diarrhée verbale », pour dissuader quiconque de les lire. Quand bien même, Poétesse, j’ai écrit Ballade des Ames, épopée religieuse de milliers de vers en alexandrins, occultée parce que considérée comme politiquement gênante, épopée que j’eusse continuée, si les tortionnaires commis à ma déportation n’étaient venus m’interrompre et porter un coup d’arrêt fatal au travail de mon œuvre.

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Que mon Eglise Orthodoxe Française ait été persécutée en ma personne, cela ressort, d’évidence, du texte de l’Epitre de Saint Paul, en lequel il écrit que lorsqu’un membre du Corps de l’Eglise souffre, tout le Corps entier de l’Eglise souffre avec lui.

Il en appert, consécutivement, que les Minorités Religieuses sont persécutées en France, dont, en particulier, et au premier chef l’Eglise Orthodoxe Française, non oecuméniste, parce que ne pouvant s’aligner sur les lignes directrices des Puissants, tant celles du Président Poutine, dont le Métropolite est un ancien membre du KGB, lequel KGB tortura les Vrais Chrétiens Orthodoxes, et fit, de par la main criminelle de Staline, soixante (60) Millions de Morts, ce qui est dire soixante (60) Millions de Martyrs de l’Eglise Orthodoxe des Vrais Chrétiens Orthodoxes Russes, que sur celles du pape, prétendument infaillible, et de la papauté, dont la théologie et la dogmatique sont erronées, schismatiques, et hérétiques.

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A ce titre, je vous demande, Monsieur le Président, en lieu et place de les persécuter, de protéger les Minorités Religieuses en France, au premier rang desquelles l’Eglise Orthodoxe Française, non-oecuméniste et non-papiste.

Il conviendrait d’abroger la loi laïque, mais plus au vrai Athée, qui interdit au Clergé l’accès aux carrières de la fonction publique, et en particulier de l’enseignement, où ce Clergé est détesté, haï, et persécuté.

Il conviendrait même, à l’instar de la loi Gayssot du 13 juillet 1990, qui protège les Juifs de France, de promulguer une loi de protection des Orthodoxes de France…………………………….

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S’agissant de Méritocratie, et d’une République dont vous voulez, Monsieur le Président, qu’elle reconnaisse le Mérite, et qu’elle accorde une place à ce Mérite, je demande que me soit octroyée une pension, et une pension décente, au prorata de mon mérite, et des mes mérites de Mère de Famille très nombreuse, et de Poétesse Nationale, ainsi qu’ au vu de mon Engagement militant d’Ecrivaine Engagée contre les atteintes aux Libertés, et de Femme d’Eglise Pionnière, voulant ramener l’Eglise en son berceau et à son fondement de la Tradition des Origines de la Chrétienté.

