vendredi 4 février 2011
La Lumière du Thabor n°37. Pâque au Saint Sépulcre.
PAQUE AU SAINT SEPULCRE
Je me souviens des merveilleuses et saintes histoires que feu mon père racontait quand j'étais enfant, surtout pendant les repas, au cours desquels lui seul prenait la parole. Nous, ses enfants, n'avions pas le droit de parler, car disait-il, les anges y assistaient et par respect pour eux, on gardait le silence. Je me souviens aussi du soin que l'on mettait à ramasser les miettes de pain qui tombaient à terre, afin de ne pas les piétiner, car elles étaient des choses bénies.
Parmi ces histoires, une m'impressionna beaucoup. J'en garde encore un souvenir vivant. Mon père avait vu à Jérusalem, le jour de la Pâque, la lumière de la Résurrection s'allumer miraculeusement. J'ai cru tout d'abord à un miracle donné par Dieu à tel moment. Plus tard, longtemps après, je devais apprendre de la bouche de plusieurs témoins que ce que mon père avait vu et m'avait raconté était un miracle permanent ; que chaque année notre patriarche pénétrait dans le Saint Sépulcre et que là, d'une manière merveilleuse et surnaturelle, il recevait le feu saint et sacré. On me dit aussi qu'une année le Patriarche orthodoxe avait été empêché par les autorités locales de pénétrer dans le Saint Sépulcre, le jour de la Pâque, et que ce jour-là le feu céleste ne descendit pas.
Mon âme est remplie de joie et de reconnaissance pour Dieu, quand je pense qu'à cause de notre fidélité à la foi révélée, par la grâce de Dieu qui en est la récompense, seule l'Egise Orthodoxe célèbre les saints mystères sur la pierre qui reçut le Corps Immaculé et Vivifiant du Seigneur Jésus-Christ notre Dieu, ressuscité d'entre les morts. Quel Mystère !... Que le Nom du Seigneur soit béni !...
Me trouvant, il y a quelques années, à Athènes, pendant la Grande Semaine, je rencontrai après Pâque une amie qui revenait de Jérusalem où elle avait assisté aux fêtes de la Résurrection. Elle me raconta tout ce qu'elle y avait vu et me remit une botte de trente-trois cierges, allumés au feu sacré. Je pourrais écrire ici son récit, mais je préfère laisser la parole à un autre témoin oculaire, digne de foi, dont je prononcerai le nom avec respect et vénération, le Père Philothéos de Paros.
«...13 Avril. Dès le matin du Grand et Saint Samedi, tous les pèlerins de toutes les races chrétiennes séjournant à Jérusalem -excepté les latins- la masse des indigènes grecs et arabes, affluent dans la vénérable Eglise de la Résurrection, pour y trouver une place à leur choix. D'heure en heure, la multitude devient plus dense ; tenter de fendre la foule n'est pas chose difficile mais impossible.
Dans l'immense Temple, tribunes et parterres sont remplis de pieux pèlerins et de curieux. Pas une des innombrables lampes n'est allumée, dans le Temple, dans le très Saint Sépulcre, dans aucune des églises de la Ville et, selon ce qu'on m'a dit, dans aucune des maisons particulières de Jérusalem et de la Palestine. La troupe, assez importante, fournie par le Gouvernement, entoure le Sépulcre, occupe les parties principales du Temple, afin de veiller à l'ordre.
Vers le milieu du jour, le Patriarche arrive avec tout son clergé, accompagné d'un évêque et d'un prêtre anglais, des consuls et des personnalités officielles. Le Patriarche et son clergé entrent dans le sanctuaire (ne pas confondre avec le Saint Sépulcre). Suivent le clergé des Arméniens et celui des autres nationalités. Les patriarches arménien, copte et syrien pénètrent également dans le sanctuaire, baisent la main droite de notre Patriarche, afin de prendre part à la cérémonie.
Un officier anglais (les Anglais à cette époque étaient les maîtres de la Palestine) a, depuis une heure, scellé la porte du Saint Sépulcre...
