lundi 29 janvier 2024

Seconde Lettre Ouverte à Monsieur Emmanuel Macron, Président de la République Française,

Seconde Lettre Ouverte à Monsieur Emmanuel Macron,

Président de la République Française,


( Lettre inachevée,

et en cours d’élaboration,

encore sur le métier).


« …Nos Pères ont tous été sous la Nuée…

Ils ont tous été baptisés en Moïse dans la

Nuée… »

Saint Paul.

Ière Epître aux Corinthiens, Chapitre 10.


« La Prière du Cœur Orthodoxe

est une baguette magique. »

Révérend Père Ambroise Fontrier,

dit Saint Ambroise de Paris.


( Agissant par la Prière),

« les Saints de Dieu

font tout ce qu’ils veulent ».

Psaume du Psalmiste

David-Roi


« La maturité, c’est apprendre à s’éloigner des gens et des situations qui menacent votre paix, votre dignité, vos valeurs morales, ou votre estime personnelle. »

Propos d’un spirituel.


« La liberté, c’est ce que nous arrivons à faire avec ce qu’on nous a fait. »

Jean-Paul Sartre.


En mon Ermitage de Saint Ambroise de Paris et de Saint Jérôme d’Egine, anciennement dénommé La Bastide Bleue, à Aix-en-Provence,




A Monsieur Emmanuel Macron,

Président de la République Française.


Monsieur le Président,


Permettez-moi, en cette seconde lettre ouverte à vous adressée, de revenir ici vous soumettre avec déférence quelques nouvelles requêtes et propos spirituels, mais, auparavant, de vous remercier aussi humblement, vivement, et chaleureusement qu’il se puisse, pour avoir pris la peine de faire répondre à ma première lettre du mois de novembre par votre cabinet et bureau dédié, et, plus encore et surtout, pour les nouvelles mesures que vous venez de prendre à cet égard, bien qu’il serait démesurément orgueilleux, présomptueux, et outrecuidant de croire que ma lettre précédemment adressée à vous puisse être pour grand-chose dans ces nouvelles mesures de votre ligne politique prises en faveur des S.D.F. et des Migrants torturés par le froid, et en mourant, et qu’il faille plus plausiblement imputer ce miracle inouï de votre subit accès de grande générosité magnanime envers ces mêmes S.D.F. et ces mêmes Migrants au travail incessant et acharné des diverses Associations de Bienfaisance et Humanitaires, - au premier rang desquelles il faut citer celle des Sauveteurs en Mer Méditerranée, ainsi qu’en a été d’avis et que vous l’a exprimé le Pape lors de son allocution au stade-vélodrome de Marseille, lesquelles toutes Associations oeuvrent sacrificiellement, et avec le plus grand désintérêt, à la survie, au mieux-être et au bien des plus pauvres des pauvres, nécessiteux, indigents, miséreux, vagabonds, quart-mondistes, Sans-Abris, S.D.F. et Migrants, tous Grands-Souffrants, - et des plus démunis -, votre générosité nouvelle donc, qui vient tout récemment de retirer de la rue les enfants Sans-Abri, vivant à la rue, et dormant dans la rue, par des froids torturants et mortels de moins 10 degrés Celsius, avec leurs familles, pour les mettre à dormir, au chaud, dans les écoles ; votre générosité, infléchissant nouvellement votre ligne de conduite et de politique, qui vient également de débloquer des fonds importants, et la somme conséquente de 120 Millions d’euros pour les S.D.F. et les Migrants, dormant à la rue, sous la tente, ou même, pour les plus pauvres d’entre eux, sans tente aucune, jusqu’à ce que mort s’ensuive. Cependant, l’on attendrait encore une enveloppe historique de fonds beaucoup plus conséquents, qui constituerait un apax, - un fait unique- jamais vu dans l’Histoire de France.

Que les Migrants sont de Grands-Souffrants, la littérature qui leur est consacrée le montre assez, ainsi que le dépeint, à ne prendre que ce seul exemple, l’auteur Laurent Godé dans son livre Eldorado.. De même que le grand et beau film : « Moi, Capitaine ». Ces Migrants ont fui les bombes des guerres, la sécheresse, la famine, ou le changement climatique, rendant leur terre, leur pays ou leur contrée inhabitable. Ils ont eu à affronter, est-il retracé dans ce film, en un longue périple interminable pour venir à pied et en pirogue d’Afrique jusqu’en Europe, les mille dangers d’une route périlleuse jusqu’à la torture et à la mort. Pour ne trouver que le non-accueil, la misère, ou l’internement en camps de rétention concentrationnaires d’une riche Europe, égoïste, froide, individualiste, indifférente, abandonnienne, non serviable, non solidaire, raciste, et athée, qui refuse de les assister et de les secourir, alors que vieillissante, et sans plus d’enfants, elle a encore besoin de leur main d’œuvre précieuse……………………………………………………….

La loi sur l’immigration, loi de la honte……………………………………………………………………………….

A l’heure de la dénatalité française, qualifié par les sociologues spécialistes de la famille d’ « hiver démographique », et du sinistre vieillissement d’une population européenne, où l’on n’a plus dans la rue la joie de croiser et de voir femmes enceintes, bébés, ni enfants, mais juste des jeunes punks et « paumés », des adultes, et des seniors vieillissants, qui cachent et dissimulent aux EPHAD – maisons de retraite - une foule de vieillards dont ils ont honte, en lieu et place de les garder à domicile, de les respecter et de les vénérer – car les jeunes n’ont plus aucun respect pour les Anciens, contrairement à l’enseignement des Pères, dont Saint Benoît, qui rappelle en sa Règle : «  Il faut vénérer les vieillards » ; ces Anciens qui sont seuls en mesure de transmettre à leurs petits-enfants la Tradition et les valeurs morales, sans lesquelles une société se barbarise et se meurt ; ces grands-parents dont l’Abbé Pierre, en son même livre, J’aurais voulu être marin, missionnaire ou brigand, écrit que si leurs petits-enfants sont coupés d’eux, ces enfants sont comme des arbres sans racines et ne peuvent grandir ni croître harmonieusement - ; à cette heure triste jusqu’au sinistre donc, seuls les immigrés et les migrants ont une natalité dynamique, au plus grand mépris de leur misère, ce en quoi ils ont raison, se confiant à la Providence, allégoriquement représentée dans nos campagnes par la cigogne, apportant en son bec au nouveau-né le baluchon de tout ce dont il aura besoin dans sa vie pour subsister sans manquer de rien. Car le Christ dit : «  Je vous ai envoyés… Et vous n’avez manqué de rien. » Dans les Indes lointaines, les pauvres disent qu’il leur faut avoir huit enfants au moins, pour qu’ils aident plus tard matériellement leurs parents, par leurs dons d’argent, chaque enfant donnant un peu, pour que les parents aient, à la fin, un revenu substantiel, et en sorte qu’il y ait l’un de leurs enfants au moins pour s’occuper d’eux dans leur vieillesse. Ils savent aussi que les enfants sont toute la joie, et la richesse, du pauvre et du prolétaire, prolétaire venant étymologiquement du mot latin « proles », qui signifie prolifique en enfants.

En cette heure donc de la dénatalité européenne et française et de ce que les sociologues de la famille dénomment « l’hiver de la natalité française », il convient de redorer le blason des Mères et de la maternité………………………………………………

Qu’il convient de recevoir et d’accueillir les Migrants, cela est encore stipulé dans l’Evangile, comme le rappelle Saint Benoît en sa Règle : «  Tous les hôtes qui arrivent seront reçus comme le Christ, car Il (le Christ) dira un jour (au Jour du Jugement Dernier, à son Divin Tribunal : « J’ai été votre hôte, et vous m’avez reçu . » Ou bien : « Allez-vous en, je ne vous connais pas…Car j’ai été étranger, et vous ne m’avez pas reçu. » Et : «  Le Christ ne fait plus acception de personne.. Il n’y a plus en Christ esclave ni maître, Juif ni Grec… ». A quoi Saint Benoît ajoute en sa Règle – Cf Règle de Saint Benoît, Editions Desclée de Brouwer, citée supra-, au chapitre 53 Des hôtes à recevoir :

1 Tous les hôtes qui arrivent seront reçus comme le Christ. Car Il dira un jour ( - au Jour redoutable du Jugement, à don Divin Tribunal du Jugement Dernier - ) :

« J’ai été votre hôte, et vous ne m’avez pas reçu. »

2 A tous on rendra les égards qui leur reviennent, surtout aux frères dans la Foi et aux pèlerins.

3 Dès qu’un hôte sera annoncé, le supérieur ou des frères iront à sa rencontre, avec l’empressement requis par la charité.