Je demande, qu’à titre de réparations et de prestations compensatoires de toutes ces persécutions subies en ma chair, et par mon Eglise Orthodoxe Française, l’Etat m’octroie et me donne la somme d’un Million trois cent mille euros, prix actuel de vente de ma maison, ce prix m’ayant été une première fois versé par les assurances au titre de prestations compensatoires pour la mort de mon premier époux Père Patric Ranson, et de ma fille Photinie, le chauffeur, également défunt, ayant été Michel Aubry, neveu de Mme Martine Aubry , Ministre du Travail. Les assurances ayant estimé à ce prix dérisoire le prix du sang de deux Vies inestimables, - d’une perte incommensurable et irréparable pour l’Orthodoxie Française, - la Vie de mon époux Père Patric, et la Vie de ma fille Photinie, dont je demeure à tout jamais inconsolable. De fait, acculée à la ruine par les trente mille euros d’astreintes auxquelles m’a condamnée l’Etat pour une extension de la maison qu’il m’a contrainte de démolir – soit une démolition d’un tiers de ma maison -, et ruinée également par l’octroi dérisoire d’une pension de retraite de trois cents trente euros par mois (330 euros), je suis contrainte de vendre ma maison. Or, j’avais fait le vœu pieux de faire de cette maison un Monastère. Vœu dont j’avais fait part par Lettres aux autorités politiques avant la démolition d’icelle, lesquelles autorités n’en ont tenu aucun compte et ont procédé à la démolition d’un lieu sacré par les reliques qui s’y trouvent. Ainsi donc, et parce que je ne peux pas déshériter mes six enfants vivants, dont certains sont pauvres, je demande que l’Etat me rachète ma maison, ce qui est dire qu’il me redonne l’argent du prix que vaut cette maison, afin que je puisse en faire don à l’Eglise Orthodoxe Française, et que ladite Eglise fasse de ma maison un Monastère mixte, sous la direction spirituelle d’une Femme, comme il se fit en la magnificente Abbaye Royale de Fontevrault (Fontevraud). Les Starsty russes – pluriel de Starets – disant qu’un Monastère se choisit d’après la magnificente beauté du bois de forêt – en l’occurrence le bois de pinède- qui l’entoure. Ce qui fut également le sentiment des Anciens Grecs, qui établirent leurs temples sacrés dans les écrins de verdure de sites extraordinairement admirables, jugés sites d’exception.

Touchant les héritages, je demande que le gouvernement change la loi sur les héritages, laquelle est très injuste et très inégalitaire en France, et à cette fin d’ égaliser les droits d’héritages entre les héritiers. En effet, de l’immeuble de mon père, de sa boulangerie, et de ses boutiques, dont un restaurant, le tout sis dans le Marais à Paris, et estimé à largement plus de dix Millions d’euros, lots partagés entre mes quatre sœurs, dont ma plus jeune sœur handicapée, infirme moteur et cérébrale, je n’ai eu droit à strictement rien, étant sortie de la succession lors de mon veuvage, lorsqu’ayant été injustement radiée de l’Education Nationale, je me retrouvai veuve, avec trois de mes enfants ayant survécu, à la rue. Car, pour me sortir de la rue, mon père me donna un petit appartement en banlieue, qui, à l’époque, ne valait pas grand-chose. Cependant qu’à Paris, les prix ont explosé, et que mes sœurs ont hérité désormais exponentiellement plus que moi. Et ce, alors qu’elles ont un statut social élevé, et de hautes situations, étant médecins des hôpitaux ou du privé, ou professeur de droit à l’université, avec peu d’enfants à charge. En sorte que je ne suis plus autorisée par mes sœurs qu’à louer, au prix fort du marché, en cet immeuble de mon père, qu’une chambre de bonne sous les toits, pour mon fils Théophane, ainsi qu’un modeste studio à l’étage, dont j’ai fait mon Ermitage Saint Paul à Paris.

Je demande aussi que cette nouvelle loi, juste, sur les héritages, soit rétroactive.

Auquel cas, si se pouvait obtenir, et s’obtenait, selon les règles d’une véritable et vraie justice équitable, l’égalisation des parts d’héritage entre les héritiers d’une même famille, je pourrais faire servir ces sommes à couvrir de gloire et d’honneur, Dieu voulant, l’Eglise Orthodoxe Française, racheter ma maison à mes enfants, et donner cette maison à ladite Eglise, pauvre entre les plus pauvres, pour pouvoir enfin lui offrir un Monastère mixte de Moines et de Moniales, placé sous la houlette d’une Femme Higoumène……………………..



Je demande également que la notion, extrêmement injuste, de prescription, soit supprimée de la justice française, en sorte que les victimes, fût-ce bien des années après les faits, cependant toujours demander et obtenir justice et réparations.