L'heure fixée étant arrivée -le Samedi Saint, vers le milieu du jour- le Patriarche, les évêques, les prêtres, les diacres, revêtus d e leurs ornements, quittent l'autel, précédés par les étendards et acclamés par la multitude. Tout à coup, en plein tumulte général, où se mêlent les acclamations et les applaudissements des Arabes indigènes, se fait entendre la très douce mélodie de nos chantres, chantant à l'unisson avec le clergé, le tropaire bien connu : «Ta Résurrection ô Christ Sauveur, les Anges la chantent dans les cieux, rends-nous dignes sur la terre de te chanter d'un coeur pur».
O combien profonde, combien intense, combien vivante est à ce moment-là l'émotion de l'immense multitude ! Il m'est impossible de décrire cet instant où il me sembla n'être plus sur la terre mais dans les cieux. O combien diffère la joie spirituelle de la joie du corps ! Autant que diffère la lumière de l'obscurité, l'âme du corps, le ciel de la terre !...
Le clergé fit en procession, trois fois, le tour du Sépulcre en chantant. La procession terminée, la scellée fut ôtée de la porte du Sépulcre Sacré. Le Patriarche se dévêtit de ses ornements pontificaux, ne garda que son stikarion (aube) et pénétra dans le Saint Sépulcre, non sans avoir été auparavant fouillé par les ecclésiastiques des autres nationalités, par l'officier anglais et par le gouverneur, et cela pour vérifier qu'il n'avait pas sur lui de quoi allumer du feu.
Il pénétra donc et à genoux, lut une prière demandant que la Lumière qui allait jaillir du Tombeau et qui serait distribuée, fût pour ceux qui la recevraient avec piété une source de grâces.
Le clergé, lui, après la procession, était revenu à l'autel. Un profond silence succéda aux acclamations qui s'étaient fait entendre dans l'immense Temple. Une tension inexprimable s'empara de toute la foule des pèlerins. Quelques instants passèrent et, tout à coup, une clameur, un cri puissant s'élevèrent jusqu'à toucher le ciel, capables de déchirer le voile du Temple, firent vibrer les coupoles et tendirent les nerfs. Du milieu de cette clameur, une voix douce se fit entendre : LA LUMIERE SACREE !
La voici, véritable ! Elle est transmise par le Patriarche, cette LUMIERE SACREE, dans des torches d'argent, à travers les ouvertures du ciborium. Par l'ouverture de droite, c'est une famille indigène orthodoxe qui la reçoit par privilège et qui la porte à l'autel d'où elle est distribuée à la multitude. Par l'ouverture de gauche, la reçoivent les Arméniens, les Coptes et les Syriens (Jacobites) qui à leur tour la portent dans leurs chapelles respectives qui se trouvent à l'intérieur du Temple et de là la distribuent à leurs peuples.
Les cloches sonnent à toute volée, les simandres retentissent, les cris d'allégresse de la multitude infinie saluent en liesse lea LUMIERE SACREE, instantanément transmise à toutes les parties du Temple, en haut, en bas, dans les coins les plus reculés. Toutes les veilleuses, toutes les lampes, tous les lustres, tous les cierges du Temple se trouvent allumés en un clin d'oeil. Tout le Temple, plongé il y a un instant dans l'obscurité totale, se transforme en une mer de lumière sans que personne puisse dire comment.
Quel miracle ! Quel prodige ! Quel étonnement ! Plus de neuf cent mille lumières éclairent maintenant le Temple. Tous ceux qui sont présents tiennent en main des cierges, certains en ont trente-trois, symbole des années du Christ, d'autres en portent douze, symbole des apôtres. Nombreux sont ceux qui font lécher leur visage par la flamme de leur cierge, la plongent dans leur poitrine, l'enferment dans leurs mains, sans jamais être brûlés par elle.