4 Avant tout, ils prieront ensemble, puis se donneront le baiser de paix. »

Au nom du Christ, il faut, du reste, supprimer la loi sur les signes injurieusement et aberramment dits signes « ostentatoires » de religion, interdisant diaboliquement d’arborer publiquement sa croix. Car les Chrétiens ne sauraient jamais se départir de leur Croix, signe de la Victoire du Christ sur la Mort ; Croix qui éloigne aussi les Puissances adverses et les en protège de leurs méfaits, de leurs machinations perverses, et de leurs attaques maléfiques, pour ce que le Diable et ses légions de démons redoutent la puissance de la Croix.

Il faut, donc, dans le Christ, et pour le Christ, - et j’aimerais vous inciter à le faire, s’il était en mon pouvoir de vous y inciter, - il faut continuer l’œuvre immense de Sainte Térésa de Calcutta, et du Saint Abbé Pierre, personnalité préférée des Français, dont le film : « L’Abbé Pierre, une vie de combats », grand film, jouxtant l’admirable, et confinant au sublime, retrace si fidèlement et si magnifiquement la vie, telle qu’il la décrit en son livre admirable : J’aurais voulu être marin, missionnaire ou brigand.

Car, récemment encore, selon une directrice de la Croix-Rouge, sainte laïque de mes amies, les subsides, subventions et crédits accordés à l’Aide Alimentaire n’ont cessé de diminuer, et les rayonnages des Epiceries Solidaires sont vides, ou quasi. Les Restaurants du Cœur, devant faire face à un afflux considérable de demandes en constante augmentation, du fait de la Nouvelle Pauvreté qui règne actuellement en France, sont contraints, scandaleusement, de refuser de nourrir des milliers de bouches affamées.

Et où est la soupe populaire d’antan et de jadis ? - Seule et unique source de vitamines et seul plat chaud des pauvres ?

Mais, dans le même temps, donner, dans le meilleur des cas, une soupe chaude et une chocolatine rassie, d’entre les invendus d’une boulangerie, en quoi, et de quoi cela servirait-il aux indigents, aux nécessiteux, aux S.D.F. et aux Migrants à la rue, pour leur éviter et les empêcher de mourir de froid ?

C’est donc insuffisant. Ce qu’il faut aux plus pauvres des pauvres, ce n’est pas la rue ; ce sont des abris.

Non seulement il faut les laisser dormir au chaud dans le métro, - où il faut remettre tous les bans, sadiquement et perversement enlevés pour les empêcher d’y dormir -, les laisser dormir au chaud, donc, dans les écoles, les collèges, les lycées, et les gymnases, mais, à l’imitation des pays nordiques dont les gouvernements leur font construire des chalets pour les protéger du froid, il faut leur bâtir des abris, des refuges, des centres d’hébergement, tant d’urgence que pérennes, et des logements sociaux.

Car il faut également cesser, comme étant la seule solution trouvée par le gouvernement, solution qui s’apparente plutôt à une solution finale et létale, qui cause la mort des internés, il faut cesser d’interner les pauvres en asile psychiatrique, et de psychiatriser la pauvreté, qui n’est en rien une maladie psychiatrique, si l’on agit assez tôt pour sortir les pauvres de la rue, et lorsqu’ils sont encore en début de rue. Car, à trop tarder, il devient trop tard, car, de fait la dureté insoutenable est le prélude d’une descente aux Enfers dont l’horreur rend fou.

Mais aux asiles, les internés sont privés de leur bien le plus précieux, la liberté, et ils sont torturés chimiquement, par des camisoles de force chimiques, ou autres procédés de torture, les asiles en France étant des lieux de torture et de non-droit, comme le stipulent clairement, crânement, cyniquement, et sans honte les affiches du règlement intérieur qui y sont placardés sur les murs.

Touchant aux asiles, il faut supprimer en France l’internement abusif. Car contrairement à ce qui se passe en Angleterre, où la loi de l’Habeas corpus, - qui signifie, en latin, « Sois maître de ton corps », lequel s’interprète comme l’énoncé d’un droit fondamental à disposer de son corps, et désigne le principe général de la liberté individuelle en régime démocratique, c’est-à-dire la libre disposition par l’individu – le citoyen – de sa personne et de ses biens, loi et droit de l’Habeas corpus promulgué en 1679, y empêche depuis des siècles – le dix-septième siècle en l’occurrence – de jeter aux prisons et aux asiles, ce qui est dire d’emprisonner et d’interner selon les règles du pur arbitraire, règne la détention arbitraire en France, où il est permis d’interner à loisir, et pour le dire vulgairement, d’interner à gogo, selon que cela vous chante, qui bon vous semble. Comme ce fut mon cas, moi qui fus trois fois quarante jours, dont cinq jours à l’isolement, en cellule d’isolement, et une cinquième fois trois jours. L’Abbé Pierre, qui gênait les hommes politiques, qu’il arrangeait de le faire passer pour fou, fut lui-même longuement interné, aux jours, dit-il, qui furent les pires de sa vie.

Il faut supprimer aux asiles psychiatriques la cellule d’isolement, chambre de torture, hautement traumatisante, et cauchemardesque, dont les chercheurs américains ont démontré qu’au-delà de cinq jours l’interné pouvait y devenir fou. Cette suppression de la barbare cellule d’isolement, inadmissible en démocratie, que nul, ni nulle association n’a jamais pu obtenir au Tribunal International de la Cour Internationale de Justice de La Haye.

Ce même Abbé Pierre, soit dit en passant, qui après avoir, au péril de sa vie, longuement, et à maintes reprises, sous la neige, par des cols de montagnes, en altitude impraticable, fait passer des Juifs en Suisse, pour leur sauver la vie, et ayant, comme par don de prophétie, semblé voir à l’avance ce qu’il en serait des Juifs à l’heure où se déroule, sous tant de yeux indifférents, appuyé par les Etats-Unis d’Amérique, du fait de gouvernants devenus criminels de guerre, l’atroce génocide Palestinien qu’ils accomplissent criminellement, ce même Abbé Pierre, donc, en écrivait ibidem – au même livre cité supra – J’aurais voulu devenir marin, missionnaire ou brigand - : « Après avoir risqué nos vies pour sauver des Juifs durant la guerre, après avoir eu tant de sympathie pour Israël, je constate qu’après la constitution de leur Etat, les Juifs, de victimes sont devenus bourreaux. »

La guerre menée par Israël en Palestine est plus au vrai un génocide. A ce jour les Israéliens ont fait 25 500 morts Palestiniens. Vingt-cinq mille cinq cents morts. Peut-on se rendre compte de ce qu’ un tel chiffre, aussi exorbitant, peut recouvrir de deuils, malheurs, de souffrances, d’horreur humaines ?

Un bombardé disait : «  Ils parlent de Justice, de Droits Fondamentaux, et de Droits de l’Homme, mais où sont les Droits des Peuples Opprimés et Bombardés ? »

Quant à la guerre que mène la Russie contre l’Ukraine, elle est non moins atroce, qui tue tous les jeunes gens de l’Ukraine, ne laissant plus, sur son sol dévasté, que des mères éplorées et dépressives à vie, des veuves folles de douleur, couchées une vie durant par le désespoir, et des orphelins privés de toute protection et détruits à vie. Guerre d’autant plus atroce qu’il s’agit d’une fratricide guerre civile, entre frères dans le Christ de même religion Orthodoxe, de même ethnie et de même race.

Que tout soit fait pour qu’elle cesse au plus vite, et que l’Ukraine entre, par après, dans l’Union Européenne.

Prions pour le monde.

Le président russe Vladimir Poutine a beau se faire photographier, par ses sbires, embrassant l’icône de la Très Sainte Mère de Dieu de Kazan, il a beau confesser ses crimes à son métropolite démoniaque, lequel est un ancien tortionnaire du KGB, s’en faire absoudre d’avoir tué des Millions d’âmes innocentes de Martyrs, pour retourner aussitôt en tuer des Millions d’autres, comme un chien retourne à son vomi, selon le dire des Saints Pères de l’Eglise, cela n’ôte rien au fait qu’il est un monstre sanguinaire, un monstrueux criminel de guerre, un possédé du Diable, qui a une légion de démons. Quant à son métropolite KGB, faux-prêtre prétendument Orthodoxe, c’est un repoussoir de l’Orthodoxie, qui donne une image déplorable, horrible, atroce, odieuse, insoutenable, et repoussante de l’Orthodoxie.