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Que mon Eglise Orthodoxe Française, à laquelle j’appartiens, a été, est, et demeure persécutée en ma personne, cela va sans dire. Les faits parlent d’eux-mêmes. En réparations de quoi, je demande qu’en lieu et place de la persécuter, l’Etat protège la dite Eglise Orthodoxe Française. Mon Eglise ne s’alignant pas sur la ligne politique des Puissants de ce monde, dont sont Poutine, pour les raisons susdites, et le Pape, avec la théologie et la dogmatique erronées duquel nous ne sommes pas en accord, et n’étant dès lors pas oecuménistes, nous sommes persécutés : Nos livres érudits ne sont pas ou très difficilement édités. En effet, nous ne trouvons pas d’éditeurs pour nos ouvrages majeurs, fussent-ils émanés des plus éminents chercheurs du CNRS et autres érudits et brillants Gens de Lettres, la majeure partie d’entre les éditeurs refusant de nous éditer. Si d’aventure il s’en trouve un pour nous éditer, nous ne trouvons pas non plus de diffuseurs. Si par miracle quelqu’un de nos livres paraît au grand jour, il est aussitôt vilipendé et boycotté par la presse officielle, qui n’entend rien à la religion, non plus qu’au christianisme. En France, les rayons « Orthodoxie » des librairies sont vides, pour ce que boycottés. Sommes tant soit peu édités, les librairies, le plus souvent d’obédience catholique, mettent nos ouvrages dans « l’enfer des bibliothèques », ce qui est dire tout en haut ou tout en bas des rayonnages de livres, où nul, ou presque ne peut nous trouver.

Je demande que notre Eglise Orthodoxe Française ait pignon sur rue. A commencer par notre église-Mère du 30 Bd Sébastopol à Paris 1er. Oui, je demande que ladite église de Paris ait pignon sur rue à cette même adresse, précisément, du 30 Bd Sébastopol, car sous cette église, ont miraculeusement été retrouvées, dans la crypte, les Saintes Reliques de Saint Magloire, qui bénit et sanctifie ce lieu. Car notre Eglise Orthodoxe Française ne parvient pas davantage à obtenir une église avec pignon sur rue. De fait, inexplicablement et injustement, en France, une Eglise non Catholique qui veut obtenir en France une église doit passer par l’Archevêché Catholique. Lequel, bien sûr, et comme de bien entendu, s’empresse de la lui refuser, si ladite Eglise n’est pas oecuméniste, ce qui est dire si elle ne partage pas la ligne théologique, dogmatique, et politique du Pape et des Puissants de ce monde. C’est ainsi que l’Eglise Orthodoxe Française ne dispose, à Paris, que d’une minuscule chapelle, sise au premier étage d’un immeuble, à cette même adresse du 30 Boulevard Sébastopol, Paris Ier. Cette chapelle, ne comprenant ni salle d’eau, ni cuisine, et dont les murs aux fenêtres aveugles donnent sur cour, avec un voisinage extrêmement intolérant et agressif, ne supportant pas les exhalaisons d’encens ni la beauté ineffable et sublime des chants orthodoxes, lançant sur nos enfants de l’eau et de l’huile bouillantes par lesdites fenêtres, ce local rudimentaire, donc, nous étant alloué au prix mensuel exorbitant de mille euros, que sa petite communauté restreinte de fidèles désargentés peinent infiniment à payer. Cependant que les oecuménistes se voient distribuer par l’Archevêché catholique églises gratuites et gracieusement concédées et monastères à volonté. Je demande donc que le gouvernement français aide l’Eglise Orthodoxe Française à obtenir des autorités concernées des églises avec pignon sur rue, et ne l’oblige plus à passer par lesdites autorités de l’Archevêché catholique de Paris pour les obtenir, et ce, aux quatre coins de France, où sont disposées et établies nos paroisses, que vont sacrificiellement desservir nos turbo-prêtres, concédées par l’Etat, gracieusement, à titre gratuit…………………………..

Monsieur le Président, lorsque vous irez à nouveau au-devant du Pape, lors de la réinauguration de Notre-Dame de Paris, qui fut incendiée, puis sauvée des flammes, je vous prie de bien vouloir vous faire l’intercesseur de la République auprès de lui, pour demander, en premier lieu la béatification et la canonisation du Sain Abbé Pierre, puis, en second lieu pour requérir l’obtention du Mariage des Prêtres et des Evêques de l’Eglise, le Mariage des Prêtres et des Evêques constituant une véritable question de société pour la nation française.