LePatriarche revient alors à l'autel et les choeurs entonnent le psaume : «Lève-toi, ô Dieu, et juge la terre...» Le peuple se disperse alors, chacun rentre chez soi, tenant en main les cierges allumés. Des fellahs orthodoxes, venus des villages environnants, prennent la Lumière sainte dans des lanternes et l'apportent en courant jusque dans leurs villages où les habitants se portent à leur rencontre et les reçoivent en les acclamant par leurs applaudissements. Les habitants de la ville se dispersent dans la cité, sautant de joie, faisant retentir leurs cymbales d'ovation et criant en arabe : «Que vive notre religion ! Que vive notre Patriarche ! Que vive notre Monastère ! Nulle autre religion n'est comparable à la nôtre !»
A partir de ce moment, toutes les lumières des églises de Jérusalem et des environs, jusque-là éteintes, s'allument...
Certains douteront, dit un autre témoin, de l'authenticité de la Lumière Sacrée, mais notre réponse est prête. Si de nombreux tombeaux de saints opèrent chaque jour des miracles, surtout le jour de leur fête, combien plus le Sépulcre très saint, où fut enfermé le Corps Théandrique (divino-humain) du Seigneur Dieu et Sauveur Jésus-Christ, ne fera-t-il pas jaillir la LUMIERE, juste en ce jour où ceux qui étaient dans les ténèbres et l'ombre de la mort, ont vu surgir la Grande Lumière, en ce jour où tout est «Inondé de Lumière, le ciel, la terre et l'enfer...» comme le chante notre Eglise ? Celui qui dit inopérante la Toute-Puissance de Dieu, celui qui croit que le tombeau porteur de Dieu est privé de la LUMIERE, que virent les apôtres et les femmes myrophores, pèche gravement. Nous supplions ceux qui croient, ceux qui chaque année voient jaillir la Sainte Lumière, de devenir ses prédicateurs et de rendre témoignage de ce miracle plus que grand...»
P.Philothéos Zervacos, Un Grand et Merveilleux Pèlerinage en Palestine, Athènes, 1959.
S.Shoina, Impressions de Pèlerinage au Saint Sépulcre, Biblioth.Athon. Fasc.314, 1962.
Je me souviens des merveilleuses et saintes histoires que feu mon père racontait quand j'étais enfant, surtout pendant les repas, au cours desquels lui seul prenait la parole. Nous, ses enfants, n'avions pas le droit de parler, car disait-il, les anges y assistaient et par respect pour eux, on gardait le silence. Je me souviens aussi du soin que l'on mettait à ramasser les miettes de pain qui tombaient à terre, afin de ne pas les piétiner, car elles étaient des choses bénies.
Parmi ces histoires, une m'impressionna beaucoup. J'en garde encore un souvenir vivant. Mon père avait vu à Jérusalem, le jour de la Pâque, la lumière de la Résurrection s'allumer miraculeusement. J'ai cru tout d'abord à un miracle donné par Dieu à tel moment. Plus tard, longtemps après, je devais apprendre de la bouche de plusieurs témoins que ce que mon père avait vu et m'avait raconté était un miracle permanent ; que chaque année notre patriarche pénétrait dans le Saint Sépulcre et que là, d'une manière merveilleuse et surnaturelle, il recevait le feu saint et sacré. On me dit aussi qu'une année le Patriarche orthodoxe avait été empêché par les autorités locales de pénétrer dans le Saint Sépulcre, le jour de la Pâque, et que ce jour-là le feu céleste ne descendit pas.
Mon âme est remplie de joie et de reconnaissance pour Dieu, quand je pense qu'à cause de notre fidélité à la foi révélée, par la grâce de Dieu qui en est la récompense, seule l'Egise Orthodoxe célèbre les saints mystères sur la pierre qui reçut le Corps Immaculé et Vivifiant du Seigneur Jésus-Christ notre Dieu, ressuscité d'entre les morts. Quel Mystère !... Que le Nom du Seigneur soit béni !...