Tous les gouvernants, quels qu’ils soient, qui entrent en guerre, font la guerre, et bombardent des populations, quelles qu’elles soient, et pour quelque motif que ce soit, sont de grands criminels de guerre, qui doivent répondre de leurs actes tortionnaires, et être jugés par un Tribunal International, auquel l’on donne les moyens d’être punitivement efficace, ce dont l’on devrait avoir l’ambition, et, par après, avoir les moyens de son ambition, en sorte que ledit Tribunal devrait être efficient en matière de jugement des Crimes contre l’Humanité, et prendre des mesures punitives exemplaires, comme de les interner aux asiles psychiatriques.

Car la quasi-totalité du monde est gouverné par des tyrans, qui bombardent la planète, rendant bientôt la quasi-entièreté de la terre inhabitable, tuant, par millions d’êtres humains, les populations civiles, générant et fabriquant, par millions, réfugiés et personnes déplacées, condamnés à vivre leur vie entière sous des tentes, nouveaux sans-abris, que le sociologue Zygmunt Bauman dénomme dans ses livres les « infra-humains ».

De ces infra-humains font aussi partie les migrants enfermés à vie dans des camps de rétention, qui sont plus au vrai des camps de la honte, où ils mènent une vie horrible et indigne, et où ils sont privés du bien le plus précieux et du droit le plus fondamental de l’homme, c’est à savoir leur liberté.

Tous ces tyrans qui oppriment et tuent les peuples reçoivent, d’ores et déjà, et recevront, ultérieurement, de Dieu Sa double Justice : justice immanente, dès ici-bas sur terre, et Justice Divine, Là-Haut, dans les Cieux, et Eternelle.

C’est ainsi que le Président de la République Française, Jacques Chirac, qui bombarda le Kossovo, saint berceau de la Serbie et de l’Orthodoxie serbe, fut peu après les avoir bombardés, atteint de la maladie d’Elzheimer, qui le conduisit à la démence.

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Autre crime contre l’humanité est l’avortement, selon que l’enseignent l’Eglise et les Pères de l’Eglise, selon que l’ont redit le Pape, et Sainte Mère Térésa, dans ses divers ouvrages, dont son maître livre intitulé Là où est l’Amour, là est Dieu ( in Le Livre de Poche), et selon qu’une moniale Orthodoxe sur son lit de mort me fit promettre de l’écrire. A ce titre, il ne faut pas inscrire dans la Constitution le droit à l’avortement. Mais développer en cours au lycée l’éducation sexuelle, et aider les très jeunes filles et les jeunes filles, pour qu’elles ne soient pas surprises et prises au dépourvu par une grossesse non désirée.

S’agissant des HLBT (- homosexuels, lesbiennes, bisexuels, transsexuels ou transgenres) - , l’Eglise et les mêmes Pères de l’Eglise enseignent que leur état de vie, et leur union sont contre nature. Les enfants qu’ils adoptent peuvent éprouver et souffrir par la suite de graves séquelles et souffrances psychiques, du fait d’avoir été privés de leur parent de l’autre sexe. Ce pourquoi il ne convient pas que l’Eglise leur accorde le mariage ni le droit d’adopter des enfants, et qu’il ne convient pas non plus d’inscrire leurs prétendus droits dans la constitution ni d’adopter la constitutionnalisation de ces mêmes droits.

Touchant la triste condition faite en France à l’intelligentsia, aux intellectuels, aux érudits, aux écrivains, aux chercheurs, à leur paupérisation et à leur prolétarisation, au mieux, quand ils ne sont pas emprisonnés ou internés aux asiles pour leurs écrits jugés « non politiquement corrects », toutes gens de grande et de haute culture, qui sont les Lumières d’un peuple et d’une nation, et les phares d’une grande civilisation, faute desquels l’on sombre dans la Barbarie, telle qu’ a pu l’analyser le philosophe Michel Henry, dans son livre éponyme La Barbarie, le même Abbé Pierre, dans son même livre cité supra, J’aurais voulu être marin, missionnaire ou brigand, en écrit : «  Il n’est pas normal de sous-estimer la valeur des enseignants. Comment ne pas voir à l’évidence que c’est non seulement une injustice qui, à la longue, ne peut que paralyser gravement tout l’enseignement, de laisser tant de maîtres dans une condition si inférieure à celle que, à titre égal, l’on obtient dans les autres carrières. Jouer sans mesure sur les réserves de dévouement lorsqu’il s’agit d’une fonction, aussi essentielle que celle-là pour l’épanouissement de la nation, n’est-ce pas folie ? »

M. Gabriel Attal, le plus jeune premier ministre de l’Histoire de France, a déclaré qu’il « emmène avec lui l’école ». Il eût dû dire qu’il emmenait avec lui tout l’enseignement français, et toute l’Education Nationale, depuis l’école jusqu’au-delà de l’Université.

Mais de quelle école s’agit-il ?................................

Sans qu’il soit besoin de comparer la triste et misérable condition des professeurs et des Gens de Lettres en France à celle qu’ils peuvent connaître en Allemagne, en Suisse, dans les pays Nordiques, ou aux Etats-Unis, où ils ont un salaire n fois supérieur, et même de magnifiques logements et villas de fonction, les professeurs de France, dont le mérite intellectuel n’est jamais reconnu, sont totalement déclassés, prolétarisés, doivent assurer des conférences gratuites, ou totalement sous-payées, payer leurs transports, fût-ce à l’autre bout de la France, étant devenus de turbo-profs, se cassant le dos dans les trains, sans dédommagement ni réparation aucune, nommés au plus loin de leur famille, sans possibilité de rapprochement familial, et ne pouvant même plus rien enseigner, ni du tout faire cours, aucun enseignement ne pouvant plus passer la rampe ni atteindre les élèves, la démagogie ambiante régnant, et l’administration des écoles, des collèges et des lycées ayant peur des parents d’élèves, et, de là, donnant toujours tort aux professeurs et leur interdisant de punir. Or, faute de discipline, ainsi que j’ai pu le constater expérimentalement, durant mes trois courtes années d’enseignement en collèges et en lycée, il est impossible d’enseigner, et de transmettre un savoir…………………..

Les IPR : Ns ne cherchons pas des gens qui savent,

..

De là qu’il devient de plus en plus difficile de recruter de professeurs, et surtout de bons professeurs, qui se reconvertissent ailleurs, et que les professeurs restants ont, pour la moitié d’entre eux, peur de leurs élèves, dont le comportement en classe est indescriptible et inqualifiable, qui attendent les professeurs sur les parkings avec des chaînes pour les tabasser, sortent leurs couteaux dans les couloirs pour menacer et terroriser les élèves, sur lesquels ils exercent leur harcèlement moral, violent les filles dans les toilettes, viennent armés en cours, et finissent par tuer leurs professeurs.

Oui, lorsque la violence, une violence sans frein ni mesure, et lorsque l’impossibilité d’enseigner, que l’impossibilité de la transmission d’un savoir, et a fortiori, d’un savoir éclairé, règne à l’école, de quelle école, de quel enseignement français peut-on encore parler ?

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Monsieur le Président, vous avez dit qu’il faut rétablir le mérite, et donc en revenir à la méritocratie. L’on nous parle également d’exception culturelle française. Mais où est la méritocratie ? Où se situe celle-ci ? ? Et où est l’exception culturelle française ? Où se situe celle-là ? Pour ne prendre qu’un seul exemple, c’est à savoir le mien, puisque je le connais bien, par expérience. Si une femme, qui s’est épuisée toute sa scolarité durant, à parcourir un parcours d’excellence, qui s’est épuisée, après deux ans de Classes Préparatoires, à intégrer l’ENS ( Ecole Normale Supérieure), fleuron des Grandes Ecoles Françaises, et berceau de l’intelligentsia française, au point d’en contracter une maladie pulmonaire mortelle, miraculeusement guérie par un Saint, qui s’est épuisée dans ses études pour, comme l’on dit familièrement, « avoir bac plus treize » ( baccalauréat plus treize ans d’études supplémentaires », une femme, qui est aussi une poétesse, qui eût due être promue poétesse nationale, au vu de son oeuvre, unique dans l’histoire de la littérature et de la poésie mondiale, auteure d’une épopée religieuse de milliers de vers en alexandrins, œuvre pour laquelle non seulement elle n’a reçu aucune reconnaissance étatique, - cette œuvre ayant été sciemment occultée, et passée sous silence général, par une sorte de loi de l’omerta politicienne et de désinformation généralisée des médias, œuvre qu’il ne lui a été donné de publier qu’à compte d’auteur, pour qu’elle soit par après entièrement pilonnée, - mais qu’elle a dû même effacer, comme on efface ses traces dans la neige, pour cause de répression et de persécution étatique, en ayant été déportée aux asiles et jetée, enfermée, dans le grand renfermement, en cellule d’isolement, cette femme, en pleine possession de toutes ses facultés et de tous ses moyens intellectuels, parfaitement saine d’esprit, et en pleine santé mentale, nonobstant décrétée par les psychiatres internistes et aliénistes d’Etat, lui ayant forgé de toutes pièces un dossier psychiatrique entièrement, et de part en part mensonger, et tous ses écrits taxés par ces mêmes psychiatres d’Etat de « diarrhée verbale », pour dissuader quiconque de les lire, si cette femme, cette écrivaine engagée, cette poétesse, doublée d’une mère, qui s’est épuisée à attendre dix-sept enfants pour réussir à mettre au monde neuf enfants, qui s’est épuisée à en élever sept, ses journées de travail interminables s’achevant souvent fort avant dans la nuit, si cette femme, si cette mère, s’entend dire au jour de sa retraite : «  Vous n’avez pas travaillé. Vous ne pouvez prétendre qu’à une pension de retraite de 330 euros par moi », - ses cinq années d’Ecole (Normale Supérieure) n’ayant pas même été comptabilisées dans le calcul de cette retraite tellement indécente, si indigne, si misérable, et digne des « Misérables de Victor Hugo », retraite de la honte, ne lui permettant aucunement de vivre, non plus que de se nourrir correctement, ni, a fortiori, d’acheter les livres dont elle a besoin pour travailler à ses œuvres, et pour œuvrer à son art, où est, dites-moi, la reconnaissance due au mérite ? Où est la méritocratie française ? Et où est donc l’exception culturelle française ? Parole de femme.