Que reproche l’Eglise catholique à l’Abbé Pierre, et pourquoi ne l’a-t-elle toujours pas béatifié et canonisé ? L’Eglise catholique reproche à l’Abbé Pierre d’avoir commis ce qu’elle appelle « le péché de la chair », et d’avoir chu et chuté hors de son état monastique, - l’Abbé Pierre ayant d’abord été moine franciscain en une abbaye -, chuté, donc, en ayant connu une femme, des femmes, et peut-être même en ayant rendu enceinte une jeune femme, qu’il aurait ensuite abandonnée avec son enfant. Quand bien même cela serait vrai, et quand bien même cela est grave, il faut tout d’abord comprendre les souffrances de l’Abbé Pierre, qui dit et qui écrit que ces souffrances de la privation de la compagnie, de l’aide, de l’assistance, et de la joie que donne la femme à l’homme, - ayant, quant à moi, entendu dire, de la bouche d’un homme, que seule la femme peut donner la joie à l’homme sur cette terre -, que ces souffrances, donc, de la privation d’une femme, et de l’interdiction du mariage, faite aux prêtres, que ces souffrances intenses l’avaient accompagné toute sa vie, et que la chasteté avait été pour lui l’ascèse la plus difficile à mener.

Par-delà cette thématique, bien des Chrétiens, bien des Eglises, et la Papauté même, ne semblent pas connaître, comprendre, ni entendre la notion et la pensée de la Pénitence, telle que l’entendent les Saints Pères de l’Eglise, et, plus particulièrement, les Saints Pères du Désert. Lesquels Saints Pères du Désert, dans leurs Apophtegmes,

  • cf Apophtegmes des Pères du Désert- montrant de façon récurrente ce qu’est la véritable Pénitence, au sens Chrétien et Divin du terme. Un grand pécheur, disent-ils, peut devenir Saint en un seul jour, dans l’intervalle qui sépare un matin d’un soir. Plus généralement, les Saints Pères du Désert montrent que bien des pécheurs, des Evêques mariés mêmes, ont pu, par de longues années de Pénitence, devenir plus Saints après leur Chute qu’ils n’étaient saints avant de chuter. Or l’œuvre extraordinaire ultérieurement ‘accomplie durant toute sa longue vie par l’Abbé Pierre montre suffisamment qu’il avait fait Pénitence. Toute son admirable œuvre immense constitue à soi seule une Pénitence. D’autant qu’il était parvenu à atteindre, après son péché même, à la Sainte Vertu de Chasteté parfaite.

  • Mais il eût été plus aisé et, ô combien moins douloureux, pour l’Abbé Pierre qu’il eût été autorisé par son Eglise catholique à se marier d’abord, avant que de pouvoir prétendre à atteindre cette haute Vertu de la Chasteté parfaite.

L’Eglise catholique et la chair……………..

Le dolorisme catholique….