Me trouvant, il y a quelques années, à Athènes, pendant la Grande Semaine, je rencontrai après Pâque une amie qui revenait de Jérusalem où elle avait assisté aux fêtes de la Résurrection. Elle me raconta tout ce qu'elle y avait vu et me remit une botte de trente-trois cierges, allumés au feu sacré. Je pourrais écrire ici son récit, mais je préfère laisser la parole à un autre témoin oculaire, digne de foi, dont je prononcerai le nom avec respect et vénération, le Père Philothéos de Paros.
«...13 Avril. Dès le matin du Grand et Saint Samedi, tous les pèlerins de toutes les races chrétiennes séjournant à Jérusalem -excepté les latins- la masse des indigènes grecs et arabes, affluent dans la vénérable Eglise de la Résurrection, pour y trouver une place à leur choix. D'heure en heure, la multitude devient plus dense ; tenter de fendre la foule n'est pas chose difficile mais impossible.
Dans l'immense Temple, tribunes et parterres sont remplis de pieux pèlerins et de curieux. Pas une des innombrables lampes n'est allumée, dans le Temple, dans le très Saint Sépulcre, dans aucune des églises de la Ville et, selon ce qu'on m'a dit, dans aucune des maisons particulières de Jérusalem et de la Palestine. La troupe, assez importante, fournie par le Gouvernement, entoure le Sépulcre, occupe les parties principales du Temple, afin de veiller à l'ordre.
Vers le milieu du jour, le Patriarche arrive avec tout son clergé, accompagné d'un évêque et d'un prêtre anglais, des consuls et des personnalités officielles. Le Patriarche et son clergé entrent dans le sanctuaire (ne pas confondre avec le Saint Sépulcre). Suivent le clergé des Arméniens et celui des autres nationalités. Les patriarches arménien, copte et syrien pénètrent également dans le sanctuaire, baisent la main droite de notre Patriarche, afin de prendre part à la cérémonie.
Un officier anglais (les Anglais à cette époque étaient les maîtres de la Palestine) a, depuis une heure, scellé la porte du Saint Sépulcre...
L'heure fixée étant arrivée -le Samedi Saint, vers le milieu du jour- le Patriarche, les évêques, les prêtres, les diacres, revêtus d e leurs ornements, quittent l'autel, précédés par les étendards et acclamés par la multitude. Tout à coup, en plein tumulte général, où se mêlent les acclamations et les applaudissements des Arabes indigènes, se fait entendre la très douce mélodie de nos chantres, chantant à l'unisson avec le clergé, le tropaire bien connu : «Ta Résurrection ô Christ Sauveur, les Anges la chantent dans les cieux, rends-nous dignes sur la terre de te chanter d'un coeur pur».
O combien profonde, combien intense, combien vivante est à ce moment-là l'émotion de l'immense multitude ! Il m'est impossible de décrire cet instant où il me sembla n'être plus sur la terre mais dans les cieux. O combien diffère la joie spirituelle de la joie du corps ! Autant que diffère la lumière de l'obscurité, l'âme du corps, le ciel de la terre !...
Le clergé fit en procession, trois fois, le tour du Sépulcre en chantant. La procession terminée, la scellée fut ôtée de la porte du Sépulcre Sacré. Le Patriarche se dévêtit de ses ornements pontificaux, ne garda que son stikarion (aube) et pénétra dans le Saint Sépulcre, non sans avoir été auparavant fouillé par les ecclésiastiques des autres nationalités, par l'officier anglais et par le gouverneur, et cela pour vérifier qu'il n'avait pas sur lui de quoi allumer du feu.
Il pénétra donc et à genoux, lut une prière demandant que la Lumière qui allait jaillir du Tombeau et qui serait distribuée, fût pour ceux qui la recevraient avec piété une source de grâces.
Le clergé, lui, après la procession, était revenu à l'autel. Un profond silence succéda aux acclamations qui s'étaient fait entendre dans l'immense Temple. Une tension inexprimable s'empara de toute la foule des pèlerins. Quelques instants passèrent et, tout à coup, une clameur, un cri puissant s'élevèrent jusqu'à toucher le ciel, capables de déchirer le voile du Temple, firent vibrer les coupoles et tendirent les nerfs. Du milieu de cette clameur, une voix douce se fit entendre : LA LUMIERE SACREE !