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La contre-culture punk,

Les jeunes,

……..L’Abbé Pierre dénonce le fléau de l’alcoolisme………………………

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Que j’ai été persécutée par le gouvernement français depuis mon entrée à l’Ecole Normale Supérieure, mon parcours de vie, tel que brièvement exposé à l’en-tête de cette Lettre, et qui fut, toute modestie mise à part, un parcours d’Excellence, suffit à le montrer.

J’en demande réparation et prestations compensatoires. Je demande ma réhabilitation. Je demande la destruction de mon dossier psychiatrique, forgé de toutes pièces, et de pièces mensongères, qui fait mensongèrement de moi une « folle psychotique ». Et qui décrète tous mes écrits « Diarrhée verbale », pour dissuader quiconque de les lire. Quand bien même, en tant que Poétesse, j’ai écrit Ballade des Ames, épopée religieuse de milliers de vers en alexandrins, occultée parce que considérée comme politiquement gênante.

Je demande, qu’à titre de réparations et de prestations compensatoires, l’Etat me donne la somme d’un Million trois cent mille euros, prix actuel de vente de ma maison, ce prix m’ayant été une première fois versé par les assurances au titre de prestations compensatoires pour la mort de mon premier époux Père Patric, et de ma fille Photinie, le chauffeur, également défunt, ayant été Michel Aubry, neveu de Mme Martine Aubry , Ministre du Travail. Les assurances ayant estimé à ce prix dérisoire le prix du sang de deux Vies inestimables, - d’une perte incommensurable et irréparable pour l’Orthodoxie Française, - la Vie de mon époux Père Patric, et la Vie de ma fille Photinie, dont je demeure à tout jamais inconsolable. De fait, acculée à la ruine par les trente mille euros d’astreintes auxquelles m’a condamnée l’Etat pour une extension de la maison qu’il m’a contrainte de démolir – soit une démolition d’un tiers de ma maison -, et ruinée également par l’octroi dérisoire d’une pension de retraite de trois cents trente euros par mois (330 euros), je suis contrainte de vendre ma maison. Or, j’avais fait le vœu pieux de faire de cette maison un Monastère. Vœu dont j’avais fait part par Lettres aux autorités politiques avant la démolition d’icelle, lesquelles autorités n’en ont tenu aucun compte et ont procédé à la démolition d’un lieu sacré par les reliques qui s’y trouvent. Ainsi donc, et parce que je ne peux pas déshériter mes six enfants vivants, dont certains sont pauvres, je demande que l’Etat me rachète ma maison, ce qui est dire qu’il me redonne l’argent du prix que vaut cette maison, afin que je puisse en faire don à l’Eglise Orthodoxe Française, et que ladite Eglise fasse de ma maison un Monastère mixte, sous la direction spirituelle d’une Femme, comme il se fit en la magnificente Abbaye Royale de Fontevrault (Fontevraud). Les Starsty russes – pluriel de Starets – disant qu’un Monastère se choisit d’après la magnificente beauté du bois de forêt – en l’occurrence le bois de pinède- qui l’entoure. Ce qui fut également le sentiment des Anciens Grecs, qui établirent leurs temples sacrés dans les écrins de verdure de sites extraordinairement admirables, jugés sites d’exception.

Touchant les héritages, je demande que le gouvernement change la loi sur les héritages, laquelle est très injuste et très inégalitaire en France, et à cette fin d’ égaliser les droits d’héritages entre les héritiers. En effet, de l’immeuble de mon père, de sa boulangerie, et de ses boutiques, dont un restaurant, le tout sis dans le Marais à Paris, et estimé à largement plus de dix Millions d’euros, lots partagés entre mes quatre sœurs, dont ma plus jeune sœur handicapée, infirme moteur et cérébrale, je n’ai eu droit à strictement rien, étant sortie de la succession lors de mon veuvage, lorsqu’ayant injustement radiée de l’Education Nationale, je me retrouvai veuve, avec trois de mes enfants ayant survécu, à la rue. Car, à l’époque, pour me sortir de la rue, mon père me donna un petit appartement en banlieue, qui, à l’époque, ne valait pas grand-chose. Cependant qu’à Paris, les prix ont exposé, et que mes sœurs ont hérité désormais exponentiellement plus que moi. Et ce, alors qu’elles ont un statut social élevé, et de hautes situations, étant médecins des hôpitaux ou du privé, ou professeur de droit à l’université, avec peu d’enfants à charge.

Je demande aussi que cette nouvelle loi, juste, sur les héritages, soit rétroactive.

Je demande également que la notion, extrêmement injuste, de prescription, soit supprimée de la justice française, en sorte que les victimes, fût-ce bien des années après les faits, cependant toujours demander et obtenir justice et réparations.

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Que mon Eglise Orthodoxe Française, à laquelle j’appartiens, a été, est, et demeure persécutée en ma personne, cela va sans dire. Les faits parlent d’eux-mêmes. En réparations de quoi, je demande qu’en lieu et place de la persécuter, l’Etat protège la dite Eglise Orthodoxe Française. Mon Eglise ne s’alignant pas sur la ligne politique des Puissants de ce monde, dont sont Poutine, pour les raisons susdites, et le Pape, avec la théologie et la dogmatique erronées duquel nous ne sommes pas en accord, et n’étant dès lors pas oecuménistes, nous sommes persécutés : Nous ne trouvons pas d’éditeurs pour nos ouvrages majeurs, fussent-ils émanés des plus éminents chercheurs du CNRS et autres érudits et brillants Gens de Lettres, la majeure partie d’entre les éditeurs refusant de nous éditer, ni de diffuseurs, si d’aventure il s’en trouve un pour nous éditer, de là qu’aussitôt vilipendé et boycotté par la presse officielle. En France, les rayons « Orthodoxie » des librairies sont vides, pour ce que boycottés. Lorsque par miracle nous sommes tant soit peu édités, les librairies, souvent d’obédience catholique, mettent nos ouvrages dans « l’enfer des bibliothèques », ce qui est dire tout en haut ou tout en bas des rayonnages de livres, où nul, ou presque ne peut nous prouver.

L’Eglise Orthodoxe Française ne parvient pas non plus à obtenir une église avec pignon sur rue. Car, inexplicablement et injustement, En France, une église non catholique qui veut obtenir une église doit passer par l’Archevêché catholique. Qui, bien sûr, et bien entendu, s’empresse de la lui refuser, si ladite église n’est pas oecuméniste, ce qui est dire si elle ne partage pas la ligne théologique, dogmatique, et politique du Pape et des Puissants de ce monde. C’est ainsi que l’Eglise Orthodoxe Française ne dispose, à Paris, que d’une minuscule chapelle, sise au premier étage d’un immeuble, au 30 Boulevard Sébastopol, Paris Ier. Cette chapelle, ne comprenant ni salle d’eau, ni cuisine, et dont les murs aux fenêtres aveugles donnent sur cour, avec un voisinage extrêmement intolérant et agressif, ne supportant pas les exhalaisons d’encens ni la beauté ineffable des chants orthodoxes, lançant sur nos enfants de l’eau et de l’huile bouillantes par lesdites fenêtres, ce local rudimentaire, donc, nous étant alloué au prix mensuel exorbitant de mille euros, que les fidèles, membres pauvres d’une communauté restreinte, peinent infiniment à payer. Cependant que les oecuménistes se voient distribuer par l’Archevêché catholique églises gratuites et gracieusement concédées et monastères à volonté.