Il convient, d’autre part, et il faut obtenir de la Papauté le mariage des Prêtres et des Evêques, qui contribuera à sauver la France de la décadence, de la ténèbre, et de la Barbarie. Ceci, en premier lieu pour mettre fin à la Crise des Vocations dans l’Eglise, qui prive si cruellement tout le territoire français de Prêtres, d’Evêques, laissant la majeure partie des églises de France désaffectées, ce qui a pour résultat et conséquence immédiate de laisser et de faire sombrer la France entière dans les ténèbres de l’ Ignorance Athée, et, par là, de la Barbarie. En second lieu, pour mettre fin aux désordres sexuels du Clergé, qui sont cause de scandale tant pour l’Eglise que pour la République, scandales par quoi tant d’âmes, et même d’âmes pieuses, sont détournées de l’Eglise. Ces désordres ne sont que des dérives de la frustration sexuelle du Clergé, frustration qui envahit tout le mental et tout le psychisme, mène aux désordres et aux perversités que l’on voit, et peuvent même rendre un homme fou. En troisième lieu, pour mettre fin à la culpabilité dévastatrice et aux intenses souffrances psychiques du Clergé officieusement ou officiellement marié, contraints, outreplus, de mener une vie cachée, et aux souffrances de leurs enfants, qui sont des enfants cachés, et contraints de mener une vie cachée, ces Canons tardifs de l’Eglise privant tout le Peuple des Lumières de son Clergé, et de la joie de voir grandir en Eglise ses enfants, lesquels ont de ce fait été chassés et privés de la Vie en Eglise, dont l’assistance aux Offices liturgiques de celle-ci est sanctifiante et, de par cette Sanctification, mène à la Sainteté - Ces souffrances, si intenses, qu’elles entraînent, de très longues années durant, névroses et psychoses, qui sont de l’ordre de la Torture mentale, et qui, pis même, peuvent entraîner les membres de ce Clergé à devenir des possédés du Diable, le Diable entrant en eux, après avoir déchaîné dans leur esprit et dans leur âme ses légions de démons ténébreuses, avec, pour suite consécutive, des effets effroyables, et d’entre les plus funestes . Pour éviter ce faire, il faut que l’Eglise fasse d’eux des êtres bénis par le Sacrement de Mariage, et bénisse leur couche nuptiale – L’Office du Couronnement du Mariage Orthodoxe invoquant Dieu, le Christ, et l’Esprit à sanctifier cette couche, et invitant à prier pour que, au plus loin de la Luxure, cette même couche nuptiale devienne le lieu où s’origine la Vertu insigne et si difficultueuse, en ses commencements, de l’absolue Chasteté des Saints. Il convient que, par le Couronnement du Mariage, les Prêtres et les Evêques officieusement ou officiellement mariés civilement dans la République ne fassent plus figure d’êtres maudits, mais d’êtres bénis par le Sacrement du Mariage Religieux. S’il faut, tout d’abord, que ces réprouvés de l’ Eglise puissent passer d’un état de coupables à un état de rachetés, il faut encore, bien plutôt même, et au-delà, il faut que ces réprouvés de l’Eglise actuelle puissent passer d’un état de réprouvés à un état d’êtres bénis et sanctifiés, aptes à et capables de devenir Saints et Illuminateurs de l’Eglise.

En vous remerciant encore, Monsieur le Président, de tout ce que vous avez déjà fait pour les Pauvres et pour les Migrants, et de tout ce que vous pourrez encore faire pour eux, ainsi que pour l’Eglise Orthodoxe Française,

votre humble suppliante,

Presbytéra Anna.



Acte écrit de ma main,

au nom de mon Père Spirituel Saint Ambroise de Paris,

qui vécut en odeur de sainteté, et mourut en odeur de sainteté,

de mon défunt époux Père Patric Ranson,

au nom de Mgr Photios, Evêque de Lyon,

et des Saints dont les saintes reliques sont en ce lieu,



et Ermite en ce lieu de mon Ermitage de Saint Ambroise de Paris et de Saint Jérôme d’Egine.



Par les prières des Saintes Femmes Myrrhophores, de nos Pères Saints, de Sainte Mélanie la Romaine, de Sainte Geneviève de Paris, patronne de Paris et patronne de la France, qui maintes fois sauva Paris des instigations du Malin, et de Sainte Elisabeth la Grande Duchesse de Russie, qui fut une grande dame, une grande femme, et une grande sainte, et dont Dieu voulut qu’elles fussent toutes richissimes, en manière qu’elles pussent faire servir leurs fortunes à les répandre en aumônes dans leur très grand amour des Pauvres, et qu’elles devinssent d’illustres Fondatrices de Monastères, pour la Gloire de Dieu et pour le Salut des Ames.

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