La voici, véritable ! Elle est transmise par le Patriarche, cette LUMIERE SACREE, dans des torches d'argent, à travers les ouvertures du ciborium. Par l'ouverture de droite, c'est une famille indigène orthodoxe qui la reçoit par privilège et qui la porte à l'autel d'où elle est distribuée à la multitude. Par l'ouverture de gauche, la reçoivent les Arméniens, les Coptes et les Syriens (Jacobites) qui à leur tour la portent dans leurs chapelles respectives qui se trouvent à l'intérieur du Temple et de là la distribuent à leurs peuples.
Les cloches sonnent à toute volée, les simandres retentissent, les cris d'allégresse de la multitude infinie saluent en liesse lea LUMIERE SACREE, instantanément transmise à toutes les parties du Temple, en haut, en bas, dans les coins les plus reculés. Toutes les veilleuses, toutes les lampes, tous les lustres, tous les cierges du Temple se trouvent allumés en un clin d'oeil. Tout le Temple, plongé il y a un instant dans l'obscurité totale, se transforme en une mer de lumière sans que personne puisse dire comment.
Quel miracle ! Quel prodige ! Quel étonnement ! Plus de neuf cent mille lumières éclairent maintenant le Temple. Tous ceux qui sont présents tiennent en main des cierges, certains en ont trente-trois, symbole des années du Christ, d'autres en portent douze, symbole des apôtres. Nombreux sont ceux qui font lécher leur visage par la flamme de leur cierge, la plongent dans leur poitrine, l'enferment dans leurs mains, sans jamais être brûlés par elle.
LePatriarche revient alors à l'autel et les choeurs entonnent le psaume : «Lève-toi, ô Dieu, et juge la terre...» Le peuple se disperse alors, chacun rentre chez soi, tenant en main les cierges allumés. Des fellahs orthodoxes, venus des villages environnants, prennent la Lumière sainte dans des lanternes et l'apportent en courant jusque dans leurs villages où les habitants se portent à leur rencontre et les reçoivent en les acclamant par leurs applaudissements. Les habitants de la ville se dispersent dans la cité, sautant de joie, faisant retentir leurs cymbales d'ovation et criant en arabe : «Que vive notre religion ! Que vive notre Patriarche ! Que vive notre Monastère ! Nulle autre religion n'est comparable à la nôtre !»
A partir de ce moment, toutes les lumières des églises de Jérusalem et des environs, jusque-là éteintes, s'allument...
Certains douteront, dit un autre témoin, de l'authenticité de la Lumière Sacrée, mais notre réponse est prête. Si de nombreux tombeaux de saints opèrent chaque jour des miracles, surtout le jour de leur fête, combien plus le Sépulcre très saint, où fut enfermé le Corps Théandrique (divino-humain) du Seigneur Dieu et Sauveur Jésus-Christ, ne fera-t-il pas jaillir la LUMIERE, juste en ce jour où ceux qui étaient dans les ténèbres et l'ombre de la mort, ont vu surgir la Grande Lumière, en ce jour où tout est «Inondé de Lumière, le ciel, la terre et l'enfer...» comme le chante notre Eglise ? Celui qui dit inopérante la Toute-Puissance de Dieu, celui qui croit que le tombeau porteur de Dieu est privé de la LUMIERE, que virent les apôtres et les femmes myrophores, pèche gravement. Nous supplions ceux qui croient, ceux qui chaque année voient jaillir la Sainte Lumière, de devenir ses prédicateurs et de rendre témoignage de ce miracle plus que grand...»
P.Philothéos Zervacos, Un Grand et Merveilleux Pèlerinage en Palestine, Athènes, 1959.
S.Shoina, Impressions de Pèlerinage au Saint Sépulcre, Biblioth.Athon. Fasc.314, 1962.
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