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Acte écrit de ma main,

au nom de mon Père Spirituel Saint Ambroise de Paris,

de mon défunt époux Père Patric, et des Saints dont les reliques sont en ce lieu,


samedi 6 janvier 2024

Seconde Lettre Ouverte au Président de la République.

 

A Monsieur Emmanuel Macron,

Président de la République Française.


Monsieur le Président,


Permettez-moi, en cette seconde lettre ouverte à vous adressée, de revenir ici vous soumettre avec déférence quelques nouvelles requêtes et propos spirituels, mais, auparavant, de vous remercier aussi humblement, vivement, et chaleureusement qu’il se puisse, pour avoir pris la peine de faire répondre à ma première lettre du mois de novembre par votre cabinet et bureau dédié, et, plus encore et surtout, pour les nouvelles mesures que vous venez de prendre à cet égard, bien qu’il serait démesurément orgueilleux, présomptueux, et outrecuidant de croire que ma lettre précédemment adressée à vous puisse être pour grand-chose dans ces nouvelles mesures de votre ligne politique prises en faveur des S.D.F. et des Migrants torturés par le froid, et en mourant, et qu’il faille plus plausiblement imputer ce miracle inouï de votre subit accès de grande générosité magnanime envers ces mêmes S.D.F. et ces mêmes Migrants au travail incessant et acharné des diverses Associations de Bienfaisance et Humanitaires, - au premier rang desquelles il faut citer celle des Sauveteurs en Mer Méditerranée, ainsi qu’en a été d’avis et que vous l’a exprimé le Pape lors de son allocution au stade-vélodrome de Marseille, lesquelles toutes Associations oeuvrent sacrificiellement, et avec le plus grand désintérêt, à la survie, au mieux-être et au bien des plus pauvres des pauvres, nécessiteux, indigents, miséreux, vagabonds, quart-mondistes, Sans-Abris, S.D.F. et Migrants, tous Grands-Souffrants, - et des plus démunis -, votre générosité nouvelle donc, qui vient tout récemment de retirer de la rue les enfants Sans-Abri, vivant à la rue, et dormant dans la rue, par des froids torturants et mortels de moins 10 degrés Celsius, avec leurs familles, pour les mettre à dormir, au chaud, dans les écoles ; votre générosité, infléchissant nouvellement votre ligne de conduite et de politique, qui vient également de débloquer des fonds importants, et la somme conséquente de 120 Millions d’euros pour les S.D.F. et les Migrants, dormant à la rue, sous la tente, ou même, pour les plus pauvres d’entre eux, sans tente aucune, jusqu’à ce que mort s’ensuive. Cependant, l’on attendrait encore une enveloppe historique de fonds beaucoup plus conséquents, qui constituerait un apax, - un fait unique- jamais vu dans l’Histoire de France.

Que les Migrants sont de Grands-Souffrants, la littérature qui leur est consacrée le montre assez, ainsi que le dépeint, à ne prendre que ce seul exemple, l’auteur Laurent Godé dans son livre Eldorado.. De même que le grand et beau film : « Moi, Capitaine ». Ces Migrants ont fui les bombes des guerres, la sécheresse, la famine, ou le changement climatique, rendant leur terre, leur pays ou leur contrée inhabitable. Ils ont eu à affronter, est-il retracé dans ce film, en un longue périple interminable pour venir à pied et en pirogue d’Afrique jusqu’en Europe, les mille dangers d’une route périlleuse jusqu’à la torture et à la mort. Pour ne trouver que le non-accueil, la misère, ou l’internement en camps de rétention concentrationnaires d’une riche Europe, égoïste, froide, individualiste, indifférente, abandonnienne, non serviable, non solidaire, raciste, et athée, qui refuse de les assister et de les secourir, alors que vieillissante, et sans plus d’enfants, elle a encore besoin de leur main d’œuvre précieuse……………………………………………………….

La loi sur l’immigration, loi de la honte……………………………………………………………………………….

A l’heure de la dénatalité française, qualifié par les sociologues spécialistes de la famille d’ « hiver démographique », et du sinistre vieillissement d’une population européenne, où l’on n’a plus dans la rue la joie de croiser et de voir femmes enceintes, bébés, ni enfants, mais juste des jeunes punks et « paumés », des adultes, et des seniors vieillissants, qui cachent et dissimulent aux EPHAD – maisons de retraite - une foule de vieillards dont ils ont honte, en lieu et place de les garder à domicile, de les respecter et de les vénérer – car les jeunes n’ont plus aucun respect pour les Anciens, contrairement à l’enseignement des Pères, dont Saint Benoît, qui rappelle en sa Règle : «  Il faut vénérer les vieillards » ; ces Anciens qui sont seuls en mesure de transmettre à leurs petits-enfants la Tradition et les valeurs morales, sans lesquelles une société se barbarise et se meurt ; ces grands-parents dont l’Abbé Pierre, en son même livre, J’aurais voulu être marin, missionnaire ou brigand, écrit que si leurs petits-enfants sont coupés d’eux, ces enfants sont comme des arbres sans racines et ne peuvent grandir ni croître harmonieusement - ; à cette heure triste jusqu’au sinistre donc, seuls les immigrés et les migrants ont une natalité dynamique, au plus grand mépris de leur misère, ce en quoi ils ont raison, se confiant à la Providence, allégoriquement représentée dans nos campagnes par la cigogne, apportant en son bec au nouveau-né le baluchon de tout ce dont il aura besoin dans sa vie pour subsister sans manquer de rien. Car le Christ dit : «  Je vous ai envoyés… Et vous n’avez manqué de rien. » Dans les Indes lointaines, les pauvres disent qu’il leur faut avoir huit enfants au moins, pour qu’ils aident plus tard matériellement leurs parents, par leurs dons d’argent, chaque enfant donnant un peu, pour que les parents aient, à la fin, un revenu substantiel, et en sorte qu’il y ait l’un de leurs enfants au moins pour s’occuper d’eux dans leur vieillesse. Ils savent aussi que les enfants sont toute la joie, et la richesse, du pauvre et du prolétaire, prolétaire venant étymologiquement du mot latin « proles », qui signifie prolifique en enfants.

En cette heure donc de la dénatalité européenne et française et de ce que les sociologues de la famille dénomment « l’hiver de la natalité française », il convient de redorer le blason des Mères et de la maternité………………………………………………

Qu’il convient de recevoir et d’accueillir les Migrants, cela est encore stipulé dans l’Evangile, comme le rappelle Saint Benoît en sa Règle : «  Tous les hôtes qui arrivent seront reçus comme le Christ, car Il (le Christ) dira un jour (au Jour du Jugement Dernier, à son Divin Tribunal : « J’ai été votre hôte, et vous m’avez reçu . » Ou bien : « Allez-vous en, je ne vous connais pas…Car j’ai été étranger, et vous ne m’avez pas reçu. » Et : «  Le Christ ne fait plus acception de personne.. Il n’y a plus en Christ esclave ni maître, Juif ni Grec… ». A quoi Saint Benoît ajoute en sa Règle – Cf Règle de Saint Benoît, Editions Desclée de Brouwer, citée supra-, au chapitre 53 Des hôtes à recevoir :

1 Tous les hôtes qui arrivent seront reçus comme le Christ. Car Il dira un jour ( - au Jour redoutable du Jugement, à don Divin Tribunal du Jugement Dernier - ) :

« J’ai été votre hôte, et vous ne m’avez pas reçu. »

2 A tous on rendra les égards qui leur reviennent, surtout aux frères dans la Foi et aux pèlerins.

3 Dès qu’un hôte sera annoncé, le supérieur ou des frères iront à sa rencontre, avec l’empressement requis par la charité.

4 Avant tout, ils prieront ensemble, puis se donneront le baiser de paix. »

Au nom du Christ, il faut, du reste, supprimer la loi sur les signes injurieusement et aberramment dits signes « ostentatoires » de religion, interdisant diaboliquement d’arborer publiquement sa croix. Car les Chrétiens ne sauraient jamais se départir de leur Croix, signe de la Victoire du Christ sur la Mort ; Croix qui éloigne aussi les Puissances adverses et les en protège de leurs méfaits, de leurs machinations perverses, et de leurs attaques maléfiques, pour ce que le Diable et ses légions de démons redoutent la puissance de la Croix.

Il faut, donc, dans le Christ, et pour le Christ, - et j’aimerais vous inciter à le faire, s’il était en mon pouvoir de vous y inciter, - il faut continuer l’œuvre immense de Sainte Térésa de Calcutta, et du Saint Abbé Pierre, personnalité préférée des Français, dont le film : « L’Abbé Pierre, une vie de combats », grand film, jouxtant l’admirable, et confinant au sublime, retrace si fidèlement et si magnifiquement la vie, telle qu’il la décrit en son livre admirable : J’aurais voulu être marin, missionnaire ou brigand.

Car, récemment encore, selon une directrice de la Croix-Rouge, sainte laïque de mes amies, les subsides, subventions et crédits accordés à l’Aide Alimentaire n’ont cessé de diminuer, et les rayonnages des Epiceries Solidaires sont vides, ou quasi. Les Restaurants du Cœur, devant faire face à un afflux considérable de demandes en constante augmentation, du fait de la Nouvelle Pauvreté qui règne actuellement en France, sont contraints, scandaleusement, de refuser de nourrir des milliers de bouches affamées.

Et où est la soupe populaire d’antan et de jadis ? - Seule et unique source de vitamines et seul plat chaud des pauvres ?

Mais, dans le même temps, donner, dans le meilleur des cas, une soupe chaude et une chocolatine rassie, d’entre les invendus d’une boulangerie, en quoi, et de quoi cela servirait-il aux indigents, aux nécessiteux, aux S.D.F. et aux Migrants à la rue, pour leur éviter et les empêcher de mourir de froid ?

C’est donc insuffisant. Ce qu’il faut aux plus pauvres des pauvres, ce n’est pas la rue ; ce sont des abris.

Non seulement il faut les laisser dormir au chaud dans le métro, - où il faut remettre tous les bans, sadiquement et perversement enlevés pour les empêcher d’y dormir -, les laisser dormir au chaud, donc, dans les écoles, les collèges, les lycées, et les gymnases, mais, à l’imitation des pays nordiques dont les gouvernements leur font construire des chalets pour les protéger du froid, il faut leur bâtir des abris, des refuges, des centres d’hébergement, tant d’urgence que pérennes, et des logements sociaux.

Car il faut également cesser, comme étant la seule solution trouvée par le gouvernement, solution qui s’apparente plutôt à une solution finale et létale, qui cause la mort des internés, il faut cesser d’interner les pauvres en asile psychiatrique, et de psychiatriser la pauvreté, qui n’est en rien une maladie psychiatrique, si l’on agit assez tôt pour sortir les pauvres de la rue, et lorsqu’ils sont encore en début de rue. Car, à trop tarder, il devient trop tard, car, de fait la dureté insoutenable est le prélude d’une descente aux Enfers dont l’horreur rend fou.

Mais aux asiles, les internés sont privés de leur bien le plus précieux, la liberté, et ils sont torturés chimiquement, par des camisoles de force chimiques, ou autres procédés de torture, les asiles en France étant des lieux de torture et de non-droit, comme le stipulent clairement, crânement, cyniquement, et sans honte les affiches du règlement intérieur qui y sont placardés sur les murs.

Touchant aux asiles, il faut supprimer en France l’internement abusif. Car contrairement à ce qui se passe en Angleterre, où la loi de l’Habeas corpus, - qui signifie, en latin, « Sois maître de ton corps », lequel s’interprète comme l’énoncé d’un droit fondamental à disposer de son corps, et désigne le principe général de la liberté individuelle en régime démocratique, c’est-à-dire la libre disposition par l’individu – le citoyen – de sa personne et de ses biens, loi et droit de l’Habeas corpus promulgué en 1679, y empêche depuis des siècles – le dix-septième siècle en l’occurrence – de jeter aux prisons et aux asiles, ce qui est dire d’emprisonner et d’interner selon les règles du pur arbitraire, règne la détention arbitraire en France, où il est permis d’interner à loisir, et pour le dire vulgairement, d’interner à gogo, selon que cela vous chante, qui bon vous semble. Comme ce fut mon cas, moi qui fus trois fois quarante jours, dont cinq jours à l’isolement, en cellule d’isolement, et une cinquième fois trois jours. L’Abbé Pierre, qui gênait les hommes politiques, qu’il arrangeait de le faire passer pour fou, fut lui-même longuement interné, aux jours, dit-il, qui furent les pires de sa vie.

Il faut supprimer aux asiles psychiatriques la cellule d’isolement, chambre de torture, hautement traumatisante, et cauchemardesque, dont les chercheurs américains ont démontré qu’au-delà de cinq jours l’interné pouvait y devenir fou. Cette suppression de la barbare cellule d’isolement, inadmissible en démocratie, que nul, ni nulle association n’a jamais pu obtenir au Tribunal International de la Cour Internationale de Justice de La Haye.

Ce même Abbé Pierre, soit dit en passant, qui après avoir, au péril de sa vie, longuement, et à maintes reprises, sous la neige, par des cols de montagnes, en altitude impraticable, fait passer des Juifs en Suisse, pour leur sauver la vie, et ayant, comme par don de prophétie, semblé voir à l’avance ce qu’il en serait des Juifs à l’heure où se déroule, sous tant de yeux indifférents, appuyé par les Etats-Unis d’Amérique, du fait de gouvernants devenus criminels de guerre, l’atroce génocide Palestinien qu’ils accomplissent criminellement, ce même Abbé Pierre, donc, en écrivait ibidem – au même livre cité supra – J’aurais voulu devenir marin, missionnaire ou brigand - : « Après avoir risqué nos vies pour sauver des Juifs durant la guerre, après avoir eu tant de sympathie pour Israël, je constate qu’après la constitution de leur Etat, les Juifs, de victimes sont devenus bourreaux. »

La guerre menée par Israël en Palestine est plus au vrai un génocide. A ce jour les Israéliens ont fait 25 500 morts Palestiniens. Vingt-cinq mille cinq cents morts. Peut-on se rendre compte de ce qu’ un tel chiffre, aussi exorbitant, peut recouvrir de deuils, malheurs, de souffrances, d’horreur humaines ?

Un bombardé disait : «  Ils parlent de Justice, de Droits Fondamentaux, et de Droits de l’Homme, mais où sont les Droits des Peuples Opprimés et Bombardés ? »

Quant à la guerre que mène la Russie contre l’Ukraine, elle est non moins atroce, qui tue tous les jeunes gens de l’Ukraine, ne laissant plus, sur son sol dévasté, que des mères éplorées et dépressives à vie, des veuves folles de douleur, couchées une vie durant par le désespoir, et des orphelins privés de toute protection et détruits à vie. Guerre d’autant plus atroce qu’il s’agit d’une fratricide guerre civile, entre frères dans le Christ de même religion Orthodoxe, de même ethnie et de même race.

Que tout soit fait pour qu’elle cesse au plus vite, et que l’Ukraine entre, par après, dans l’Union Européenne.

Prions pour le monde.

Le président russe Vladimir Poutine a beau se faire photographier, par ses sbires, embrassant l’icône de la Très Sainte Mère de Dieu de Kazan, il a beau confesser ses crimes à son métropolite démoniaque, lequel est un ancien tortionnaire du KGB, s’en faire absoudre d’avoir tué des Millions d’âmes innocentes de Martyrs, pour retourner aussitôt en tuer des Millions d’autres, comme un chien retourne à son vomi, selon le dire des Saints Pères de l’Eglise, cela n’ôte rien au fait qu’il est un monstre sanguinaire, un monstrueux criminel de guerre, un possédé du Diable, qui a une légion de démons. Quant à son métropolite KGB, faux-prêtre prétendument Orthodoxe, c’est un repoussoir de l’Orthodoxie, qui donne une image déplorable, horrible, atroce, odieuse, insoutenable, et repoussante de l’Orthodoxie.

Tous les gouvernants, quels qu’ils soient, qui entrent en guerre, font la guerre, et bombardent des populations, quelles qu’elles soient, et pour quelque motif que ce soit, sont de grands criminels de guerre, qui doivent répondre de leurs actes tortionnaires, et être jugés par un Tribunal International, auquel l’on donne les moyens d’être punitivement efficace, ce dont l’on devrait avoir l’ambition, et, par après, avoir les moyens de son ambition, en sorte que ledit Tribunal devrait être efficient en matière de jugement des Crimes contre l’Humanité, et prendre des mesures punitives exemplaires, comme de les interner aux asiles psychiatriques.

Car la quasi-totalité du monde est gouverné par des tyrans, qui bombardent la planète, rendant bientôt la quasi-entièreté de la terre inhabitable, tuant, par millions d’êtres humains, les populations civiles, générant et fabriquant, par millions, réfugiés et personnes déplacées, condamnés à vivre leur vie entière sous des tentes, nouveaux sans-abris, que le sociologue Zygmunt Bauman dénomme dans ses livres les « infra-humains ».

De ces infra-humains font aussi partie les migrants enfermés à vie dans des camps de rétention, qui sont plus au vrai des camps de la honte, où ils mènent une vie horrible et indigne, et où ils sont privés du bien le plus précieux et du droit le plus fondamental de l’homme, c’est à savoir leur liberté.

Tous ces tyrans qui oppriment et tuent les peuples reçoivent, d’ores et déjà, et recevront, ultérieurement, de Dieu Sa double Justice : justice immanente, dès ici-bas sur terre, et Justice Divine, Là-Haut, dans les Cieux, et Eternelle.

C’est ainsi que le Président de la République Française, Jacques Chirac, qui bombarda le Kossovo, saint berceau de la Serbie et de l’Orthodoxie serbe, fut peu après les avoir bombardés, atteint de la maladie d’Elzheimer, qui le conduisit à la démence.

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Autre crime contre l’humanité est l’avortement, selon que l’enseignent l’Eglise et les Pères de l’Eglise, selon que l’ont redit le Pape, et Sainte Mère Térésa, dans ses divers ouvrages, dont son maître livre intitulé Là où est l’Amour, là est Dieu ( in Le Livre de Poche), et selon qu’une moniale Orthodoxe sur son lit de mort me fit promettre de l’écrire. A ce titre, il ne faut pas inscrire dans la Constitution le droit à l’avortement. Mais développer en cours au lycée l’éducation sexuelle, et aider les très jeunes filles et les jeunes filles, pour qu’elles ne soient pas surprises et prises au dépourvu par une grossesse non désirée.

S’agissant des HLBT (- homosexuels, lesbiennes, bisexuels, transsexuels ou transgenres) - , l’Eglise et les mêmes Pères de l’Eglise enseignent que leur état de vie, et leur union sont contre nature. Les enfants qu’ils adoptent peuvent éprouver et souffrir par la suite de graves séquelles et souffrances psychiques, du fait d’avoir été privés de leur parent de l’autre sexe. Ce pourquoi il ne convient pas que l’Eglise leur accorde le mariage ni le droit d’adopter des enfants, et qu’il ne convient pas non plus d’inscrire leurs prétendus droits dans la constitution ni d’adopter la constitutionnalisation de ces mêmes droits.

Touchant la triste condition faite en France à l’intelligentsia, aux intellectuels, aux érudits, aux écrivains, aux chercheurs, à leur paupérisation et à leur prolétarisation, au mieux, quand ils ne sont pas emprisonnés ou internés aux asiles pour leurs écrits jugés « non politiquement corrects », toutes gens de grande et de haute culture, qui sont les Lumières d’un peuple et d’une nation, et les phares d’une grande civilisation, faute desquels l’on sombre dans la Barbarie, telle qu’ a pu l’analyser le philosophe Michel Henry, dans son livre éponyme La Barbarie, le même Abbé Pierre, dans son même livre cité supra, J’aurais voulu être marin, missionnaire ou brigand, en écrit : «  Il n’est pas normal de sous-estimer la valeur des enseignants. Comment ne pas voir à l’évidence que c’est non seulement une injustice qui, à la longue, ne peut que paralyser gravement tout l’enseignement, de laisser tant de maîtres dans une condition si inférieure à celle que, à titre égal, l’on obtient dans les autres carrières. Jouer sans mesure sur les réserves de dévouement lorsqu’il s’agit d’une fonction, aussi essentielle que celle-là pour l’épanouissement de la nation, n’est-ce pas folie ? »

M. Gabriel Attal, le plus jeune premier ministre de l’Histoire de France, a déclaré qu’il « emmène avec lui l’école ». Il eût dû dire qu’il emmenait avec lui tout l’enseignement français, et toute l’Education Nationale, depuis l’école jusqu’au-delà de l’Université.

Mais de quelle école s’agit-il ?................................

Sans qu’il soit besoin de comparer la triste et misérable condition des professeurs et des Gens de Lettres en France à celle qu’ils peuvent connaître en Allemagne, en Suisse, dans les pays Nordiques, ou aux Etats-Unis, où ils ont un salaire n fois supérieur, et même de magnifiques logements et villas de fonction, les professeurs de France, dont le mérite intellectuel n’est jamais reconnu, sont totalement déclassés, prolétarisés, doivent assurer des conférences gratuites, ou totalement sous-payées, payer leurs transports, fût-ce à l’autre bout de la France, étant devenus de turbo-profs, se cassant le dos dans les trains, sans dédommagement ni réparation aucune, nommés au plus loin de leur famille, sans possibilité de rapprochement familial, et ne pouvant même plus rien enseigner, ni du tout faire cours, aucun enseignement ne pouvant plus passer la rampe ni atteindre les élèves, la démagogie ambiante régnant, et l’administration des écoles, des collèges et des lycées ayant peur des parents d’élèves, et, de là, donnant toujours tort aux professeurs et leur interdisant de punir. Or, faute de discipline, ainsi que j’ai pu le constater expérimentalement, durant mes trois courtes années d’enseignement en collèges et en lycée, il est impossible d’enseigner, et de transmettre un savoir…………………..

Les IPR : Ns ne cherchons pas des gens qui savent,

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De là qu’il devient de plus en plus difficile de recruter de professeurs, et surtout de bons professeurs, qui se reconvertissent ailleurs, et que les professeurs restants ont, pour la moitié d’entre eux, peur de leurs élèves, dont le comportement en classe est indescriptible et inqualifiable, qui attendent les professeurs sur les parkings avec des chaînes pour les tabasser, sortent leurs couteaux dans les couloirs pour menacer et terroriser les élèves, sur lesquels ils exercent leur harcèlement moral, violent les filles dans les toilettes, viennent armés en cours, et finissent par tuer leurs professeurs.

Oui, lorsque la violence, une violence sans frein ni mesure, et lorsque l’impossibilité d’enseigner, que l’impossibilité de la transmission d’un savoir, et a fortiori, d’un savoir éclairé, règne à l’école, de quelle école, de quel enseignement français peut-on encore parler ?

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Monsieur le Président, vous avez dit qu’il faut rétablir le mérite, et donc en revenir à la méritocratie. L’on nous parle également d’exception culturelle française. Mais où est la méritocratie ? Où se situe celle-ci ? ? Et où est l’exception culturelle française ? Où se situe celle-là ? Pour ne prendre qu’un seul exemple, c’est à savoir le mien, puisque je le connais bien, par expérience. Si une femme, qui s’est épuisée toute sa scolarité durant, à parcourir un parcours d’excellence, qui s’est épuisée, après deux ans de Classes Préparatoires, à intégrer l’ENS ( Ecole Normale Supérieure), fleuron des Grandes Ecoles Françaises, et berceau de l’intelligentsia française, au point d’en contracter une maladie pulmonaire mortelle, miraculeusement guérie par un Saint, qui s’est épuisée dans ses études pour, comme l’on dit familièrement, « avoir bac plus treize » ( baccalauréat plus treize ans d’études supplémentaires », une femme, qui est aussi une poétesse, qui eût due être promue poétesse nationale, au vu de son oeuvre, unique dans l’histoire de la littérature et de la poésie mondiale, auteure d’une épopée religieuse de milliers de vers en alexandrins, œuvre pour laquelle non seulement elle n’a reçu aucune reconnaissance étatique, - cette œuvre ayant été sciemment occultée, et passée sous silence général, par une sorte de loi de l’omerta politicienne et de désinformation généralisée des médias, œuvre qu’il ne lui a été donné de publier qu’à compte d’auteur, pour qu’elle soit par après entièrement pilonnée, - mais qu’elle a dû même effacer, comme on efface ses traces dans la neige, pour cause de répression et de persécution étatique, en ayant été déportée aux asiles et jetée, enfermée, dans le grand renfermement, en cellule d’isolement, cette femme, en pleine possession de toutes ses facultés et de tous ses moyens intellectuels, parfaitement saine d’esprit, et en pleine santé mentale, nonobstant décrétée par les psychiatres internistes et aliénistes d’Etat, lui ayant forgé de toutes pièces un dossier psychiatrique entièrement, et de part en part mensonger, et tous ses écrits taxés par ces mêmes psychiatres d’Etat de « diarrhée verbale », pour dissuader quiconque de les lire, si cette femme, cette écrivaine engagée, cette poétesse, doublée d’une mère, qui s’est épuisée à attendre dix-sept enfants pour réussir à mettre au monde neuf enfants, qui s’est épuisée à en élever sept, ses journées de travail interminables s’achevant souvent fort avant dans la nuit, si cette femme, si cette mère, s’entend dire au jour de sa retraite : «  Vous n’avez pas travaillé. Vous ne pouvez prétendre qu’à une pension de retraite de 330 euros par moi », - ses cinq années d’Ecole (Normale Supérieure) n’ayant pas même été comptabilisées dans le calcul de cette retraite tellement indécente, si indigne, si misérable, et digne des « Misérables de Victor Hugo », retraite de la honte, ne lui permettant aucunement de vivre, non plus que de se nourrir correctement, ni, a fortiori, d’acheter les livres dont elle a besoin pour travailler à ses œuvres, et pour œuvrer à son art, où est, dites-moi, la reconnaissance due au mérite ? Où est la méritocratie française ? Et où est donc l’exception culturelle française ? Parole de femme.


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La contre-culture punk,

Les jeunes,

……..L’Abbé Pierre dénonce le fléau de l’alcoolisme………………………

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Que j’ai été persécutée par le gouvernement français depuis mon entrée à l’Ecole Normale Supérieure, mon parcours de vie, tel que brièvement exposé à l’en-tête de cette Lettre, et qui fut, toute modestie mise à part, un parcours d’Excellence, suffit à le montrer.

J’en demande réparation et prestations compensatoires. Je demande ma réhabilitation. Je demande la destruction de mon dossier psychiatrique, forgé de toutes pièces, et de pièces mensongères, qui fait mensongèrement de moi une « folle psychotique ». Et qui décrète tous mes écrits « Diarrhée verbale », pour dissuader quiconque de les lire. Quand bien même, en tant que Poétesse, j’ai écrit Ballade des Ames, épopée religieuse de milliers de vers en alexandrins, occultée parce que considérée comme politiquement gênante.

Je demande, qu’à titre de réparations et de prestations compensatoires, l’Etat me donne la somme d’un Million trois cent mille euros, prix actuel de vente de ma maison, ce prix m’ayant été une première fois versé par les assurances au titre de prestations compensatoires pour la mort de mon premier époux Père Patric, et de ma fille Photinie, le chauffeur, également défunt, ayant été Michel Aubry, neveu de Mme Martine Aubry , Ministre du Travail. Les assurances ayant estimé à ce prix dérisoire le prix du sang de deux Vies inestimables, - d’une perte incommensurable et irréparable pour l’Orthodoxie Française, - la Vie de mon époux Père Patric, et la Vie de ma fille Photinie, dont je demeure à tout jamais inconsolable. De fait, acculée à la ruine par les trente mille euros d’astreintes auxquelles m’a condamnée l’Etat pour une extension de la maison qu’il m’a contrainte de démolir – soit une démolition d’un tiers de ma maison -, et ruinée également par l’octroi dérisoire d’une pension de retraite de trois cents trente euros par mois (330 euros), je suis contrainte de vendre ma maison. Or, j’avais fait le vœu pieux de faire de cette maison un Monastère. Vœu dont j’avais fait part par Lettres aux autorités politiques avant la démolition d’icelle, lesquelles autorités n’en ont tenu aucun compte et ont procédé à la démolition d’un lieu sacré par les reliques qui s’y trouvent. Ainsi donc, et parce que je ne peux pas déshériter mes six enfants vivants, dont certains sont pauvres, je demande que l’Etat me rachète ma maison, ce qui est dire qu’il me redonne l’argent du prix que vaut cette maison, afin que je puisse en faire don à l’Eglise Orthodoxe Française, et que ladite Eglise fasse de ma maison un Monastère mixte, sous la direction spirituelle d’une Femme, comme il se fit en la magnificente Abbaye Royale de Fontevrault (Fontevraud). Les Starsty russes – pluriel de Starets – disant qu’un Monastère se choisit d’après la magnificente beauté du bois de forêt – en l’occurrence le bois de pinède- qui l’entoure. Ce qui fut également le sentiment des Anciens Grecs, qui établirent leurs temples sacrés dans les écrins de verdure de sites extraordinairement admirables, jugés sites d’exception.

Touchant les héritages, je demande que le gouvernement change la loi sur les héritages, laquelle est très injuste et très inégalitaire en France, et à cette fin d’ égaliser les droits d’héritages entre les héritiers. En effet, de l’immeuble de mon père, de sa boulangerie, et de ses boutiques, dont un restaurant, le tout sis dans le Marais à Paris, et estimé à largement plus de dix Millions d’euros, lots partagés entre mes quatre sœurs, dont ma plus jeune sœur handicapée, infirme moteur et cérébrale, je n’ai eu droit à strictement rien, étant sortie de la succession lors de mon veuvage, lorsqu’ayant injustement radiée de l’Education Nationale, je me retrouvai veuve, avec trois de mes enfants ayant survécu, à la rue. Car, à l’époque, pour me sortir de la rue, mon père me donna un petit appartement en banlieue, qui, à l’époque, ne valait pas grand-chose. Cependant qu’à Paris, les prix ont exposé, et que mes sœurs ont hérité désormais exponentiellement plus que moi. Et ce, alors qu’elles ont un statut social élevé, et de hautes situations, étant médecins des hôpitaux ou du privé, ou professeur de droit à l’université, avec peu d’enfants à charge.

Je demande aussi que cette nouvelle loi, juste, sur les héritages, soit rétroactive.

Je demande également que la notion, extrêmement injuste, de prescription, soit supprimée de la justice française, en sorte que les victimes, fût-ce bien des années après les faits, cependant toujours demander et obtenir justice et réparations.

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Que mon Eglise Orthodoxe Française, à laquelle j’appartiens, a été, est, et demeure persécutée en ma personne, cela va sans dire. Les faits parlent d’eux-mêmes. En réparations de quoi, je demande qu’en lieu et place de la persécuter, l’Etat protège la dite Eglise Orthodoxe Française. Mon Eglise ne s’alignant pas sur la ligne politique des Puissants de ce monde, dont sont Poutine, pour les raisons susdites, et le Pape, avec la théologie et la dogmatique erronées duquel nous ne sommes pas en accord, et n’étant dès lors pas oecuménistes, nous sommes persécutés : Nous ne trouvons pas d’éditeurs pour nos ouvrages majeurs, fussent-ils émanés des plus éminents chercheurs du CNRS et autres érudits et brillants Gens de Lettres, la majeure partie d’entre les éditeurs refusant de nous éditer, ni de diffuseurs, si d’aventure il s’en trouve un pour nous éditer, de là qu’aussitôt vilipendé et boycotté par la presse officielle. En France, les rayons « Orthodoxie » des librairies sont vides, pour ce que boycottés. Lorsque par miracle nous sommes tant soit peu édités, les librairies, souvent d’obédience catholique, mettent nos ouvrages dans « l’enfer des bibliothèques », ce qui est dire tout en haut ou tout en bas des rayonnages de livres, où nul, ou presque ne peut nous prouver.

L’Eglise Orthodoxe Française ne parvient pas non plus à obtenir une église avec pignon sur rue. Car, inexplicablement et injustement, En France, une église non catholique qui veut obtenir une église doit passer par l’Archevêché catholique. Qui, bien sûr, et bien entendu, s’empresse de la lui refuser, si ladite église n’est pas oecuméniste, ce qui est dire si elle ne partage pas la ligne théologique, dogmatique, et politique du Pape et des Puissants de ce monde. C’est ainsi que l’Eglise Orthodoxe Française ne dispose, à Paris, que d’une minuscule chapelle, sise au premier étage d’un immeuble, au 30 Boulevard Sébastopol, Paris Ier. Cette chapelle, ne comprenant ni salle d’eau, ni cuisine, et dont les murs aux fenêtres aveugles donnent sur cour, avec un voisinage extrêmement intolérant et agressif, ne supportant pas les exhalaisons d’encens ni la beauté ineffable des chants orthodoxes, lançant sur nos enfants de l’eau et de l’huile bouillantes par lesdites fenêtres, ce local rudimentaire, donc, nous étant alloué au prix mensuel exorbitant de mille euros, que les fidèles, membres pauvres d’une communauté restreinte, peinent infiniment à payer. Cependant que les oecuménistes se voient distribuer par l’Archevêché catholique églises gratuites et gracieusement concédées et monastères à volonté.

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Acte écrit de ma main,

au nom de mon Père Spirituel Saint Ambroise de Paris,

de mon défunt époux Père Patric, et des Saints dont les reliques sont en ce lieu,

et au nom de Mgr Photios, Evêque de Lyon,

et Ermite de ce lieu.